Auteur : savoie_c

Sarah Cloutier | Voyeuse, voyeuse, mutante. Fais-moi l’art. 18 - 31 janvier

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]
Sarah Cloutier, détail de Les chemins du déni (2024), huile sur toile, 121.9x243.8 cm.

« Voyeuse, j’épie les gens. J’absorbe le flux du visuel circulant sur les réseaux sociaux et je parcours les sites de streaming fréquentés à profusion : je cherche la répétition des corps, les codes du dévoilement de la chair, l’ancrage des standards occidentaux. Puis, voleuse, je m’approprie et détourne les images sélectionnées, les comportements observés. Je tisse des liens entre eux par le traitement de la matière. Je les fusionne et, mutante, je cherche à créer des amalgames métamorphosés. Tout en étant ancrée dans l’observation du réel, j’utilise la peinture, son potentiel de fiction et ses effets du hasard par la matière pour déconditionner le regard en société de contrôle, d’accélération, de productivité et d’hyper-connectivité. »

Vernissage : samedi le 18 janvier, de 14h à 17h

Lieu : Organisme Fais-moi l’art, 900 rue Cherrier, Montréal

Sujet de recherche : Voyeuse, voleuse et mutante : faire corps avec les images porno à l'ère du numérique dans une pratique de la peinture figurative.

Direction de recherche : Christine Major.

Mots-clé : peinture figurative, réalisme, faire-corps, ère du numérique, images pornos, matérialité, écrans, voyeurisme, économie de l’attention, glitch / effets du hasard

L’instant est avenir | Exposition des étudiant·e·s de première année de la maîtrise. CDEx. 5 - 9 déc. et 12 - 16 décembre

[Nos étudiant·e·s] [Expositions]

Découvrez les projets des étudiant·e·s de première année à la maîtrise en arts visuels et médiatique de l’UQAM lors de l’exposition « l’instant est avenir » ! 

Une exposition en deux volets qui aura lieu du 5 au 9 décembre et du 12 au 16 décembre 2024 au CDEx. Ne manquez pas cette occasion de prendre connaissance de leurs démarches innovantes et audacieuses ! Au plaisir de vous y voir ! 

Vernissages les jeudis 5 décembre et 12 décembre de 17h à 20h au CEDx (405, rue Sainte-Catherine Est, Montréal).

Hyperlien: https://www.facebook.com/share/88aiyFBvbSeohfAS/

5 au 9 décembre ( vernissage le 5 ) : 

Charlotte Caron
Federico Quinche
Gloria Pépin Schippers
Isabelle Anguita
Lucia Choulakian
Manon Hebert
Marie-Pierre Lortie
Philippe Blondel
Rox Guèvremont
Stéphanie Provost 

12 au 16 décembre ( vernissage le 12 ) : 

Anne Isabelle Leonard
Guillaume Harvey
Cathy Wong
Talija Anctil
Marie Di Caro-Debizet
Phanie Bernier
Roxane Lafrance
Jordan Selophane
Jeanne Ministerio Hamel
Antonin Fisette

Horaire des visites : 

Dimanche - 12h à 17h 
Lundi - 10h à 13h
Mardi - Fermé
Mercredi - Fermé
Jeudi - 10h à 18h
Vendredi - 10h à 18h
Samedi - 12h à 17h 

Josianne Bolduc | Pin Solitaire. CDEx. 26 - 30 janvier

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]
Crédits : Josianne Boduc

Pin Solitaire

« J’ai entamé un processus de création se déroulant sur le long terme dans mon quartier, un lieu quotidien et familier. Le lien affectif entretenu avec cet endroit situé à proximité de chez moi se trouve à être le point de départ de ma recherche et création.

J’ai été particulièrement interpellée par le Rocher au Pin Solitaire, un ilot rocheux situé dans la rivière Saint-François, à Sherbrooke, que j’ai photographié et filmé à plusieurs reprises lors de promenades à l’hiver 2023. Perplexe par la présence d’une croix métallique le surplombant, j’ai initié des recherches au Musée d’histoire de Sherbrooke à l’automne suivant. J’y ai pris connaissance de l’importance de ce lieu identitaire pour la région, d’hier à aujourd’hui.

Dès lors, mon projet de recherche s’est précisé. J’ai eu envie de faire redécouvrir l’histoire portant sur le Rocher au Pin Solitaire et de la partager en produisant, à titre d’artiste commissaire, une exposition mettant en espace des récits personnels et historiques. De ce fait, l’histoire du Rocher au Pin Solitaire est revisitée à partir d’un point de vue personnel ancré dans la société actuelle.

L’exposition produite pour le CDEx a été conçue comme un prolongement de ma recherche avant sa présentation finale au Musée d’histoire de Sherbrooke.»

Josianne Bolduc, artiste-commissaire

Évènement Facebook

Sujet de recherche :

Explorer le rôle de l'artiste-commissaire par la réalisation d'une exposition mettant en espace des récits personnels et historiques portant sur le Rocher au Pin Solitaire à Sherbrooke 

Direction de recherche : Stéphane Gilot

Christine Bourgier | 1810 jours... et ensuite. Amphithéâtre du CHUM (3e étage). 2 - 6 décembre

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]
Image et photo : Christine Bourgier

Christine Bourgier, étudiante à la maitrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), présente 1810 jours... et ensuite, performance dans laquelle elle revisite la période entre l’automne 2014 et l’automne 2020 où sa vie personnelle est chamboulée par la maladie, puis le décès de sa conjointe.L’état de proche aidante qui occupe alors son existence l’amène à lier étroitement les notions d’art et de vie intime dans sa démarche de création. 1810 jours se sont écoulés entre le diagnostic de récidive de cancer de sa compagne et son décès; elle fait donc de ce nombre l’axe de l’acte performatif qu’elle propose du 2 au 6 décembre 2024 au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), s’offrant ainsi une possibilité de se réapproprier ces moments de vie par la création.

Amphithéâtre du CHUM (3e étage), 1050 rue Saint-Denis, Montréal

Du 2 au 6 décembre 2024 entre 10h00 et 16h00.

Raphaëlle Groulx-Julien | Mordre la nuit. Un article sur la pratique d’Alex Pouliot. Esse

[Nos diplômé·e·s de la maîtrise] [Nos diplômé·e·s du bac]

Raphaëlle Groulx-Julien publie l'essai Mordre la nuit, dans le numéro d'automne de la revue Esse. Il s'agit d'un texte à propos de la pratique d’Alex Pouliot, diplômé du baccalauréat de l'ÉAVM (présentement étudiant à la maitrise de Concordia).

Extrait :

« Atonie musculaire, paupières closes, tractus olfactif inhibé : durant le sommeil, les interactions du corps avec le monde sont remarquablement réduites. L’activité cérébrale, en revanche, est loin de diminuer. Seul avec lui-même, l’esprit absorbe les informations reçues et les émotions vécues pendant l’éveil. Si l’inconscient agit en permanence, son expression est la plus spectaculaire dans les rêves, où des choses impossibles dans le monde réel peuvent se produire et où l’on ressent néanmoins de vraies émotions.

Il existe de nombreux parallèles entre les rêves et les arts, notamment dans leur modusopérandi et leur réception. Sonder les uns par les autres peut créer une sorte de miroir dans lequel ils se révèlent mutuellement. C’est à cet exercice que s’est prêté l’artiste multidisciplinaire québécois Alex Pouliot, dont la pratique interroge « les processus de représentation et d’archivage du sensible à travers un récit de soi1 ». Dans son projet FO REVER (en cours depuis 2021), Pouliot appréhende l’ambivalence que l’on peut éprouver face à ce qui se joue en nous la nuit. Il y met en tension le rapport du soi aux autres et au monde en matérialisant des dichotomies qui se recoupent : nuit/jour, rêve/réalité, intérieur/extérieur, corps/esprit, mais aussi trivial/profond, drôle/angoissant et produit/résidu. Par cette réflexion, il interroge la relation entre l’art et la vie et explore ce qui constitue pour lui l’élaboration d’une pratique artistique....».

Lire +

Inventaires d’une collection et Sarah-Jeanne Landry. À propos de la parole. Galerie de l'UQAM. 12 novembre

[Nos professeur·e·s* actuel·les·s et ancien·ne·s] [Nos diplômé·e·s*] [Nos finissant·e·s*]

Vernissage des expositions le mardi 12 novembre à 17 h 30 : Inventaires d’une collection et Sarah-Jeanne Landry. À propos de la parole : https://www.facebook.com/share/19dUF63vru/

Communiqué de la Galerie de l'UQAM

Documents d’archives de la Collection d’œuvres d'art de l’UQAM, 2024. Photo : Galerie de l’UQAM


INVENTAIRES D’UNE COLLECTION

Équipe curatoriale : Lisa Bouraly, Marie Fraser et Louis-Charles Lasnier

Avec la participation de : asinnajaq, eunice bélidor, Manon De Pauw*, Louise Déry, Dominique Fontaine, Audrey Genois, Romeo Gongora*, Anne-Marie Ninacs*, Anne Philippon et Karen Tam

Des objets et des œuvres de : David Altmejd, Ancêtre, Eruoma Awashish, Pierre Ayot*, Marcel Barbeau, Jean-Gérald Bertrand, Dominique Blain, Shary Boyle, Monic Brassard, Michèle Cournoyer, Davidialuk Alaasua Amittuq, Raphaëlle de Groot*, Pierre Dorion, Chantal duPont*, Suzanne Duquet, Paterson Ewen, Michel Fiorito, Yves Gaucher, Pierre Gauvreau, Lise Gervais, Gilbert & George, Amartey Golding, Angela Grauerholz, Guerrilla Girls, Alfred Laliberté, Serge Lemoyne, Emmanuelle Léonard*, Kamissa Ma Koïta, Manufacture Henriot-Quimper, Otobong Nkanga, Alanis Obomsawin, Alfred Pellan, Jean Pouzadoux, Monique Régimbald-Zeiber*, Henry Saxe, Nancy Spero, Françoise Sullivan, Claude Tousignant, Angèle Verret, Janet Werner, Robert Wolfe*, Xu Beihong (Hsu Pei Hung) et artistes non identifié·e·s

Dates : 13 novembre 2024 – 18 janvier 2025
Vernissage : mardi 12 novembre 2024, 17 h 30La Galerie de l’UQAM dévoile Inventaires d’une collection, une exposition proposée par Lisa Bouraly, Marie Fraser et Louis-Charles Lasnier dans le cadre des activités du Partenariat Des nouveaux usages des collections dans les musées d’art du Groupe de recherche et de réflexion CIÉCO. Cette exposition raconte l’histoire invisible de la Collection d’œuvres d’art de l’Université du Québec à Montréal(UQAM) à partir des inventaires qui l’ont constituée et structurée au cours du temps. Elle met en évidence la vie des objets, leur provenance, parfois même leur disparition ou leur destruction.+ PLUS D’INFORMATIONS

À propos de la parole, 2023, livre d’artiste. Photo : Sarah-Jeanne Landry 

Sarah-Jeanne Landry*

À PROPOS DE LA PAROLE
Finissante de la maitrise en arts visuels et médiatiques, UQAM


Dates : 13 novembre 2024 – 18 janvier 2025
Vernissage : mardi 12 novembre 2024, 17 h 30
À propos de la parole s’incarne en une série de trente-huit livres d’artiste, disposés sur une grande table et pouvant être feuilletés librement, qui compilent les verbatims d’enregistrements réalisés par Sarah-Jeanne Landry. L’exposition prend la forme d’une œuvre-archive où la mise en scène de soi est traitée dans une optique de transparence et de vulnérabilité radicale. Chacun de ces livres permet de déployer un aspect précis du rapport complexe de l’artiste à la parole. + PLUS D’INFORMATIONS

Sarah-Jeanne Landry | À propos de la parole. Galerie de l'UQAM. 13 novembre 2024 - 18 janvier 2025

(Nos finissant·e·s] [Exposition de fin de maîtrise]

Vernissage : 12 novembre 2024, 17 h 30

Sarah-Jeanne Landry, À propos de la parole, 2023, livre d'artiste. Photo : Sarah-Jeanne Landry

« Il arrive que ma capacité à parler s’évanouisse. Que ma gorge se noue, que ma tête se vide, que les mots s’enchevêtrent. Ça m’a intriguée. Je me suis dit qu’il y avait là quelque nœud à explorer. Pour ce faire, j’ai entrepris de m’enregistrer chaque jour pour réfléchir à mon rapport à la parole. »

L’exposition À propos de la parole de Sarah-Jeanne Landry propose de mener une analyse de cette pensée qui réfléchit à elle-même : une entreprise zélée, qui frôle la folie, et qui embrasse ses débordements. Elle représente l’aboutissement des recherches de l’artiste sur les possibilités de documenter la microperformance par le texte, d’un point de vue intérieur et subjectif autant que possible, et de donner forme aux archives dans une série de livres d’artiste. L'exposition s’incarne en une série de trente-huit livres d’artiste, disposés sur une grande table et pouvant être feuilletés librement, qui compilent les verbatims d’enregistrements réalisés par Sarah-Jeanne Landry. L’exposition prend la forme d’une œuvre-archive où la mise en scène de soi est traitée dans une optique de transparence et de vulnérabilité radicale. Chacun de ces livres permet de déployer un aspect précis du rapport complexe de l’artiste à la parole. + PLUS D’INFORMATIONS

Sujet de recherche : Une exploration de la micro-performance et de sa documentation photographique et littéraire par une pratique poétique in situ et sa mise en forme dans le livre d'artiste

Direction de recherche : Andrée Anne Dupuis-Bourret

Maria Hoyos, lauréate du prix Intersections : La zafra. Centre Optica. 2 novembre - 14 décembre

[Nos diplômé·e·s] [Résidence Intersections]

Maria Hoyos, Trabajador cortando caña de azúcar [Travailleur coupant la canne à sucre], Villa Rica, Cauca, 2024. Image extraite d'une séquence vidéo. Avec l’aimable permission de l’artiste.

L'artiste y présentera le fruit de son travail réalisé dans le cadre de la résidence Intersections*. Vernissage : samedi 2 novembre à 15h. Centre OPTICA (5445 Avenue de Gaspé).

L'exposition se tiendra du 2 novembre 2024 au 14 décembre 2024.

L’artiste transdisciplinaire Maria Hoyos (*lauréate de la résidence Intersections 2023-2024) fait circuler son héritage colombien dans sa production sur les thèmes de l’identité, de la mémoire et du rituel. La sensibilité de Hoyos a été profondément marquée par son enfance au milieu des plantations de canne à sucre, à Santiago de Cali. Depuis que le sucre est cultivé dans les Amériques et les Caraïbes, la demande pour cette denrée a façonné l’histoire, le commerce et la géopolitique mondiales, et propulsé une industrie néfaste, entachée par le pouvoir et l’exploitation de la main-d’œuvre.

Chez OPTICA, Hoyos présente l’aboutissement d’un corpus critique sur les abus, la violence, la pauvreté et la discrimination que subissent les travailleuses et les travailleurs, dans le passé comme au présent, de pair avec des conséquences environnementales dommageables. Motivée par l’urgence de dénoncer ces tribulations, elle s’inspire du symbolisme des cercles pour exprimer son malaise.

Inspirée par la Collecte de poussières (2000-2001) de l’artiste Raphaëlle de Groot et le concept de l’artiste anthropologue, ethnologue et archéologue développé dans son mémoire de maîtrise, Hoyos joue le rôle d’une scientifique dans le cadre d’une installation composée de cendres et de fragments végétaux carbonisés.

L'artiste confère à ses œuvres des propriétés curatives. Dans son hommage aux esclaves autochtones et africains, aux corteros et aux travailleuses et travailleurs opprimés à travers le monde, elle exorcise les couches d’agonie enchâssées dans les mémoires collectives, offrant un sanctuaire pour la purification et la consolation. Pour cette exposition, OPTICA devient un espace sacré, un temple pour la réflexion, un lieu de rassemblement et de guérison collective. Un lieu pour envisager les alternatives visant à respecter les besoins humains et le bien-être environnemental, dans le contexte du commerce régi par le capitalisme.

*La résidence Intersections est une initiative conjointe du Conseil des arts de Montréal, du Centre d'art contemporain OPTICA et de l'École des arts visuels et médiatiques de l'UQAM.

** Le terme zafra désigne généralement la récolte de la canne à sucre qui s'étend de janvier à mai dans les Caraïbes et de septembre à octobre dans la région méditerranéenne. Le terme zafra est venu de l'arabe en espagnol et vient soit de zāfar ou zafariya qui signifient la période de la récolte, soit de saʼifah qui signifie « temps de la cueillette ».

Maria Hoyos tient à remercier le Conseil des arts de Montréal, le centre OPTICA et l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM pour avoir mis sur pied ce programme de résidence artistique, destiné à soutenir les artistes en arts visuels ou médiatiques issu.e.s de l’immigration.

Emy Gagnon Gélinas | Entre temps et courants. Galerie Art mür. 9 novembre - 21 décembre

[Nos finissant·e·s] [Exposition de fin de maîtrise]

Emy Gagnon Gélinas est une artiste diplômée de l’Université Concordia, où elle a complété un baccalauréat en arts visuels avant de poursuivre directement une maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’Université du Québec à Montréal. Sa pratique artistique s’articule autour de la rencontre entre sculpture et dessin, en explorant des thèmes liés aux phénomènes naturels, à la collaboration avec les éléments de la nature, à la temporalité et à l’observation attentive. Ayant grandi près de la rivière Richelieu, elle puise son inspiration dans les mouvements fluides de l’eau, dans les variations de lumière sur sa surface, et dans les nuées d'oiseaux qui la survolent. Elle créer des œuvres qui capturent des instants de fragilité, de transformation, tout en offrant une expérience ou le corps est invité à parcourir, et les sens, à ressentir. 

L’exposition Entre temps et courants, témoigne du chemin parcouru par Emy Gagnon Gélinas au fil de ses années de recherches et d’expérimentations dans le cadre ses études à la maîtrise. Ce projet de recherche-création se développe à travers un corpus d’œuvres allant du dessin à l’installation, qui intègrent le papier et le verre comme matériaux. Cette exposition s’inscrit ainsi dans une réflexion sur la manière dont les éléments de la nature peuvent à la fois influencer et participer activement à la création d’œuvres artistiques. En utilisant des matériaux comme le verre et le papier qui réagissent à l'eau, au feu et à la lumière, l'artiste cherche à découvrir comment ces éléments peuvent à la fois transformer la matérialité de ses œuvres et jouer un rôle actif dans leur création. L’imprévisibilité devient ainsi un facteur clé dans son approche processuelle, donnant lieu à une collaboration entre les intentions artistique et les forces naturelles.

🍷 Vernissage : le samedi 9 novembre 2024 de 15h à 17h 

📅 Exposition : du 9 novembre au 21 décembre 2024

📍Galerie Art Mûr - 5826 St-Hubert, Montréal, H2S 2L7

🕰️ Heures d’ouverture :  
Mardi et mercredi : 10 h – 18 h  
Jeudi et vendredi : 11 h – 19 h  
Samedi : 12 h – 17 h  
Dimanche et lundi : fermé

Entrée libre

Sujet de recherche : Dessiner en collaboration avec l’eau, le feu et la lumière dans une pratique installative et processuelle

Direction de recherche : Julie Trudel

29e Rencontres interuniversitaires des maitrises en art du Québec. Pavillon Judith-Jasmin. CDEx et J-6180. 6 - 8 novembre

Les RIMA, organisées chaque année en novembre, représentent un contexte de rencontres privilégié entre professeur.e.s et étudiant.e.s issu.e.s des six universités québécoises offrant des programmes de 2e cycle en arts visuels : l'Université Concordia, l'Université Laval, l'UQO, l'UQAC, l'UQAT et l'UQAM. L'organisation est tournante parmi ces universités et cette année, c'est l'UQAM qui accueille l'évènement.

Les RIMA constituent une rare occasion de mise en commun des pratiques, des savoirs, des méthodologies et des recherches qui se pratiquent au sein de ces différents programmes. Il s’agit d’un contexte critique exceptionnel pour saisir les différentes approches pédagogiques développées au Québec et ainsi permettre aux personnes étudiantes-chercheuses d'affirmer leur position au sein de cette constellation de pensées et de pratiques.

Chacune des universités sélectionne deux personnes étudiantes pour participer à une exposition collective et présenter leur recherche lors d'un colloque. Des professeur.e.s de chacune des institutions participent aux discussions, auxquelles prend part également la communauté artistique de l'institution d'accueil.

Vernissage de l'exposition : mercredi 6 novembre 2024 · 17h-19h · CDEx

Colloque étudiant : jeudi 7 novembre & vendredi 8 novembre 2024 · J-6180

En savoir +

Portes ouvertes | École des arts visuels et médiatiques - 26 octobre 2024

Kiosque, exposition et visites guidées de l’École des arts visuels et médiatiques
 
L’École des arts visuels et médiatiques (ÉAVM) vous convie à une visite de ses ateliers et de ses laboratoires. Des personnes étudiantes vous guideront sur les étages du pavillon de Judith-Jasmin pour découvrir ses locaux.
 
Rendez-vous au kiosque de l’ÉAVM devant le Centre de diffusion et d’expérimentation (CDEx, local J-R930) pour le départ des visites. La direction des programmes, des professeur.es et du personnel de soutien vous y accueilleront pour répondre à vos questions sur nos programmes, soit : le Certificat en arts visuels, le Baccalauréat en arts visuels et médiatiques (pratique et enseignement des arts) et la Maîtrise en arts visuels et médiatiques et (création et recherche-intervention).
 
Profitez-en pour visiter l’exposition des étudiant.es de la maîtrise au CDEx!
 

  • Horaire :
     
    Kiosque et exposition : 12h à 16h
    Départ des visites guidées : aux demi-heures entre 12h et 15h30
    Lieu du rendez-vous pour toutes les activités : devant le CDEx (local J-R930), niveau R (rez-de-chaussée). L’entrée se situe à l’angle nord-est des rues Saint-Denis et Sainte-Catherine
     
  • Local J-R930
     
  • Pour vous accueillir au kiosque, se relayeront :
    Manon De Pauw, directrice des programmes de 1er cycle
    Maryse Gagné, directrice adjointe des programmes de 1er cycle
    Amel Saidi, agente de gestion aux études, 1er cycle ÉAVM
    Michael Blum, directeur de la maîtrise en arts visuels et médiatiques a
    Julie Trudel, professeure et responsable du Rayonnement et du recrutement ÉAVM
    Romeo Gongora : gongora.romeo@uqam.ca
    Adriana De Oliveira : oliveira.adriana@uqam.ca
    Anne Deslauriers : deslauriers.anne@uqam.ca
    Robert Saucier : saucier.robert@uqam.ca

Tristan O’Malley | Prothèse émancipatrice. CDEx. 18 - 23 octobre

[Finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]

Vernissage : 23 octobre, 18h

Mon travail se développe en réaction à mon environnement psychosociologique, politique et culturel hétéronormatif. Je souhaite explorer les études touchant au féministe queer afin de me positionner face à la politique du corps socialisé et normalisé. Je m’intéresse au post-humanisme, le genre, les prothèses et aux sciences sociologiques et psychologiques. Mon travail en sculpture est basé sur la transformation d’objets trouvés et sur l’assemblage de structures métalliques et de tissus afin de produire des parures et des prothèses qui permettent l’amplification des sens et des habilités de nos membres et nos corps. Les thèmes récurrents dans mon travail sont les systèmes de contrôle psychosociologique, incluant également les corps subversifs de la performance queer qui défient la normalisation du corps personnel et social. Mes prothèses serviront à détourner, contourner ou d'augmenter des habilités du « corps sain ». Ces mécanismes représenteraient un lieu déstabilisant portatif, une excroissance désocialisant et antiesthétique. Je cherche à encourager une transposition, dans un monde futuriste, d’objets-machines performatifs en attente d’activation. Mes prothèses proto-industrielles inviteront les spectateurs à reconsidérer les croyances et les limitations de la normalité. Je cible la création d'un monde dystopique par la présentation des prothèses de manière muséale, un monde autre, ou les différences ne sont pas considérées comme des handicaps ou des difficultés, mais valorisés comme d'autres façons d’expérimenter le monde

Sujet de recherche : La prothèse émancipatrice : biopolithique et identité queer dans une pratique de la sculpture

Direction de recherche : Stéphane Gilot

Mots clés : cyborg, transhumanisme, sculpture, neuro-atypique, handicapé

Joannie Grenier | Le-coq-la-nuit-chante-le-jour, la-mouche, la rosée-tombe, la-mouche-se-couche. CDEx et à la Place Pasteur. 17 - 21 septembre

[Nos finissant·e·s] [Exposition de fin de maîtrise]
Groupe de Coque-soleils, 2024, documentation par l’artiste

« Avec ce projet de recherche initié dans le cadre du programme de maîtrise de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, j’explore la possibilité de réciprocité avec la matérialité primordiale du médium de la pierre, à la profondeur de ces horizons immémoriaux peuplés de soleils anciens.

L’exposition Le-coq-la-nuit-chante-le-jour, la-mouche-la rosée-tombe, la-mouche-se-couche est une installation de sculptures à l’effigie de figures astrales miniatures ou à l’échelle de mon propre corps. Elles émergent des gestes que je pose avec les formes des marbres et des calcaires que je glane sur des terrains dévastés par l’activité humaine.»

« Je serai sur place tous les jours pour vous présenter et déplacer des sculptures, prendre l’air et la lumière ensemble, rentrer à l’abri pour la nuit, sous la pleine lune de ce mardi! »

Mardi : 15h à 19h30
Mercredi : 15h à 19h30
Jeudi : 15h à 19h30
Vendredi : 15h à 19h30
Samedi : 10h à 13h

CDEx : 405, rue Sainte-Catherine Est, Montréal (Québec) H2L 2C4 

---------

Sujet de recherche : Conjurer l'extraction : pierres, récits et contextes dans une pratique élargie de la sculpture in situ

Direction de recherche : Susan Turcot

Jihen Ben Chikha | La murmuration de la nuée. CDEx. 2 - 8 octobre

[Nos finissants] [Expositions de fin de maîtrise]


Heure d’ouverture : 11h à 18h
Vernissage : 4 octobre 2024, 17h à 20h


Résumé

« L’air n’obéit pas aux frontières territoriales. Il offre un espace d’échange et un intermédiaire de franchissement, redessinant ainsi les cartographies. L’air est une fiction qui se dissipe à travers la murmuration d'une nuée.

L’exposition se présente comme un laboratoire sensoriel brumeux, une ébauche fragile qui part de la question :

Comment est-ce que la frontière serait redéfinie, démêlée par le mouvement de la nuée?
Elle propose une histoire à la fois englobante et vaporeuse, et invite à marcher à travers des infrastructures métaboliques et sensorielles, pour respirer dans une breath-ability collective. À chaque personne d’imaginer son histoire : la narration d’un dédale d’enchevêtrements nuageux matérialisée par une nuée, par une murmuration évolutive.»

Jihen Ben Chikha complète actuellement sa maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQAM. Cette exposition est l’aboutissement de son projet de recherche-création. Son travail a été précédemment présenté à Gepaeckausgabe (2021) en Suisse, à la galerie Central Tunis (2021), au Goethe Institut (2021) Tunis, et au Media Art Friesland (2018) Pays-Bas.

Sujet de recherche : Histoire d’un contenant nuageux, Chambers : entre cartographie sensorielle et activité xéno-matérielle dans une pratique de l’installation

Direction de recherche : Phillipe-Aubert Gauthier

Delphine Kim Thériault De Carufel | Les fleurs renaissent au printemps tel un Phoenix. CDEx. 23 au 28 septembre

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]

Delphine Kim Thériault De Carufel présentera son travail du 23 au 28 septembre au CDEx.

Crédits photo : Delphine Kim Thériault De Carufel

La vie est comme un casse-tête, on y cherche toujours des pièces clés pour trouver l’image. Lorsque l’on est schizophrène, les pièces de ce casse-tête sont parfois floues et des parties de l’image sont brouillées. On cherche à comprendre certaines choses ou comportements que l’on a et que l’on vit, mais il y a toujours des pièces manquantes qui altèrent notre compréhension du monde et notre compréhension de l’image. On cherche toujours de nouvelles pièces pour comprendre la vie qui passe et s’efface, de la vie qui renaît chaque jour et meurt à nouveau le lendemain. C’est un cycle qui rappelle celui que vit Sisyphe, cherchant chaque jour à monter sa roche au sommet de la montagne sans logique. La vie est parfois absurde. Face à l’absurdité de la vie, on construit sa propre logique, ses propres objectifs qui permettent de donner un sens à sa vie.

Sujet de recherche : Mythologie schizophrène et récit personnel par le biais de l'empreinte et de la sculpture

Direction de recherche : Philippe-Aubert Gauthier

Laetitia de Coninck | Percolation. Dare-dare. Au Parc Sainte-Cunégonde, jusqu'au 15 août

[Nos diplômé·e·s]

Percolation

« Le projet d’écriture publique Percolation a été créé à partir d’une enquête sur/avec le Parc Sainte-Cunégonde où les savoirs et les savoirs expérienciels se délayent et s’incorporent afin de créer de courts textes dans une approche géopoétique, une approche à la fois sensible et poétique des lieux. La métaphore de la percolation, comme imprégnation progressive, mouvement à la fois latéral et vertical, passage à travers un milieu poreux, un sol fissuré, m’a servi de guide à la fois dans l’exploration du site et dans l’écriture des textes proposés. Comment s’infiltre le regard? Comment se mettre en relation avec la diversité des corps et des autres matérialités en présence? Qu’est-ce qui jaillit de cette écoute, de ce toucher du monde? Avec une attention particulière à la porosité du lieu et à toute décomposition latente, l’accent est mis sur l’observation et l’expérience du terrain (inscription du corps et des sens avec le lieu) mais aussi sur mes recherches (histoire, géographie, toponymie) à propos du lieu. C’est dans une perspective expérimentale, en restant dans les processus et en adoptant une attitude faite d’ouverture et de dérive que la pensée ruisselle et que les mots peuvent commencer à répandre leur pouvoir émancipateur.»

+ d'informations

Soirée Échos IX : musique pour grand espace. Ateliers Belleville. 3 août

[Nos professeur·e·s] [Nos étudiant·e·s]

Neuvième concert d'une série présentée aux Ateliers Belleville faisant la place aux musiques d'exploration / improvisées / énervantes / inutiles / concrètes / d'écoute et/ou à l'art audio.

Une soirée spéciale en compagnie des étudiant.e.s aux cycles supérieurs de l'ÉAVM et qui travaillent le son ou la musique. Avec Fiza (maîtrise), Christophe Lengelé (post-doc), Sonic Malice (duo de Simon-Luc et Giuseppe, maîtrise)

Commissariat par Philippe Aubert Gauthier, professeur à l'École des arts visuels et médiatiques/UQAM

Samedi le 3 août

Ouverture des portes à 19h30

20h00 : Fiza
20h45 : Xon
21h30 : Sonic Malice
22h00 : Philippe-Aubert Gauthier

---------- ------- ----- --- -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

Billets en pré-vente: 15$+tx - voir lien zeffy
Billets à la porte: 20$ tx in

Bar sur place - NOT BYOB
$ et cartes acceptées

545 Legendre Ouest
L'entrée se fait par le stationnement à l'arrière du bâtiment sur la rue Meilleur.

Tous les profits de l'événement iront aux artistes et au développement des Ateliers Belleville.

---------------------------

Les artistes :

Fiza
Artiste multidisciplinaire, Fiza s’intéresse à la relation corps – espace – son. Ces travaux prennent racines au sein de l’architecture des lieux en ruine. Lors de ces explorations urbaines, elle utilise des technologies de captation et d’amplification des ondes électromagnétiques afin de récolter cette matière première invisible. En devenant matériau, ces données traduites en éléments sonores constituent le point de départ de ces expériences de transformations spécifiques. Elles sont ensuite réinjectées dans l’espace physique duquel des éléments architecturaux sont utilisés comme outil de spatialisation du son.

-

Xon
Christophe Lengelé (Xon) développe depuis 2011 un outil de création sonore et de mise en espace sonore: https://github.com/Xon77/Live4Life. Outil libre qui vise à faciliter l’improvisation de musiques électroniques sur de multiples haut-parleurs. Sa recherche spatiale, qui questionne les manières d’associer les paramètres rythmiques et spatiaux, se base sur le concept d’œuvres ouvertes, autant du point de vue de la forme que dans la diffusion du code en source libre. Il s'intéresse actuellement exclusivement à la création via des outils en source libre et aux interactions avec le live coding.

-

Sonic Malice
Sonic Malice est un duo d’art sonore expérimental composé de Simon-Luc Laporte et Giuseppe Masia. Ce tandem artistique transgresse les frontières traditionnelles du son pour créer des écosystèmes auditifs. Ils fusionnent leurs racines issues de l’ambient, du dub, du sampling et du noise dans une démarche co-créative englobant l’entièreté de leurs pratiques respectives.

-

Philippe-Aubert Gauthier
Philippe-Aubert est professeur à l'École des arts visuels et médiatiques de l’UQÀM, ingénieur mécanique, maître ès sciences et docteur en génie mécanique et en acoustique. Il travaille à la croisée des arts, sciences et technologies. Ses œuvres prennent des formes allant de l’installation, au son, au numérique à la performance et la musique. Il a produit plus d'une cinquantaine d'œuvres en arts sonores et numériques. Son travail a été présenté au Québec, au Canada, aux États-Unis, au Mexique, en France, en Angleterre, en Allemagne et au Japon. Il est directeur associé à la recherche artistique du Centre for Interdisciplinary Research in Music, Media and Technology.

Depuis 2003, il travaille aussi en duo avec Tanya St-Pierre. Leur pratique prenant alors la forme d’installations, de performances, de vidéos.

Claire Burelli | Résidence de recherche création. Sagamie

[Nos étudiant·e·s]

« J’utilise la sculpture pour explorer mes questionnements sur l’enchevêtrement de la mémoire collective et des souvenirs personnels dans un monde de plus en plus technologique et pollué.

Je m’engage dans une recherche minutieuse des potentiels inexploités présents dans les photographies, les objets et les vidéos que je récupère soigneusement des dépotoirs numériques et physiques, qui connaissent une expansion constante. Ces espaces regorgent d’éléments délaissés, abandonnés ou négligés, qui éveillent ma créativité.

Cette curiosité technologique issue d’une vie à cheval entre l’analogique pré-Internet et le digital se traduit dans une collaboration d’artefacts de jeux vidéo ou de restes d’ordinateurs et des savoir-faire artisanaux tels que la céramique, le tissage, la broderie et le cyanotype.

J’utilise symboliquement l’erreur numérique [le glitch] et l’esthétique « sloppy » pour transformer des éléments du passé en compositions visuelles bruitées, en textes poétiques et en objets évocateurs qui nous invitent à réimaginer notre relation avec l’environnement et les objets qui nous entourent en imaginant des futurs possibles entre la dystopie et la féerie.»

Claire Burelli est actuellement candidate à la maîtrise en arts visuels et médiatiques concentration création de l’Université du Québec À Montréal.

Nos diplômé·e·s parmi les lauréat·e·s du projet PRÉSENCES

[Nos diplômé·e·s]

Initié par le Centre SAGAMIE, le projet PRÉSENCES vise à augmenter la présence des artistes, des commissaires et des auteurs·e·s de la relève dans le milieu professionnel des centres d'artistes à travers le Québec.

Chaque centre a sélectionné artistes, commissaires et auteurs·e·s afin de concevoir et de présenter une exposition de groupe ou un programme vidéo dans sa programmation régulière.

De son côté, le centre SAGAMIE accueillera tous les artistes sélectionné·e·s pour une résidence de recherche/création préparatoire à l’exposition du centre partenaire. De plus, les 6 expositions et le programme vidéo seront par la suite présentés à Alma au Centre SAGAMIE.

Lauréat·e·s

L’Écart, Rouyn-Noranda

  • Galadriel Avon
  • Pépite et Josèphe
  • Laetitia de Coninck
  • Florence Viau
  • Valérie Cain Bourget
  • Tina Lam

daphne, Montréal

  • Kaia'tanó:ron Dumoulin Bush
  • Duane Isaac
  • Cedar Eve

Skol, Montréal

  • Gabrielle Izaguirré-Falardeau
  • Zoé Julien-Tessier
  • Sarah Toug ondo
  • Annie-Kim Rainville
  • Amanda Roy
  • Alejandra Zamudio

Vaste et Vague, Carleton

  • Noémie Fortin
  • Annik Saint-Arnaud
  • Mariane Tremblay
  • Emily Spooner
  • Alphiya Joncas
  • Amélie Bélanger

L’Œil de poisson, Québec

  • Janick Burn
  • Sarah Boutin
  • Alex Pouliot
  • Andes A. Beaulé
  • Maude Arsenault
  • Izabelle Desroches

Caravansérail, Rimouski

  • Dounia Bouzidi
  • Samah Saidi
  • Rouzbeh Shadpey
  • My-Van Dam
  • Daria Elas
  • Marwan Sekkat

Regart, Lévis

  • Julien St-Georges Tremblay
  • Maxime Savage
  • Danielle Robitaille
  • Kevin Dubeau
  • Pierre Bélanger
  • Nina Vroemen

Guillaume Pascale* et Lionel Vivier | Europa (to) Europa. Galerie LHOSTE, Arles. 18 juin - 17 août


[*Nos diplömé·e·s] [*Nos doctorant·e·s au DEPA]

Europa est une île

Europa est une lune de Jupiter

EUROPA (to) EUROPA réunit deux hétérotopies distantes de 628 millions de kilomètres

À la fois voyage intérieur et cosmique, le duo d’artistes convoque un imaginaire post-humain où se côtoient des artefacts minéraux, cartographiques et audiovisuels qui fantasment une mémoire à la dérive entre deux insularités homonymes.

VERNISSAGE
Samedi 15 juin à partir de 18h30
Performance de Guillaume Pascale à 20h

EXPOSITION
jusqu'au 17 août
à partir du 1er juillet 7 jours sur 7

LHOSTE
9 avenue Victor Hugo - 13200 Arles
mercredi - vendredi 11h > 17h et samedi 15h > 19h

En savoir plus

Aïda Vosoughi parmi les artistes de l'exposition Riopelle / À la croisée des temps. Winnipeg Art Gallery. 1er juin - 8 septembre

[Nos étudiant·e·s]
L'artiste AÏda Vosoughi a créé 360 petites images peintes à l'aquarelle. Elles sont accrochées au-dessus d'un amas de miroirs brisés. Crédit photo : Sylvie Lacerte, commissaire de l'exposition.

Couverture de Radio-Canada

Nouvelle du téléjournal de Radio-Canada

Plus d'infos

Carlos Viani | Archéologie domestique / Huaqueo. CDEx. 6 - 11 juin

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]
« Les faits en premier » 30 minutes. 2024. Extrait de vidéo performance. Crédits image : @Carlos Viani

Résumé

« Lorsque mon père s’est volatilisé dans la ville de Lima en 1978 sans laisser de
traces, sa disparition a déclenché une investigation qui a duré plus de quarante
ans. Archéologie domestique / Huaqueo* constitue l’aboutissement de cette
enquête expérimentale dans laquelle je problématise les notions de trace, indice,
archive et mémoire familiale.

En m’appropriant des méthodes propres aux pratiques documentaires et à
l’enquête judiciaire, je fouille des faits et des fictions de famille. Je travaille dans
le flou et l’ambivalence où opère un enquêteur qui recrée des faits tout en faisant
partie intégrante des faits recréés. »

*Huaqueo : Fouille clandestine sur des sites archéologiques pour obtenir des antiquités destinées à la vente.

Sujet de recherche : Archéologie domestique : fouiller faits et fictions de famille dans une pratique du texte, de l'objet et de l'image photographique.

Direction de recherche : Michael Blum

MOTS CLÉS : parenté, disparition, mémoire, objet, image photographiqu

clémence lesné | (cyberg) flâneuse. CDEx. 28 mai - 1er juin, 12h - 18h

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]

Résumé

D’une utilisation du terme flâner – sans trop savoir à quoi je me référais – à l’occasion de déambulations photographiques, j’ai décidé de m’intéresser à la flânerie et à la figure du flâneur pour tenter de mieux les cerner et d’en comprendre les enjeux. Le projet que je présente est une tentative de créer des liens entre flânerie et cyberflânerie, projet dans lequel je m’intéresse à, j’incarne et je critique la pratique et la figure flâneuse par le biais de la vidéo.

Deux vidéos présentent respectivement un essai autour de la figure flâneuse monté à partir de contenus médiatiques de différentes sources – articles trouvés sur internet, tout type de documents et activités qui peuvent avoir lieu dans l’espace numérique, personnel et public – et un montage de déambulations nocturnes dans différentes villes.

Sujet de recherche

(Cyberg) Flâneuse : imaginer une mise à jour de la figure du flâneur dans une pratique de la vidéo.

Direction de recherche : Michael Blum

Sophie Aubry. Prendre soin des corps. Fais-moi l’art. 19 au 26 avril

[Nos finissant·e·s] [Expositions de fin de maîtrise]

L’installation multidisciplinaire Prendre soin des corps a été conçue comme un espace d’hospitalité offrant un moment de répit et de bien-être loin de l’agitation de la vie quotidienne. Il s’agit ici de prendre soin de soi, des autres et du vivant à travers une expérience artistique. Le public est invité à entrer dans l’espace et à interagir avec les différents éléments vivants et non-vivants qui s’y retrouvent. L’œuvre ne mobilise non plus seulement la vue, mais également tout le corps en sollicitant aussi les autres sens, afin de créer des espaces de résonances entre les vivants et se libérer d’une culture qui favorise la « mise à distance » à l’égard du monde qui nous entoure.
 
L’exposition Prendre soin des corps est l’aboutissement du projet de recherche-création mené par Sophie Aubry sur la question du « prendre soin ». Ce sujet s'est imposé à elle durant son parcours à la maîtrise, après avoir reçu un diagnostic de cancer du sein qui l’a conduite à incorporer le soin au cœur de sa vie quotidienne et de sa pratique artistique. À travers une perspective située et autopathographique, Aubry a documenté son expérience personnelle et médicale du cancer du sein. Ainsi marquée par la maladie, elle propose une vision alternative de la représentation des corps des femmes dans l’espace public, afin de s’affranchir des normes patriarcales et capitalistes qui contraignent les corps et les savoirs médicaux.
 
En incarnant la sorcière comme figure d’empuissancement dans son processus créatif, Sophie Aubry, grâce à diverses explorations en immersion dans la nature et en coévolution avec les plantes, s’est réapproprié graduellement les savoirs médicinaux, botaniques et holistiques. Elle partage aujourd’hui certaines expériences artistiques qu’elle a réalisées autour du soin.
 
Un rituel collectif et participatif sera offert le vendredi 19 avril pour se relier à une plante, entrer en relation avec son agentivité et ses vibrances, s’ouvrir à son enseignement et accueillir toute sa médecine, sa puissance et sa sagesse.
 

  • Vendredi 19 avril : rituel (complet)
     
    Du 19 au 26 avril 2024
     
    Fais-moi l’art
    900 rue Cherrier, Montréal, QC
     
    Horaire
     
    Lundi : Fermé
    Mardi : 12h00-19h00
    Mercredi : 12h00-19h00
    Jeudi : Fermé
    Vendredi : 12h00-19h00
    Samedi : 12h00-18h00
    Dimanche : Fermé
     
     

Sujet de recherche

Corps-malade : réappropriation des savoir-faire médicinaux, botaniques et holistiques dans une perspective de soin par une pratique artistique du rituel et de l'installation participative.

Dirigée par Andrée-Anne Dupuis Bourret, présentera son travail du 13 au 26 avril 2024 à Fais-moi l’art, 900 Rue Cherrier, Montréal.

Caroline Mauxion | Revue Inter, art actuel : Arts altercapacités. Lancement 17 avril. J-1200. Pavillon Judith-Jasmin

[Nos diplômé·e·s] [Nos doctorant·e·s]

La Chaire de recherche du Canada sur les médias, les handicaps et les (auto)représentations (CRCMHA) et la revue Inter, art actuel ont le plaisir de vous inviter au lancement du numéro 143 consacré aux Arts altercapacités.

Introduction et discussion animée par Mouloud Boukala en compagnie de Gaëtane Cummings, Map du collectif DC- Art indisciplinaire et Caroline Mauxion qui ont participé à la revue. 

Ce mercredi 17 avril au J-1200 (Pavillon Judith-Jasmin 1er étage) à partir de 18h.

405, rue Sainte-Catherine Est, Montréal

Ce pavillon est accessible directement de l’intérieur du métro Berri-UQAM.

Forum de recherche | 24 et 25 avril. Local J-6180, Pavillon Judith Jasmin

[Nos étudiant·e·s]

Nous avons le plaisir de vous inviter au forum de recherche-création de l'UQAM, qui se tiendra au local J-6180 du pavillon Judith-Jasmin.

Le forum est un évènement synthèse, organisé par des personnes étudiantes de la maîtrise en arts visuels et médiatiques, à la fin de leur parcours académique. Lors d'une présentation individuelle, chaque artiste partagera avec le public le fruit de ses recherches menées au cours des dernières années. L'événement est ouvert à la communauté artistique, aux universitaires, ainsi qu’à toute personne intéressée.

Pour + d'information

Mercredi 24 avril

Mercredi 24 avrilJeudi 25 avril
10h00Introduction 10h00Introduction 
10h15 – 11h00Kyra Revenko Camille PigeonAnimation par Sophie Castonguay  10h15 – 11h50Lucie Bouvet Pilar Escobar Alvarez Marion Schneider
Vickie Grondin
Animation par Ève Tagny
11h15 – 12h35Sarah Cloutier Laurence Dauphinais
Emy Gagnon-Gélinas
  Pause  Pause
14h00 – 14h45Maria Claudia Quijano
Thomas Bouquin
Animation par Myriam Jacob-Allard12h05 – 12h55Maude Girard
Suzanne Landry-Vié
Animation par Michèle Magema
  15h00 – 16h40Marina Leon
Sophy Perry
Jules Mayrand Sarah-Jeanne Landry
14h00 – 15h20Josianne Bolduc Sébastien Huot
Aïda Vosoughi
15h35 - 16h20Françoise-Isabelle Lessard
Josée Brouillard

Parenthèse | Expositions des étudiant·e·s de la maîtrise en arts visuels et médiatiques - cohorte 2023. 8 - 19 avril

Vous êtes cordialement invité-e à l’exposition collective PARENTHÈSE des artistes étudiant à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM - cohorte 2023 - qui se tiendra dès le 8 avril 2024 au centre de diffusion et d’expérimentation (CDEx).

Deux rendez-vous pour voir le travail de 16 artistes :

  • 1re partie – 8 au 12 avril
    • Artistes : Michèle Barcena-Sougavinski, Alex Côté, Laurence Lapointe-Roy, Giuseppe Masia, Denis McCready, Océane Buxton, Julie Pastore, Daniel Saumier.
    • Finissage le vendredi 12 avril 17h @ 20h
  • 2e partie – 15 au 19 avril
    • Artistes : Annie Auger, Pierre-Olivier Déry, Manon Lizé, Nick Ma, Pierre-Étienne Massé, Gabrielle Turbide, Marie-Pier Vanchestein, Fatima Zohra Ouardani.
    • Finissage le vendredi 19 avril 17h @ 20h

⫸⫸⫸ CDEx - 11h @ 18h, au 405 rue Sainte-Catherine Est, coin St-Denis - local J-R940.

Présentations des étudiant·e·s

Les présentations auront lieu les 11 et 18 avril avec l'intervenante Caroline Boileau.

Félicitations à Lynn Kodeih, récipiendaire de la bourse Bronfman 2024

[Nos finissant·e·s] [Bourses et prix]

La finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques reçoit la prestigieuse bourse en art contemporain.

Lynn Kodeih. Photo: Hamza Aboulouafa

D'après l'article dans le Bulletin Actualités UQAM

Par Jean-François Ducharme

2 avril 2024 à 11 h 05

La finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques Lynn Kodeih ainsi que la diplômée de la maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia Kuh Del Rosario reçoivent la prestigieuse bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain 2024, d’une valeur de 60 000 dollars chacune. Les lauréates auront également le privilège de présenter leurs œuvres dans un kiosque dédié lors de la foire d’art contemporain Plural 2024, présentée du 12 au 14 avril 2024 à Montréal.

Octroyée depuis 2010, la bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain offre aux récipiendaires la reconnaissance et le soutien indispensables au perfectionnement de leurs œuvres et à l’avancement de leurs recherches créatrices, à un moment important de leurs parcours, alors qu’elles passent de la sphère universitaire au milieu professionnel. D’une durée de deux ans, la bourse est remise chaque année à deux personnes finissantes ou diplômées d’une maîtrise ou d’un doctorat en arts visuels et médiatiques de la Faculté des arts de l’UQAM et de la Faculté des beaux-arts de l’Université Concordia.

«Grâce au soutien précieux de Claudine et Stephen Bronfman, Lynn Kodeih a désormais la possibilité d’entamer une carrière artistique professionnelle et est libre d’explorer différents horizons de création, a mentionné la doyenne de la Faculté des arts Joanne Lalonde. Depuis 15 ans, la bourse Bronfman contribue à l’essor d’une relève talentueuse en arts visuels provenant de nos universités»,

Le parcours de Lynn Kodeih

Axée sur l’imbrication entre l’art et le politique, la pratique de Lynn Kodeih est à la croisée de la textualité et de l’autothéorie, de la vidéo et de l’installation. L’artiste-chercheuse libano-canadienne s’intéresse aux notions de frontières dans une posture décoloniale et se préoccupe du territoire dépossédé, colonisé, quitté par le déplacement forcé.

Ses œuvres ont été présentées au Canada et à l’international, notamment à la Galerie de l’UQAM, au Centre SAW d’Ottawa, au Hamar Kunstbanken Performance Festival de Norvège, au Festival international du film de Rotterdam, au Transart Triennial de Berlin et au Centre d’Art de Beyrouth.

«Cette reconnaissance et ce soutien de la bourse Claudine et Stephen Bronfman me permettront de me consacrer à mon travail de recherche et de création, mentionne Lynn Kodeih. Je travaille pour rendre visibles des enjeux de pouvoir et de violences systémiques et je me concentre sur des problématiques urgentes au sein de ma communauté locale et élargie. À un moment de l’histoire où beaucoup d’artistes vivent la censure ou une tyrannie du silence, je suis chanceuse de pouvoir poursuivre mon projet qui aborde la notion de la langue, à la fois comme outil d’oppression et d’oblitération, de résistance et de filiation.»

Midi-rencontre et webinaire | Maîtrise recherche intervention en arts visuels et médiatiques. 10 avril et 17 avril

𝐕𝐨𝐮𝐬 𝐞̂𝐭𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞́·𝐞·𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐢̂𝐭𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐚𝐫𝐭𝐬 𝐯𝐢𝐬𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐞𝐭 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐥’𝐔𝐐𝐀𝐌?

DEUX RENCONTRES VOUS SONT PROPOSÉES LES 10 ET 17 AVRIL :

  • 10 avril, de 12h à 13h : en comodale au local J 5290 du Pavillon Judith Jasmin 𝐞𝐭 𝐬𝐢𝐦𝐮𝐥𝐭𝐚𝐧𝐞́𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐥𝐢𝐠𝐧𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐳𝐨𝐨𝐦 https://uqam.zoom.us/j/82008153513
  • 17 avril, de 17h30 à 18h30 : webinaire en ligne https://uqam.zoom.us/j/85858185734

Les admissions pour l’automne 2024 au profil recherche-intervention sont ouvertes jusqu’au 1er mai 2024. Venez rencontrer le mercredi 10 avril, en personne et en ligne les professeur.e.s Laurence Sylvestre et Martin Lalonde qui vous présenteront le programme et expliqueront les procédures de demande d’admission.

Des études de maîtrise en recherche et intervention en arts, c’est le développement et l’établissement de vos travaux dans un cadre académique, ce sont des séminaires sur les théories et pratiques contemporaines en art visuels et numériques, ce sont des opportunités professionnelles dans la recherche universitaire, c’est une communauté vivante de jeunes chercheurs et artistes, des occasions de réseautage dans les milieux local national et international, des possibilités de financement et plein d’autres choses.

Venez nous nous faire part de votre projet de formation aux cycles supérieurs.

Les deux rencontres d'information seront l'occasion de vous présenter les 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐚𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐬 𝐝𝐮 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐢𝐥 𝐑𝐞𝐜𝐡𝐞𝐫𝐜𝐡𝐞-𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 :

  • recherche aux cycles supérieurs
  • cheminement
  • particularités du profil
  • développement professionnel
  • opportunités de travail de recherche et d’enseignement universitaire
  • procédures d'admission

Cette rencontre s'adresse particulièrement aux finissant.e.s du baccalauréat, mais est ouverte à toutes et à tous. Un webinaire est également présenté en soirée le même jour.

Venez! C'est l'occasion idéale pour rencontrer deux professeur.e.s du profil et leur poser toutes les questions que vous pourriez avoir.

Responsables :

Pierre-Olivier Déry et Gabrielle Turbide exposent au nouveau Centre Ubchihika, Saguenay

[Nos étudiant·e·s]

[Nos étudiant·e·s]

Les installations Cyclogénèse de Pierre-Olivier Déry et Borradas de Gabrielle Turbide seront présentées lors des Portes ouvertes du nouveau Centre de recherche et création en arts numériques Ubchihika.

Images, de gauche à droite : Cyclogénèse de Pierre-Olivier Déry et Borradas de Gabrielle Turbide

Gabrielle Turbide, Borradas, 2023

Pierre-Olivier Déry, Cyclogénèse, 2023

Gagnant·e·s des bourses de production Arprim/ÉAVM

Nous avons le plaisir d’annoncer les personnes gagnantes des Bourses de production Arprim/École des arts visuels et médiatiques 2024: 
 
Baccalauréat:
Ève Debigaré
Diego Ernesto Valera Lopez
(Mention spéciale du jury attribuée à Yanick Tanguay)
 
Maîtrise:
Gabrielle Turbide
 
Le jury était composé de Mmes Julie Métivier et Julie Parent respectivement adjointe à la direction et membre du conseil d’administration de Arprim centre d’essai en art imprimé. 
Comme professeur, j’agissais en tant qu’organisateur et animateur du jury.
 
Au nom du jury, Gwenaël Bélanger félicite les candidats.es et lauréats.es pour la qualité de leurs propositions.


 

Appel de propositions : Exposition à l’Écomusée du fier monde 2025. Date limite : 22 mars 2024

Un appel est lancé à des équipes de l’UQAM pour déposer des projets collectifs d’expositions mettant en valeur les pratiques artistiques ou de commissariat des étudiantes et étudiants de la Faculté des arts, dans le cadre d’un partenariat entre la Faculté des arts de l’UQAM et l’Écomusée du fier monde. Initiés par des étudiantes et étudiants, les projets pluridisciplinaires d’expositions seront réalisés par des équipes formées d’étudiantes et d’étudiants ainsi que d’au moins un membre du personnel enseignant. Les équipes doivent proposer un projet artistique qui répond à la mission, au mandat et aux valeurs de l'Écomusée. Ce concours est ouvert à l’ensemble des Écoles et Départements de la Faculté.
L’Écomusée du fier monde, situé dans le quartier Centre-Sud de Montréal, se définit comme un musée d’histoire et un musée citoyen. Sa mission est de :

  • mettre en valeur les thématiques du travail et de l’engagement citoyen à Montréal, dans leur contexte historique et actuel;
  • développer une muséologie citoyenne pérenne en utilisant les activités et les pratiques muséales comme outils d’éducation populaire et d’autonomisation;
  • contribuer au développement du territoire écomuséal par la mise en valeur du patrimoine et de la culture, en partenariat avec des acteurs du milieu;
  • favoriser le partage de l’expertise de l’Écomusée et les échanges aux niveaux local, national et international, et ainsi contribuer au développement des communautés.

Le partenariat entre l’Écomusée et la Faculté des arts de l’UQAM a pour but la tenue d’une exposition annuelle (la prochaine se tiendra du 21 mai au 8 juin 2025). L’objectif principal est d’encourager la relève en recherche et en création à développer des projets en lien avec la mission de l’Écomusée tout en lui permettant de bénéficier d’une visibilité au sein de ce dernier. 2

Il est important de noter que l’espace d’exposition prévu est celui des expositions temporaires de l’Écomusée (environ 100 m2), que l’Écomusée fournira une aide technique pour l’installation de l’exposition et que la Faculté des arts mettra à la disposition de l’équipe sélectionnée un budget de 3 500 $ pour la production de l’exposition.

Les projets individuels, proposés par des membres du corps enseignant ou effectués dans le cadre d’un cours ne sont pas admissibles.


Critères de sélection

1) Présenter un projet collectif initié par des personnes étudiantes mettant en valeur le savoir-faire des étudiantes et étudiants;
2) Originalité et exclusivité du projet : celui-ci ne doit pas avoir déjà été présenté sous la même forme dans un contexte non académique;
3) Démontrer le lien du projet avec la mission de l’Écomusée;
4) Démontrer la faisabilité du projet, le projet d’exposition doit pouvoir être réalisé dans une période de 13 mois;
5) Les membres de l’équipe doivent être disponibles pour des rencontres mensuelles à partir du mois de mai 2024 et au besoin durant les étapes de réalisation. Ces rencontres se tiendront à l’Écomusée.

Pièces à déposer


1) Le titre de travail provisoire de l’exposition, ainsi qu’un résumé du projet en 3 lignes;
2) Un texte descriptif (600 à 1 000 mots) qui présente : la thématique, l’intention, la démarche et la nature de ce qui sera exposé;
3) La liste des membres de l’équipe (doit inclure un membre du personnel enseignant);
4) Un budget préliminaire;
5) Un portfolio comptant un maximum de 20 items;
6) Une lettre de recommandation d’un membre du personnel enseignant (qui peut être membre de l’équipe)

Comment présenter une demande
Vous devez transmettre votre dossier à l’adresse suivante : recherche.facarts@uqam.ca, au plus tard le 22 mars 2024, à minuit. 3

Dates importantes

Séance d’information : 25 janvier 2024, à 12h30, en ligne. Inscription obligatoire ici
Dépôt des candidatures : 22 mars 2024, à minuit
Annonce du projet retenu : 12 avril 2024
Exposition à l’Écomusée : 21 mai au 8 juin 2025


Notes :
Le comité de sélection est paritaire; il comprend deux personnes de la Faculté des arts et deux personnes de l’Écomusée.
Les personnes chargées de cours participant au projet sélectionné pourront faire une demande de financement auprès du Comité de liaison local (CLL) facultaire ou de leur département d’attache.
Puisqu’il s’agit d’une entente de partenariat entre les deux instances que sont la Faculté des arts de l’UQAM et l’Écomusée, il est entendu que ce dernier n’a pas de droits d’expositions à défrayer. De plus, il est important de noter que l’Écomusée ne prend pas à sa charge les frais d’impression et le matériel.

Alex Côté et L'Idylle - arts vivants. WATER.Sync. Maison de la culture Marie-Uguay. 14 mars - 5 mai

Du 14 mars 2024 - 13 h 00
au 5 mai 2024 - 17 h 00

Vernissage avec performance le jeudi 14 mars à 19h30. Entrée libre pour visiter l’exposition et assister à la performance.

Maison de la culture Marie-Uguay, 6052, boulevard Monk, Montréal

WATER.Sync, vue d'expostion. Crédits photo : Alex Côté

Production : L’Idylle - arts vivants

Mariant art visuel et immersion vidéo, L’Idylle arts vivants vous convie à une rencontre sensorielle avec l’or bleu. Rassemblant une pléiade d’artistes, et d’esthétiques, cette exposition vous fera vivre une expérience poignante, où la crise mondiale de l’eau devient aussi tangible qu’alarmante.

Description

WATER.sync révèle des tableaux performatifs avec l’eau, allant de la pollution plastique aux débordements climatiques, en passant par le manque imminent d’eau potable à la beauté sensorielle de ses paysages.

La scénographie immersive, composée des étendues d’eau documentées aux quatre coins du monde, crée un rapport transcendant avec l’or bleu.

Équipe de l’exposition

Commissaire et artistes : Alex Côté, Ertra Arico Duval, Zoé Boivin, Lara Kramer, Anne-Marie Asselin, Mireille R. Champagne, Mathieu-Philippe Perras, Marilyne Busque-Dubois, Emmanuel Béhier-Migeon, Marc-Olivier Forand, Julia Sinelnikova

Équipe de production

Performance : Alex Côté
Dramaturgie : Lara Kramer
Musique : Marc-Olivier Forand
Vidéo : Mathieu-Philippe Perras et Alex Côté
Costume : Philippe Gaona
Production : L’Idylle - arts vivants

Profil recherche intervention - date d'admission : 1er mai

  • Finissant·e·s d'un baccalauréat
  • Intervenant·e·s œuvrant dans les domaines communautaires, culturels, de la santé
  • Professionel·le·s de l'éducation
  • Artistes s'intéressant aux pratiques sociales de l'art
  1. Réaliser une maîtrise axée sur l'intervention en milieux variés :
    • communautaire et interculturel
    • scolaire
    • santé
    • culturel et muséal
    • espace public
    • carcéral
  2. Expérimenter des pédagogies innovantes et réaliser des interventions artistiques auprès de populations diverses
  3. Accéder à des opportunités professionnelles enrichissantes

Le profil recherche intervention rejoint principalement les éducatrices et éducateurs d’art dont la pratique se situe dans des milieux formels (ex. écoles, cégeps) et informels (ex. organismes communautaires, musées, etc.) et des artistes qui s’intéressent aux pratiques sociales de l’art dans différents contextes et auprès de différentes populations. Il s’agit en quelque sorte d’un profil qui s’adresse à une population plus large. Il vise à approfondir les connaissances théoriques et pratiques qui soutiennent une intervention éducative et artistique dans divers milieux scolaires, spéciaux ou à vocation culturelle en tenant compte des problématiques actuelles en art et en éducation. Sont aussi abordées les questions liées à la diffusion, au rôle social de l'artiste et à la place de la technologie dans les pratiques éducatives et artistiques.

Deux types de recherche sont offerts :

  • la recherche fondamentale axée sur la formation à la recherche
  • la recherche appliquée axée sur une formation plus pratique en vue de répondre à des besoins particuliers des divers milieux. Dans le bloc recherche, l'étudiante, l'étudiant est amené à rédiger un mémoire portant sur une recherche théorique ou didactique ou encore sur une intervention éducative

Note : Dans cette vidéo, bien que le terme «concentration» soit utilisé, il s'agit bien de «profil».

Jacinthe Marcoux-Derasp. Marges indociles. Galerie Popop. 5 - 9 mars 2024

[Nos finissant·e·s]

Date et heure : 5 au 9 mars de 12h à 18h. Finissage le 9 mars de 15h à 18h.

La friche (2024), peinture acrylique sur toile, 245 X 205 cm.

Communiqué

«Cette histoire débute par l’expérience d’un lieu. Un lieu d’interstice entre la ville et le fleuve. Sur les berges à Verdun, je déambule parmi les espaces en friche. Mon tracé se laisse guider par les bifurcations des lignes de désir des corps en mouvement. Le monde végétal devient mon espace de refuge. Par la prolifération de leurs motifs, les corps-matières qui y cohabitent donnent vie à des récits où les frontières se dissolvent. D’étranges fictions en peuplent mes visions. 

Afin d’imaginer de nouveaux mondes qui s’écartent de la norme, j’explore la peinture comme un lieu d’expériences nouvelles où la désorientation nous invite à interroger nos manières de voir. Par mes abstractions déviantes, je pars à la découverte de la nature incertaine de l’art. Je puise dans ses motifs pour créer des structures inédites inspirées du monde végétal. J’y jardine des possibles en explorant les potentialités matérielles de la peinture où mes gestes spéculent des agencements entre les matières, les formes et les couleurs. Elles se rencontrent et se métamorphosent au gré de mes fictions dans cet étrange nouveau monde où tout semble exister dans un même espace-temps. Le motif du jardin précaire me sert à tisser des récits non reconnus de l’expérience queer pour imaginer une écologie de la différence. Des histoires où savoirs et sensibilités s’allient dans une redéfinition des frontières entre les corps qui cohabitent. En décentrant les regards, qu’est-ce que la peinture donne à voir?»

Jacinthe Marcoux-Derasp

Sujet de recherche

Des jardins précaires : création d'espaces fictifs en peinture comme lieu de rencontre avec l'altérité par une approche écoféministe du savoir-faire

Direction de recherche : Christine Major.

Clarænce Painchaud. Laboratoires des natures potentielles. Galerie de l'UQAM. 23 fév. - 6 avril

[Nos finissant·e·s]

23 février 2024 - 6 avril 2024

Vernissage : 22 février 2024, 17 h 30

Painchaud, Composante X, 2023, détail d’un objet pouvant servir de dispositif performatif, céramique, graines. Tiré des archives de l’artiste

Résumé

Pour imaginer des enchevêtrements tentaculaires entre différentes écologies, Clarænce Painchaud élabore une approche multidisciplinaire qui incorpore la performativité, la sculpture et la vidéo. S’ensuit une mise en récit de possibles inspirées d’écologies déviantes, mutantes et spéculatives. Dans une perspective queer, iel cherche à embrouiller les binarités entre nature/culture et vivant/non-vivant à travers une porosité où se rencontrent des matériaux récupérés, des temporalités diverses et des fabulations fictives. Par le biais de l’installation, les fictions qu’iel raconte occupent l’espace et deviennent modulaires. L’artiste présente ainsi un protocole dans lequel iel façonne des formes chimériques, cueille des rebuts hétéroclites et exagère des propositions performatives. Les sculptures de céramique, les objets trouvés et les lieux choisis lui inspirent des performances qui sont documentées. La transformation et la mise en relation des différentes documentations lui permettent de donner à voir des laboratoires où iel développe un rapport tangible avec le monde.

Les bourses de production en images imprimées Arprim/ÉAVM - date limite 19 mars

LES BOURSES DE PRODUCTION EN IMAGES IMPRIMÉES Arprim/École des arts visuels et médiatiques,
pour toutes les personnes étudiantes des programmes de baccalauréat et de maîtrise de l’École des arts visuels et médiatiques (Hiver 2024)

Baccalauréat
2 Bourses de 300$ 

Maîtrise
Une bourse de 400$


Date limite : Mardi 19 mars 2024 (23h59)
Dévoilement des boursiers la semaine suivante

Cette bourse de production en image imprimée doit être utilisée pour la réalisation d’un projet de création de nature académique (projet dans le cadre d’un cours ou d’une exposition étudiante).
La sélection est basée sur la créativité et l'aspect novateur du projet de l'étudiant(e).

Dossier de candidature

  • Nom, prénom, code permanent, courriel et numéro de téléphone
  • Court texte expliquant votre projet, en précisant comment se fera l’utilisation de l’image imprimée (max. 250 mots)
  • 5 images ou croquis (format jpg)

Dépôt du dossier en ligne 

Envoyer un lien Wetransfer ou GoogleDrive à Gwenaël Bélanger »»» belanger.gwenael@uqam.ca


Ces bourses sont rendues possibles grâce au projet À l’affiche, un partenariat entre Arprim, centre d’essai en art imprimé et l’École des arts visuels et médiatiques depuis 2013. 
👀 Pour plus d’information sur le projet et pour voir les oeuvres du projet À l’affiche

Portes ouvertes de l'ÉAVM du 10 au 15 février 2024

L'équipe de l'École des arts visuels et médiatiques vous propose plusieurs activités en virtuel et en présentiel.

Pré-évaluation des dossiers visuels (en virtuel)

Profitez de l’expertise des personnes chargées de cours en vue de la préparation de votre dossier visuel, dans le cadre d’une clinique de portfolios en ligne, pour recevoir des conseils.

Sur le campus le samedi 10 février 2024, de 12h à 16h (en présentiel)

Événement Facebook
 
L’équipe de l’ÉAVM vous accueille à ses deux kiosques pour répondre à vos questions sur ses programmes de 1er cycle*. Des visites guidées de nos ateliers et laboratoires vous sont également proposées. Enfin, profitez de l’expertise des personnes chargées de cours en vue de la préparation de votre dossier visuel, dans le cadre d’une clinique de portfolios.

Emplacement des kiosques :

  • 1er kiosque : au niveau R (entrée nord-est, coin Sainte-Catherine et Saint-Denis)
  • 2e kiosque : à la sortie des ascenseurs au 7e étage du Pavillon Judith-Jasmin

Horaire de la journée :

  • Visites guidées des ateliers et laboratoires : départ du 7e étage aux demi-heures, entre midi et 15h30
  • Clinique de portfolios (pré-évaluation des dossiers visuels pour le baccalauréat) : de 12h à 16h au local J-7120

Rencontre avec l’artiste : Aïda Vosoughi. Musée des beaux-arts du Canada. 10 février

[Nos étudiant·e·s]

Photo : Avec l'autorisation de l'artiste

Texte du communiqué


Rejoignez l’artiste Aïda Vosoughi alors qu’elle explore les liens entre son propre travail dans l’exposition Riopelle, à la croisée des temps et l’art et l’héritage de Jean Paul Riopelle.

Samedi 10 février 2024 : 13 h 30 à 14 h HNE
Musée des beaux-arts du Canada
Salles d’expositions temporaires
380, promenade Sussex
Ottawa (Ontario) K1N 9N4

En français suivie d’une période de questions et réponses bilingue avec le public.  
Une visite en anglais est offerte à 14 h 30.

Évènement FB

Gratuit avec le droit d’entrée. Activité libre. Aucune inscription nécessaire.
Veuillez noter que la capacité pour la visite est limitée à 60 personnes. Des appareils d'écoute seront fournis. L’intervenante sera équipée d’un microphone.

À propos de l’artiste

D’origine iranienne, l’artiste Aïda Vosoughi est basée à Montréal depuis 2014. Sa pratique artistique consiste en des projets à long terme. Pendant plus d’une dizaine d’années, ses œuvres étaient inspirées de la littérature et de la tradition picturale de la région connue aujourd’hui comme le Moyen-Orient.  

Depuis trois ans, elle travaille sur la notion du paysage et ses profonds changements dans un contexte historique, en lien avec des enjeux tels que l’environnement, la géopolitique, le colonialisme et l’économie. Présentement, elle travaille sur la notion de la frontière en tant qu’un agent du changement et de formation de nouveaux paysages, notamment, par sa dynamique face au mouvement migratoire. 


Alex Côté dans𝙒𝘼𝙏𝙀𝙍.𝙨𝙮𝙣𝙘, une exposition collective de 𝐋'𝐈𝐝𝐲𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐫𝐭𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐬. 3 février - 10 mars

[Nos étudiant·e·s]

Expositions WATER.sync - CAM en tournée

𝙒𝘼𝙏𝙀𝙍.𝙨𝙮𝙣𝙘, une exposition collective de 𝐋'𝐈𝐝𝐲𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐫𝐭𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐬, du samedi 3 février au dimanche 10 mars 2024.

À PROPOS DE L'EXPOSITION ::
Mariant art visuel, immersion vidéo et techniques mixtes, L’Idylle arts vivants convie le public à une rencontre sensorielle avec l’or bleu. Rassemblant une pléiade d’artistes, d’esthétiques et de pratiques sacrées, cette exposition collective vous fera vivre une expérience poignante, où la crise mondiale de l’eau devient aussi tangible qu’alarmante.

Présentée dans le cadre du CAM en tournée.

INFORMATIONS PRATIQUES ::
𝐕𝐞𝐫𝐧𝐢𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 : samedi 3 février, de 14 h à 16 h. 𝘌𝘯𝘵𝘳𝘦́𝘦 𝘭𝘪𝘣𝘳𝘦
𝐏𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐧𝐜𝐞 : vendredi 1er mars, 19 h 30. 𝘓𝘢𝘪𝘴𝘴𝘦𝘻-𝘱𝘢𝘴𝘴𝘦𝘳 𝘳𝘦𝘲𝘶𝘪𝘴 𝘦𝘵 𝘥𝘪𝘴𝘱𝘰𝘯𝘪𝘣𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦̀𝘴 𝘭𝘦 16 𝘧𝘦́𝘷𝘳𝘪𝘦𝘳.

HEURES D'OUVERTURE ::
Mercredi au vendredi : 13 h à 19 h
Samedi et dimanche : 13 h à 17 h

Voir moins

Véronique Lépine | Pantomime. Galerie d’art du Parc à Trois-Rivières. 28 janvier - 10 mars

[Nos diplômé·e·s] [Nos appariteur·trice·s] [Expositions]

Vernissage : dimanche 28 janvier 2024, dès 15h. L’Exposition sera en cours jusqu’au 10 mars 2024.

Heures d'ouverture : mercredi au dimanche de 12h à 17h

Galerie du Parc, 64 Rue des Ursulines, Trois-Rivières, QC

À partir d’observations sensibles de ce qui l’entoure et à travers des gestes de reproduction et de manipulation, Véronique Lépine réinterprète les matériaux d’atelier et les objets de son quotidien pour les dépouiller de leurs fonctions utilitaires. S’inscrivant dans une démarche exploratoire visant à questionner la malléabilité de la matière, elle use de stratégies non conventionnelles pour la pratique de la céramique, du verre, du moulage, de la photographie et de la soudure, allant jusqu’à détourner l’usage premier de certains matériaux qu’elle utilisera davantage pour leur qualité plastique que pratique, afin de mettre de l’avant leurs formes, leurs couleurs et leurs matérialités. Ces renversements et jeux d’associations opèrent à la fois sur un mode ludique et conceptuel. Les assemblages construits par l’artiste procèdent par accumulation, et leur organisation crée des mises en espace où le déséquilibre et la précarité deviennent une force de tension traversant l’ensemble des propositions. 

Le corpus d'œuvres sculpturales présent dans l'espace fait écho à des œuvres picturales où le public est invité à explorer frontalement la proposition artistique. Les allusions à la peinture sont récurrentes autant dans ses sculptures qui reproduisent des outils de peintre, que par les répliques en verre de coulée ou les taches de peinture qui rappelle le geste et la spontanéité.

L’exposition présente des œuvres récentes et inédites qui intègrent autant un travail illustrant le processus de création d’œuvres en verre et en céramique que les déclinaisons en découlant, via le dessin et la peinture. Elles font état du travail en atelier en illustrant la matière utilisée et en interrogeant la temporalité de leur production. Les accumulations se matérialisent avec un souci d’associations formelles et chromatiques, axé sur la duplication. L’artiste accomplie des transpositions de la matière jusqu’à ne plus comprendre quelle pièce a engendré la suivante. Ces transpositions forment ainsi une chaîne narrative abstraite composée de petits objets qui s’entremêlent afin d’assurer un rythme ludique.

Née à St-Casimir, Véronique Lépine vit et travaille à Montréal.  Diplômée de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM en 2021, ses œuvres furent présentées à de nombreuses reprises dans différents centres d'artistes, événements et expositions au Québec et à l’étranger. Parmi ses plus récentes expositions individuelles, soulignons Architecture sculpturale au Centre Langage Plus et Les formes en porte-à-faux à la Galerie B-312. Ses œuvres ont également été présentées à la Manif d’art de Québec, à la Maison de la culture Maisonneuve, à la Stadtgalerie de Berne en Suisse et lors de projet d'art urbain au Chili et en Argentine en collaboration avec Guillaume La Brie. Cofondatrice de l'organisme d'art actuel urbain Pique-Nique son travail sera également présenté en septembre 2024 à la Maison de la Culture de Longueuil.  

Admission à la Maîtrise en arts visuels et médiatiques | profil création : 1er février

Demande d’admission

Les dates limites pour déposer une demande d'admission sont  :

  • 1er février pour le profil création
  • 1er mai pour le profil recherche intervention

Attention : les candidat·e·s intéressé·e·s à soumettre leur candidature pour les deux profils doivent soumettre des documents pertinents à chaque profil. Par conséquent, l'intention de recherche doit être développée en fonction des particularités de chacun des profils.

Pour compléter une demande d’admission à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, les candidates et candidats doivent :

Voici le lien vers le formulaire qui doit être rempli par la personne candidate pour accéder à la boite de dépôt des documents requis. Une fois le formulaire rempli, celle-ci recevra, par courriel, des accès sécurisés à la boîte de dépôt du programme.

Documents requis

Tous les candidat·e·s doivent présenter un dossier complémentaire.

Au profil création :

  1. un curriculum vitae (PDF) décrivant l'expérience pertinente en arts visuels et les réalisations artistiques de la personne candidate;
  2. une intention de recherche (PDF) n'excédant pas une page;
  3. un texte de démarche (PDF), situant le travail déjà réalisé, maximum deux pages;
  4. un dossier visuel qui présente les œuvres de la personne candidate;
  5. trois recommandations

Le dossier visuel doit être constitué d’images et/ou de vidéos. Une liste descriptive numérotée doit l’accompagner. Ce dossier doit contenir :

  • un document (PDF) contenant un maximum de 20 images numérotées;
  • et/ou un maximum de cinq (5) vidéos (MOV, MP4, WAV ou AVI) numérotées d’une durée d’une (1) minute chacune;
  • une liste numérotée (PDF) qui identifie et décrit chacune des œuvres présentées dans le dossier visuel : titre de l’oeuvre, année de réalisation, médium, durée/dimension, mention des personnes collaboratrices.

Attention, aucun autre type de contenu ou de fichiers que ceux mentionnés ci-dessus ne sont acceptés.

Pour transmettre les documents requis, les candidat·e·s doivent suivre la procédure décrite après avoir complété une demande d’admission et d’en avoir acquitté les frais.

La personne candidate pourrait être convoquée en entrevue.

Au profil recherche intervention :

  • un curriculum vitae (PDF) décrivant l'expérience pertinente en pédagogie, en médiation culturelle ou en intervention artistique (arts visuels, arts plastiques, art numérique, création en design, communication, études transdisciplinaires ou autres) et les interventions artistiques de la personne candidate;
  • une intention de recherche (PDF) n'excédant pas une page; 
  • un texte (PDF) décrivant la motivation et les intérêts de recherche et, le cas échéant, d'intervention de la personne candidate, maximum de deux pages; 
  • dossier visuel témoignant d'une expérience d'intervention en pédagogie, en médiation ou en intervention artistique.

Le dossier visuel doit être constitué d’images et/ou de vidéos. Une liste descriptive numérotée doit l’accompagner. Ce dossier visuel doit contenir :

  • un document (PDF) contenant un maximum de 20 images numérotées;
  • et/ou un maximum de cinq (5) vidéos (MOV, MP4, WAV ou AVI) numérotées d’une durée d’une (1) minute chacune ;
  • une liste numérotée (PDF) qui identifie et décrit chacune des œuvres présentées dans le dossier visuel : titre de l’oeuvre, année de réalisation, médium, durée/dimension, mention des personnes collaboratrices;
  • trois recommandations

Attention, aucuns autres types de contenu ou de fichiers que ceux mentionnés ci-dessus ne sont acceptés.

Pour transmettre les documents requis, les candidat·e·s doivent suivre la procédure décrite après avoir complété une demande d’admission et d’en avoir acquitté les frais.

La personne candidate pourrait être convoquée en entrevue.

Heidi Barkun et Caroline Boileau parmi les artistes de 𝑳𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒈𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕𝒔. Galerie de l'université de Montréal

[Nos diplômé·e·s]

D'après le communiqué en ligne :

Commissaire : Marianne Cloutier

Cette exposition collective présente des œuvres inédites des artistes Heidi Barkun, Caroline Boileau, Kimberley de Jong et Hermione Wiltshire, créées au terme d’un cycle de résidences à la Chaire McConnell-Université de Montréal en recherche-création sur la réappropriation de la maternité. Sculptures, installations, dessins, vidéos et performances permettent de rendre compte des processus créatifs qui se sont échelonnés sur trois années, ainsi que des questionnements qui ont animés les démarches des quatre artistes.

Barkun, Boileau, de Jong et Wiltshire proposent des réflexions originales sur les expériences relatives au passage à la parentalité ou aux différentes étapes de la maternité (conception, grossesse, accouchement, post-partum). Aux voix des quatre artistes se superposent celles de toutes ces personnes qui ont accepté de prendre part aux projets et de partager leurs vécus autour de cette volonté de devenir parent. L’exposition explore les mythes relatifs à la maternité et les émotions contradictoires qui émergent au cours de ce processus complexe d’engendrement de la vie, ainsi que les tabous et les non-dits de ces expériences où se mêlent le personnel et le politique, le corps individuel et le corps social. Alors que les revendications d’une justice reproductive et les dénonciations des violences obstétricales sont de plus en plus présentes dans la sphère publique, l’intimité des récits explorés ici leur donnent forme et mettent en lumière les manières dont s’y exercent les différentes formes de pouvoir sur le corps.

2940, ch. de la Côte-Sainte-Catherine,
Pavillon de la Faculté de l’Aménagement,
salle 0056 (niveau rez-de-jardin
Montréal (Qc) H3T 1B9

Heures d'ouverture

Entrée gratuite
Du mardi au samedi, de 10 h à 17 h
Le jeudi de 10 h à 19 h

Pour en savoir plus

Raphaëlle Groulx-Julien | L'étant aimé. Popop. Du 12 au 20 janvier

[Exposition de fin de maîtrise] [Nos finissant·e·s]

Raphaëlle Groulx-Julien a le plaisir de vous inviter à son exposition de fin de maîtrise qui se tiendra à Popop du 12 au 20 janvier. Le vernissage aura lieu le 13 janvier, de 14h à 18h, et les informations sont sur la page de l'évènement Facebook,

Heures d'ouverture : 12:00 à 17:30 du mardi au samedi (jusqu'à 20:00 le jeudi 18 janvier) et sur rendez-vous

Vernissage : 13 janvier 2024, 14:00 à 18:00

J’éprouve régulièrement le sentiment de vouloir entrer dans une œuvre, de tenir une émotion dans mes mains. L’étant aimé est une installation élaborée autour du mythe de Narcisse et Écho, raconté par Ovide dans ses Métamorphoses. Ces personnages sont frappés d’un émerveillement suscitant un désir inassouvissable pour l’être aimé, ou plus exactement pour une vision qu’ils en ont, et qu’ils ne pourront jamais étreindre. L’installation est composée d’objets de céramique et d’étain dispersés dans l’espace et sur les murs pour évoquer le corps en transformation de Narcisse et sa répétition par Écho. Le spectateur est invité à circuler dans un moment fictif et suspendu dans le temps, à interroger la source du merveilleux, et sa propre place dans celui-ci.

***

Raphaëlle Groulx-Julien termine sa maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQÀM. Son travail a été présenté dans le cadre d’expositions collectives et de foires d’art à Montréal (Artch, Galerie de l’UQÀM, CDEx, Galerie Gham & Dafe) et à New York (Atlantic Gallery, Jill Krutick Fine Art). Ses images ont été publiées dans les revues Canadian Art et Item, et dans le journal Le Devoir. Récipiendaire de la bourse François-Xavier-Marange en arts d’impression, elle est actuellement en résidence à l’Atelier Circulaire, où elle exposera en juillet 2024.

Évènement FB

Marie Lemieux | Porter la joie. CDEx. Du 18 au 22 janvier.

[Nos finissant·e·s] [Exposition de fin de maîtrise]

Crédit photo : Morgane Clément-Gagnon

Description

« L’exposition Porter la joie est l’aboutissement d’un projet de recherche-création dont l’objectif est de célébrer ma capacité à ressentir, à imaginer et à m’exprimer par la fabrication et le port d’un costume traduisant mon expérience de l’espace social urbain. J’étudie mon rapport au mouvement des gens dans la ville par une pratique méditative du dessin dans les rues que je parcours au quotidien. Je traduis ensuite les compositions abstraites miniatures tracées dans mon cahier en broderies de dimensions semblables, que j’utilise pour orner des accessoires et des vêtements sculpturaux. J’élabore finalement des performances déambulatoires avec mon costume dans les lieux visités au début du projet. Par la multitude de leurs couleurs, de leurs textures et de leurs motifs, les œuvres enveloppant mon corps illustrent la rencontre des trajectoires individuelles que j’ai observées avec sensibilité. J’exprime ma relation à l’univers urbain et j’affirme ma place dans la ville en portant mes ornements le temps de calmes et lentes déambulations.»

Sujet de recherche :

Porter la joie : étude du rapport au contexte social de la ville par une exploration sculpturale et performative du costume; dirigée par Stéphane Gilot.

L'exposition

Vernissage :
Jeudi 18 janvier de 17h à 20h, performance déambulatoire à 18h
 
Heures d’ouverture :
Jeudi 18 janvier : 12h à 20h
Vendredi 19 janvier : fermé pour la rencontre du jury
Samedi 20 janvier : 12h à 18h
Dimanche 21 janvier : 12h à 18h
Lundi 22 janvier : 12h à 19h
 
CDEx 
405 rue Sainte-Catherine Est, local J-R930
 
Événement Facebook : https://fb.me/e/76zBA7Dgt

Samuelle Rousseau-Lamontagne | Les entres-formes silencieuses. CDEx. 8 - 12 janvier.

[Exposition de fin de maîtrise] [Nos finissant·e·s]

Du 8 au 12 janvier au CDEx.
Finissage 12 janvier de 17h à 21h.

« Cette exposition est l’aboutissement d’une recherche orientée par le désir d’économiser les matières et les matériaux lors de toutes les étapes de la production artistique. À travers la collecte et l’expérimentation de matériaux glanés dans mon environnement, l’exploration des possibilités du bioplastique en tant que matériau pour la sculpture est devenue prépondérante.  

Au fil de la recherche, mon processus s’est révélé être une récupération de l’œuvre elle-même toujours en train de se (re)faire. Les matériaux et les formes qui ont traversé diverses constructions, fragmentations et recombinaisons s’immobiliseront, pour un instant, dans le temps et l’espace de cette exposition.

Les entres-formes silencieuses est le partage d’une imagination inspirée par les mouvements et les formes de la nature, puis d’une imagination alimentée par ma relation charnelle et processuelle avec les matériaux. »

Horaire : 

  • 8 janvier – 13 h à 17h 
  • 9 janvier – fermé pour le jury
  • 10 janvier – 12h à 17h 
  • 11 janvier – 12h à 17h
  • 12 janvier – 13h à 21h (Finissage de 17h à 21h) 

Au CDEx, 405 rue Sainte-Catherine Est , local J-4050

Trajectoires : Maude Arsenault, photographe, artiste, mère et féministe. Balado

[Nos diplômé·e·s]

Maude Arsenault, autoportrait dans son studio, Montréal, 2022

Maude Arsenault est photographe, artiste, mère et féministe. Son travail a reçu de nombreux prix, dont la prestigieuse Bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain 2023.

Le parcours de Maude Arsenault  l’a amenée à scruter et à interroger le corps féminin et les espaces qui le caractérisent physiquement, psychologiquement et socialement. Dans cet épisode, elle échange sur ses projets en cours avec Barbara Clausen, historienne de l’art et Vice-doyenne à la recherche et création de la Faculté des arts de l’UQAM.

Écouter le balado

Visiter le site web de Maude Arsenault

Trajectoires est une série de balados qui font découvrir les projets de recherche-création des diplômé.e.s de programmes de maîtrise ou de doctorat de la Faculté des arts de l’Université du Québec à Montréal, ainsi que les projets actuels de ses professeur.e.s. Ici, les créatrices et créateurs et chercheuses et chercheurs vulgarisent leur démarche scientifique, partagent leurs motivations et présentent une synthèse de leurs projets de recherche et de leurs réalisations artistiques.

Alexia Laferté Coutu et Nelson Henricks, lauréat·e·s 2023 des Prix Pierre-Ayot et Louis-Comtois

[Nos diplômé·e·s]

Pour en savoir plus .

Alexia Laferté Coutu, diplômée de la maîtrise en arts visuels et médiatiques (2019), lauréate du prix Pierre-Ayot

Vue d'exposition « Darling Foundry, c.1918 » (2022). Alexia Laferté Coutu.

Mot du comité de sélection

« Le travail d’Alexia Laferté Coutu se penche sur les récits construits liés au patrimoine bâti. Par la prise d’empreintes architecturales, elle donne forme à des fragments d’histoire tout en explorant différentes matières. Verre, argile, sable et plâtre portent ainsi les marques de l’architecture, de ses mains et du temps. Les sculptures de Laferté Coutu, porteuses de mémoire, nous invitent à recomposer les bribes du passé à travers une matérialité singulière et sensorielle, qui ne peut qu’attiser notre curiosité. »

Soulignons également l’excellence du travail des deux artistes finalistes du prix Pierre-Ayot, Mara Eagle et Joyce Joumaa.

Le prix Pierre-Ayot vise à appuyer et à promouvoir l’excellence de la nouvelle création en arts visuels à Montréal, à favoriser la diffusion de jeunes artistes montréalais·es et à reconnaître l’effort des diffuseurs qui encouragent les artistes âgé·e·s de 35 ans et moins. Une bourse de 5 000 $ et un budget de 2 500 $ pour l’organisation d’une exposition individuelle sur le territoire montréalais sont offerts au lauréat·e. La Ville de Montréal fait également l’acquisition d’une œuvre du lauréat·e pour sa collection d’œuvres d’art.

Nelson Henricks, diplômé du DEPA, doctorat en études et pratiques des arts (2018), est lauréat du Prix Louis-Comtois

Vue(s) de l’exposition Nelson Henricks présentée au Musée d'art contemporain de Montréal du 17 novembre 2022 au 10 avril 2023. Photo: Paul Litherland

Mot du comité de sélection

« Sur plus de 30 ans de production artistique, l’artiste montréalais Nelson Henricks a élaboré son œuvre selon une double approche. D’une part, il a réalisé des œuvres immersives, où la rythmique du montage visuel et sonore crée une dynamique musicale qui leur est propre. D’autre part, il a développé une fascinante démarche qui explore différents sujets de l’histoire de l’art et de la culture. Son travail récent, constitué d’œuvres inédites, a fait l’objet d’une exposition solo au Musée d’art contemporain en 2022–2023 à la Place Ville-Marie. »

L’artiste est représentée par la galerie Paul Petro Contemporary Art à Toronto.

Les artistes Sylvie Cotton et Dawit L. Petros étaient également en lice comme finalistes pour le prix Louis-Comtois.

Le prix Louis-Comtois vise à consolider la reconnaissance d’un·e artiste à mi-carrière et à souligner la qualité de sa production dans le domaine de l’art contemporain à Montréal. Le prix est accompagné d’une bourse de 7 500 $ et d’un budget de 2 500 $ pour l’organisation d’une exposition individuelle sur le territoire montréalais. La Ville de Montréal fait également l’acquisition d’une œuvre du lauréat·e pour sa collection d’œuvres d’art.

Les Prix Pierre-Ayot et Louis-Comtois récompensent l’excellence en arts visuels. La Ville de Montréal décerne ces distinctions conjointement avec l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC).

Alvaro Marinho. Prêt à diffuser. Galerie Popop

[Nos finissant·e·s]

Son sujet de recherche est : Exploration décoloniale et queer par l'appropriation et le détournement de symboles coloniaux de l'imaginaire collectif brésilien dans une pratique en arts imprimés; dirigé par Romeo Gongora et Andrée-Anne Dupuis Bourret.

L'exposition se tiendra du 5 au 10 décembre 2023 à la Galerie Popop, Espace 444-372, rue Ste-Catherine Ouest, Montréal.

L’artiste s’intéresse à la récupération et à la transformation d’images historiques et d’archives coloniales afin de créer des nouveaux récits visuels sous la forme d’affiches dans une approche décoloniale . En plus, Alvaro propose une réflexion sur les stéréotypes liés aux genres féminin et masculin dans une posture queer . Pour l’artiste, la distribution gratuite des imprimés et l’affichage sauvage font partie de la démarche artistique.

Alvaro est Brésilien d’origine et Québécois par option depuis 2009. Designer, artiste visuel et vidéaste depuis plus de vingt ans.

 www.alvaroartist.ca 

Benoit Brousseau. Remuer les cendres. Hexagram-UQAM, salle d'expérimentation, Pavillon Sciences biologiques

[Nos finissant·e·s] [Exposition de fin de maîtrise]

L'exposition

Remuer les cendres de Benoît Brousseau sera présentée du 4 au 8 décembre 2023, à Hexagram-UQAM, salle d’expérimentation (local SB-4105 du Pavillon Sciences biologiques, au 141 avenue du Président-Kennedy, 4e étage, Montréal, H2X 1Y4).

Finissage 8 décembre, 16h

Les heures d’ouverture de l’exposition sont :

Lundi : 13h30 - 20h00
Mardi : 13h30 - 20h00
Mercredi : 17h00 - 20h00
Jeudi : 13h30 - 19h30
Vendredi : 13h30 - 20h00

Description

Remuer les cendres est une exposition installative, vidéographique et sonore de fin de maîtrise, réalisée
par Benoît Brousseau, qui propose une réflexion sur les corps non réclamés des personnes décédées
à Montréal. Comment créer un récit funéraire en textes et en images pour une personne défunte inconnue afin qu’elle ne soit pas oubliée ? Le récit fera naître une nouvelle présence à ces personnes, à partir d’une liste de noms trouvée sur le site web du cimetière Le repos de Saint-François d’assise de Montréal.
«Dans ma recherche, j’ai investigué leur vie par une démarche d’enquête artistique,
en étudiant les rapports du coroner. C’est à partir de ces documents que j’ai commencé
à découvrir ces inconnu.es et de sentir un lien d’appartenance avec elles et eux.»

Sujet de recherche : Récits imaginés à propos du nom propre de corps non réclamés à Montréal dans une pratique de l'installation; dirigé par Gisèle Trudel.

Maria Hoyos, récipiendaire de la Résidence Intersections de recherche, création et production 2023

[Nos diplôm·é·e·s]

Maria Hoyos, Antimonumento, 2022. Crédit photo : Claudia Patricia Velasquez
Avec l’aimable permission de l’artiste.

La diplômée de l’UQAM Maria Hoyos obtient la 3ième Résidence Intersections de recherche, création et production

L’artiste diplômée de l’École des arts visuels et médiatiques (EAVM) de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Maria Hoyos, remporte la Résidence Intersections de recherche, création et production 2023, destinée aux artistes issu.e.s de l’immigration.

Un jury composé de Romeo Gongora, professeur à l’EAVM, de Iulia-Anamaria Salagor du Conseil des arts de Montréal (CAM), de Marie-Josée Lafortune du Centre d’art contemporain OPTICA et du commissaire Kakim Goh, ont noté la grande qualité du dossier de l’artiste.

À propos de Maria Hoyos

La pratique artistique de Maria Hoyos aborde des questions historiques et  culturelles en lien avec ses origines colombiennes.La permanence et l’enracinement des inégalités historiques, culturelles, sociales et économiques des anciennes colonies ont mené à une catégorisation sociale et raciale sans précédent. Ce passé colonial a maintenu dans la servitude certains groupes de personnes en les infériorisant, voire en les  inféodant, sous le couvert de l’exploitation de la force de travail et  à la faveur d’une hiérarchisation sociale normative.

Marquée par l’exploitation sucrière qu’elle a connu enfant, Hoyos cherche à révéler l’inconscient colonial omniprésent dans nos rapports quotidiens qui nourrissent la relation de domination et d’abus dans nos sociétés.

Son champ de recherche s’inscrit dans une réflexion concernant l’art et l’identité. Ses installations sont composées de dessins, de photographies, de vidéos, d’animations en sucre, d’assemblages d'objets et de rituels qui prennent ancrage dans l’espace et par lesquels l’artiste consacre le lieu de présentation.

«L'art est ma façon  d'agir sur le présent, ma façon d’analyser, de comprendre et de partager  l’histoire.»

Biographie de Maria Hoyos

Maria Hoyos est une artiste colombienne, originaire de Cali. Elle vit en Abya-Yala* et également dans le territoire non cédé des Premières Nations de Tiohtiá:ke. Profondément attachée à sa ville d’origine, Santiago  de Cali, elle s'intéresse depuis ses débuts à la vidéo, explorant l’image en mouvement pendant ses études à Bogota, à Madrid et à La Havane. Au El Instituto Departamental de Bellas Artes de Cali, elle découvre l’installation et sa passion  pour la matière et le faire. Immigrant au Québec en 2002, elle détient une maîtrise en création de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM (2022) et un baccalauréat en enseignement en arts visuels et médiatiques de la même université.

Site Web de Maria Hoyos

*Abya-Yala. Autodésignation en Langue Kuna : Terre en maturité, terre vivante, terre en  florescence, terre de sang.

À propos de la Résidence Intersections de recherche, création et production

La Résidence Intersections de recherche, création et production récompense des artistes issu.e.s de l’immigration (de première ou de seconde génération) qui sont membres des minorités ethniques ou visibles. Les candidat.e.s éligibles sont diplômé.e.s de la maîtrise à l’EAVM. Les artistes lauréats ont accès, notamment, aux ateliers techniques spécialisés de l’École des arts visuels et médiatiques, à un studio de création ainsi qu’à une exposition et une résidence de recherche au Centre d’art contemporain OPTICA. Un accompagnement du professeur Romeo Gongora de l’EAVM et du personnel du centre d’art contemporain POTICA est aussi offert à l’artiste.
Lien vers le site Web

VESTIGE VERTIGE. Exposition et présentations en deux phases des artistes-chercheurs.euses de la cohorte 2023

[Nos étudiant·e·s]

Exposition collective VESTIGE VERTIGE des artistes-chercheurs.euses à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM - cohorte 2023 - du 6 au 17 décembre 2023 au CDEx.

Deux rendez-vous!

1re partie - Une exposition interdisciplinaire explorant le potentiel fictionnel, documentaire, poétique et environnemental de l'art contemporain. Vernissage le jeudi 7 décembre 17h @ 20h

Artistes-chercheurs.euses : Alex Côté, Océane Buxton, Pierre-Olivier Déry, Léa Devenelle, Jean-François Hamelin, Pierre-Étienne Massé, Denis McCready, Daniel Saumier, Gabrielle Turbide, Meline Viola-Parret.

2e partie - Une exposition qui explore les frontières entre l'onirisme et le tangible où les artistes confèrent de nouvelles essences à des objets empreints d'émotions en jouant avec les subtilités du sensible. Vernissage le jeudi 14 décembre 17h @ 20h

Artistes-chercheurs.euses : Annie Auger, Michèle Barcena-Sougavinski, Laurence Lapointe-Roy, Manon Lizé, Cristal Luque Castro, Nick Ma, Giuseppe Masia, Fatima-Zohra Ouardani, Julie Pastore, Marie-Pier Vanchestein.

CDEx, 405 rue Ste-Catherine Est, coin St-Denis, local J-R940, UQÀM - Pavillon Judith-Jasmin - Rez-de-chaussée

1re partie - 6 au 10 décembre 11h @ 18h

2e partie - 14 au 17 décembre 11h @ 18h

Présentations

    Lundi 11.12, 13 à 17, en présence de Mojeanne Behzadi

    • 13.05 Léa Devenelle
    • 13.25 J-François Hamelin
    • 13.45 Denis McCready   
    • 14.05 Daniel Saumier 
    • 14.40 P-Étienne Massé 
    • 15.00 Gabrielle Turbide
    • 15.20 P-Olivier Déry
    • 15.55 Alex Côté
    • 16.15 Méline Viola
    • 16.35 Océane Buxton                                                     

    Lundi 18.12, 13 à 17h, en présence de Camille Richard

    • 13.05 Julie Pastore
    • 13.25 Nick Ma
    • 13.45 Manon Lizé  
    • 14.05 Michèle Barcena-Sougavinski
    • 14.40 Giuseppe Masia
    • 15.00 Marie-Pier Vanchestein
    • 15.20 Fatima Zohra Ouardani
    • 15.55 Cristal Luque Castro
    • 16.15 Annie Auger
    • 16.35 Laurence Lapointe-Roy 

    Nos étudiant·e·s à la 28e rencontre interuniversitaire des maîtrises en arts visuels du Québec

    [Nos étudiants·e·s]

    Les représentant·e·s de la maîtrise en arts visuels de l'UQAM, Maxence Croteau et clémence lesné, ont fait une présentation de leur recherche création, les 9 et 10 novembre dernier, lors de la 28e Rencontre interuniversitaire des maîtrises en art du Québec qui a lieu, cette année, à l’École d’art de l'Université Laval, du 8 au 10 novembre 2023.

    Cette exposition-colloque est un contexte de rencontre privilégié entre des professeur·es et des étudiant·es issu·es des universités québécoises offrant des programmes de 2e cycle en arts visuels (Université du Québec à Chicoutimi, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Université du Québec à Montréal, Université du Québec en Outaouais, Université Concordia et Université Laval). Elle constitue une rare occasion de mise en commun des pratiques, des méthodologies et des recherches en art. Il s’agit d’un contexte critique exceptionnel pour saisir les différentes approches pédagogiques développées au Québec et ainsi permettre aux étudiant·es de maîtrise de se situer au sein de cet ensemble de pensées et de pratiques.

    Douze étudiant·es provenant de six universités québécoises exposeront leurs œuvres dans le cadre d’une exposition collective présentée au RAB – lieu de diffusion et d’expérimentation de la maîtrise en arts visuels de l’École d’art et partageront leur recherche de maîtrise dans le cadre de ce colloque étudiant. En marge du cursus pédagogique régulier, ces présentations permettront de découvrir une diversité de démarches artistiques de la relève en plus de favoriser les échanges critiques entre étudiant·es et professeur·es issu·es de diverses universités.

    Les participant·e·s étaient :

    • Po B. K. Lomami (Université Concodia)
    • Sabina Rak (Université Concodia)
    • Frédérique Larivée Levesque (Université du Québec en Outaouais)
    • Jérémie Roussel (Université du Québec en Outaouais)
    • Rosemarie Caron (Université du Québec à Chicoutimi)
    • Emy G. St-Laurent (Université du Québec à Chicoutimi)
    • Alexandre Demers-Roberge et Maxime Périgny ((Université du Québec en Abitibi-Témicamingue))
    • Juan David Molina Velasco (Universsité Laval)
    • Antoine Paradis (Université Laval)

    Pour en savoir plus...

    Voici quelques images de nos représentant·e·s :

    Crédits photo : Claire Savoie

    Boris Pintado | Fictions. Centre national d'exposition, Jonquière

    Date : du 19 novembre 2023 au 14 janvier 2024
    Vernissage : Dimanche 19 novembre à 14 h

    CENTRE NATIONAL D’EXPOSITION

    4160, du Vieux-Pont, Mont Jacob
    Jonquière (Québec) G7X 7W4
    info@centrenationalexposition.com
    centrenationalexposition.com

    Crédit de l’oeuvre : © Pintado, Boris, Acanthe Série 2021. Dessin. Graphite sur papier.

    Extrait du communiqué :

    « La vie est un songe », écrivait le dramaturge espagnol Calderon de la Barca au XVII siècle. Un peu avant lui, Shakespeare proclamait que « le monde entier est un théâtre », tandis que pour l’auteur contemporain Y. N. Harari « l’humain est l’animal qui se raconte des histoires ».
    Fictions politiques, religieuses, culturelles, artistiques, ce qu’on appelle « réalité » me semble effectivement être une courtepointe, ou plutôt, un inextricable entrelacement de fictions multiples et diverses, aussi bien collectives qu’individuelles. Cette perspective m’interpelle et me séduit. Boris Pintado.

    En savoir plus...

    Regénération | Journée d'étude jeunes chercheur.e.s

    [Nos étudiants·e·s]

    Première journée d'étude jeunes chercheur.e.s organisée dans le cadre du partenariat 𝐑𝐞𝐕𝐞 (𝐑𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐞𝐜𝐭𝐞𝐫 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐯𝐞́𝐠𝐞́𝐭𝐚𝐥) / 𝐔𝐐𝐀𝐌.

    Il s'agit d'une journée interdisciplinaire autour du végétal et trois artistes et étudiantes à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM présenteront leur projet de recherche-création : Maude Girard , Jacynthe Desrapspe et Laetitia de Coninck .

    Axée sur la présentation de projets de recherche étudiant, issus de disciplines variées et en lien avec le végétal, cette journée d’étude sera également l’occasion de nous rencontrer dans une ambiance informelle. 

     : Pavillon de danse de l’UQAM (K), 2e étage (local K-2210)

    Quand : Vendredi 24 novembre 2023,

    Heures: de 10h à 15h, accueil à compter de 9h45

    Lieu: Pavillon de danse de l’UQAM (K), 2e étage (local K-2210)

    Programme

    9h45 Accueil et mot de bienvenue

    10h Cycle délicat: Explorations végétales dans une pratique artistique performative et relationnelle

    Laetitia de Coninck, artiste, candidate à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, profil recherche-création (UQAM)

    10h20 Soigner le verbe habiter

    Michèle Laberge, candidate à la maîtrise en études littéraires, profil création (UQAM)

    10h40 Mémoire d’un Ent, le cas de Fangorn

    Fabien Ronco, candidat au doctorat en études littéraires, profil recherche (UQAM)

    11h00 Pause

    11h15 Découverte de la forêt canadienne par l’expérience de l’altérité dans Hélier, fils des bois de Marie Le Franc

    Justine Duclos, candidate à la maîtrise en études littéraires, profil recherche (UQAM)

    11h35 La santé en forêt dans une forêt en santé : recherche d’équilibres

    Delphine Théberge, candidate au doctorat en sciences forestières (U. Laval)

    11h55 Partager sa vie avec le végétal par des actions intimistes 

    Maude Girard, artiste, candidate à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, profil recherche-création (UQAM)

    12h15 – Pause repas – lunch discussion

    13h30 L’art au service de la démocratisation des savoirs : une collaboration en recherche-création entre vie végétale et savoirs traditionnels atikamekw

    Christine Tougas, candidate au doctorat en études et pratiques des arts, profil recherche (UQAM)

    13h50 Comment traduire le territoire ?

    Alexandre Côté Perras, candidat au doctorat en études littéraires, profil recherche-création (UQAM)

    14h10 Des jardins précaires

    Jacinthe Marcoux-Derasp, artiste, candidate à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, profil recherche-création (UQAM)

    14h30 – 15h Discussion générale,  retour sur la journée

    L’événement Régénération : Journée d’étude Reconnecter avec le végétal (ReVe) est organisé par Christine Tougas, Laetitia de Coninck et Cat Alexis Blanchette, qui constituent le comité de membres étudiants employé.es du ReVe et du GRIVE. 

    Pour en savoir plus...

    Aïda Vosoughi en résidence à l'École d'art de Calaisis

    [Nos étudiant·e·s]

    Texte du communiqué :

    Iranienne d’origine, Aïda VOSOUGHI vit à Montréal (Québec-Canada) depuis 2014. Pendant plus d’une dizaine d’années, ses œuvres se sont inspirées de la littérature et de la tradition picturale moyen-orientale. Depuis trois ans, elle travaille sur la notion de paysage et des profonds changements qu’il subit parfois, en écho à un contexte historique où sont convoqués différents enjeux tels que l’environnement, la géopolitique, le colonialisme ou encore l’économie. À travers un langage métaphorique, elle traite ces sujets par une pratique de la peinture, de l’installation, de la vidéo d’animation et par la présentation d’archives documentaires.Actuellement, elle travaille sur la notion de frontière en tant qu’agent du changement et de la formation de nouveaux paysages, notamment par sa dynamique face aux mouvements migratoires.

    L’école d’art du Calaisis – Le Concept accueille Aïda VOSOUGHI à Calais dans le cadre d’une résidence d’action culturelle et de médiation du 2 novembre au 22 décembre 2023. Cette résidence d’artiste est organisée avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles Hauts-de-France, en partenariat avec le centre d’art canadien Adelard de Frelighsburg (Québec). Ce projet vise à favoriser la création d’échanges entre une artiste, son œuvre, son esthétique et le territoire du Calaisis, par une politique d’ouverture internationale axée sur la francophonie. L’enjeu de ce programme est de multiplier les échanges en favorisant la pratique artistique, les démarches de participation et de co-création, les actions de médiation à destination de différents publics permettant une ouverture sur le champ de l’art contemporain.

    L’exposition d’Aïda Vosoughi «TRANQUILLEMENT, LE SEL A EFFACÉ CES MARQUES » sera visible dans le hall de l’école du 10 novembre au 22 décembre 2023.
    (Accès libre : du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 19h et durant les vacances scolaires de 9h à 12h et de 14h à 17h)

    Vernissage en présence de l’artiste le jeudi 9 novembre à 18h00

    Rencontre avec le public le mardi 14 novembre à 18h30

    Pour en savoir plus...

    Pour télécharger le dossier de presse de l’artiste, c’est ICI

    Aïda Vosoughi participe à l'exposition : Riopelle, à la croisée des temps. Musée des beaux-arts du Canada

    [Nos étudiant·e·s]

    Aïda Vosoughi participe à l'exposition "Riopelle, à la croisée des temps" sous le commissariat de Sylvie Lacerte, au Musée des beaux-arts du Canada jusqu'au 7 avril 2024.

    En plus des œuvres de Riopelle, les visiteurs découvriront toute la force de l’influence de Riopelle sur un large éventail de perspectives culturelles et esthétiques grâce à l’inclusion d’une sélection d’œuvres de ses contemporains – Sam Francis, Alberto Giacometti, Roseline Granet, Serge Lemoyne, Joan Mitchell, et Françoise Sullivan –, et d’artistes d’aujourd’hui – Thomas Corriveau, Patrick Coutu, Brian Jungen, Manuel Mathieu, Caroline Monnet, Marc-Antoine K. Phaneuf, Marc Séguin, et Aïda Vosoughi.

    Pour en savoir plus

    Aïda Vosoughi. Les paysages déplacés II". 360 dessins à l’acrylique sur papier vélin, fil à pêche, miroir. Dimensions de chaque feuille : 11 po x 9.5 po. 2021. Photo : archives de l'artiste.

    Louis-Philippe Côté | La chambre aux miroirs. Galerie Simon Blais

    [Nos technicien·ne·s]

    Exposition des deux nouvelles séries de peintures de Louis-Philippe Côté : La chambre aux miroirs et Super-futur.

    Du 8 novembre 2023 au 16 décembre 2023

    La chambre aux miroirs fait suite aux séries Dérive (2017), Apocalypse silencieuse (2019) et Intérieur (2021). Côté continue son exploration de la couleur et des mondes intérieurs. D’une grande complexité, les peintures de La chambre aux miroirs ont surgi par l’accumulation de couches, d'effacements et de repentirs. C’est cet acharnement dans la matière qui crée cette richesse des couleurs et ces espaces évanescents à la limite du rêve et de l’apparition.

    La seconde série, Super-futur, s’inscrit dans l’intérêt du peintre pour l’exploration du collage à travers le champ de la peinture. Côté combine cette fois-ci les références figuratives à l’abstraction picturale. Cette série expérimentale offre un point de vue opposé aux peintures de La chambre aux miroirs, la violence du réel et les obsessions référentielles de l’artiste étant plus palpables.

    À la même occasion, la Galerie Simon Blais publiera la première monographie de l’artiste, Ombre et éblouissement. Cet ouvrage regroupe une sélection d'œuvres peintes réalisées entre 2003 à 2023 et un essai de Maxence Croteau sur les peintures de La chambre aux miroirs.

    Exposition présentée dans le cadre de l'événement Pictura

    Site web de l'événement

    Stanley Wan | Espaces imprévisibles. Galerie de l'UQAM

    [Nos finissant·e·s]

    Sujet de recherche : Remémoration de traumatismes familiaux et exploration d'espaces créoles retraçant l'impact de la subjugation coloniale par le dessin comme sculpture-installation; dirigé par Christine Major. .

    Exposition : Espaces imprévisibles,à la Galerie de l'UQAM.

    3 novembre 2023 - 20 janvier 2024

    Vernissage : 2 novembre 2023, 17 h 30

    Pour en savoir plus...

    Stanley Wany. Déprédation coloniale, 2003, café, médium polymère, fibre de coton, papier en fibres de canne à sucre sur canva. Photo : Stanley Wany

    Présentation d’artiste et performance

    22 novembre 2023, 17 h 30 - 18 h 30

    En présence de l’artiste Michèle Magema

    Galerie de l’UQAM

    En français

    Dans le cadre de la série L’art observe, la Galerie de l’UQAM invite le public à une rencontre performative de Stanley Wany. Dans une discussion animée par Michèle Magema, l’artiste parlera de sa démarche artistique ainsi que des recherches entreprises durant son parcours à la maitrise.

    Maxence Croteau et Clémence Lesné à la 28e RIMA. Université Laval. 8 au 10 novembre

    Maxence Croteau et clémence lesné seront les représentants de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM, à la 28e Rencontre interuniversitaire des maîtrises en art du Québec qui aura lieu, cette année, à l’École d’art de l'Université Laval, du 8 au 10 novembre 2023.

    Cette exposition-colloque est un contexte de rencontre privilégié entre des professeur·es et des étudiant·es issu·es des universités québécoises offrant des programmes de 2e cycle en arts visuels (Université du Québec à Chicoutimi, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Université du Québec à Montréal, Université du Québec en Outaouais, Université Concordia et Université Laval). Elle constitue une rare occasion de mise en commun des pratiques, des méthodologies et des recherches en art. Il s’agit d’un contexte critique exceptionnel pour saisir les différentes approches pédagogiques développées au Québec et ainsi permettre aux étudiant·es de maîtrise de se situer au sein de cet ensemble de pensées et de pratiques.

    Douze étudiant·es provenant de six universités québécoises exposeront leurs œuvres dans le cadre d’une exposition collective présentée au RAB – lieu de diffusion et d’expérimentation de la maîtrise en arts visuels de l’École d’art et partageront leur recherche de maîtrise dans le cadre de ce colloque étudiant. En marge du cursus pédagogique régulier, ces présentations permettront de découvrir une diversité de démarches artistiques de la relève en plus de favoriser les échanges critiques entre étudiant·es et professeur·es issu·es de diverses universités.

    Les autres participant·e·s sont :

    • Po B. K. Lomami (Université Concodia)
    • Sabina Rak (Université Concodia)
    • Frédérique Larivée Levesque (Université du Québec en Outaouais)
    • Jérémie Roussel (Université du Québec en Outaouais)
    • Rosemarie Caron (Université du Québec à Chicoutimi)
    • Emy G. St-Laurent (Université du Québec à Chicoutimi)
    • Alexandre Demers-Roberge et Maxime Périgny ((Université du Québec en Abitibi-Témicamingue))
    • Juan David Molina Velasco (Universsité Laval)
    • Antoine Paradis (Universsité Laval)

    Pour en savoir plus...

    Lynn Kodeih, lauréate de la Résidence du Prix national d’art de Salt Spring

    [Nos diplômé·e·s]

    Félicitations à Lynn Kodeih, qui a remporté le 24 octobre dernier la Résidence du Prix national d’art de Salt Spring !

    Lynn Kodeih est une artiste et chercheuse née à Beyrouth (Liban) et basée à Tiohtià:ke / Mooniyang / Montréal depuis 2020. Sa pratique porte sur l’imbrication de l’art et de la politique, et se situe à la croisée de la textualité, de l’auto-théorie, de la vidéo. , et l’installation. Elle aborde les notions d’image et de pouvoir, de territoire, de frontières, d’errance et d’appartenance dans une perspective décoloniale. Son travail a été présenté au Canada et à l’international, à La Galerie de l’UQAM (Montréal), SAW Gallery (Ottawa), Kunstbanken Performance Festival (Norvège), International Film Festival, Rotterdam (Pays-Bas), Berlin Transart Triennial (Allemagne). , Homeworks—Ashkal Alwan, Beirut Art Center et Beirut Art Fair (Liban), entre autres.

    Les jardins impossibles, 2020-2023
    Installation. Porcelaine, earthenware, painted canvas, table.
    Installation. Porcelaine, faïence, toile peinte, table.
    365 x 122 cm

    Laetitia de Coninck participe à l'exposition des finalistes du Prix en arts visuels. Fondation Grantham

    Le Prix en arts visuels est remis tous les ans à un·e étudiant·e du Québec grâce à un partenariat entre la Fondation Grantham pour l’art et l’environnement, le Fonds Pierre-Mantha et les universités québécoises participantes. Il est accompagné d’une exposition à la Fondation réunissant les travaux des 6 étudiant·e·s (1 par université participante) dont le dossier aura été soumis au comité de sélection.

    L’exposition Horizons nouveaux est une fenêtre sur la relève en arts visuels. Elle rassemble les œuvres de six artistes dont les démarches abordent des enjeux environnementaux à travers une variété de formes et de méthodologies.

    À la Fondation Grantham du 11 au 26 novembre prochain.

    Pour plus d'informations : https://www.fondationgrantham.org/fr/expo-horizons-nouveaux 

    Les artistes sont :

    • Bianca Shonee Arroyo-Kreimes, lauréate
    • Laetitia de Coninck, finaliste
    • Julie Desrosiers, finaliste
    • Catherine Gagnon, finaliste
    • Katia Gagnon, finaliste
    • Flavie Goyer-Villeneuve, finaliste

    Alex Côté, commissaire de l'exposition WATER.sync. Maison de la culture Janine-Sutto

    [Nos étudiant·e·s]

    Vernissage en présence des artistes : Jeudi 9 novembre de 17h à 20h aux studios 1 et 2 de la Maison de la culture Janine-Sutto au 2550 rue Ontario est, Montréal, H2K 1W7

    ≋≋≋
    Exposition : Du 9 novembre 2023 au 7 janvier 2024
    ≋≋≋


    Description : Mariant art visuel et immersion vidéo, L’Idylle arts vivants vous convie à une rencontre sensorielle avec l’or bleu. Rassemblant une pléiade d’artistes, et d’esthétiques, cette exposition vous fera vivre une expérience poignante, où la crise mondiale de l’eau devient aussi tangible qu’alarmante.
    ≋≋≋
    Artistes : Alex Côté, Ertra, Arico, Zoé Boivin, Lara Kramer, Anne-Marie Asselin, Mireille R. Champagne, Mathieu-Philippe Perras, Marilyne Busque-Dubois, Emmanuel Béhier-Migeon, Marc-Olivier Forand, Julia Sinelnikova
    ≋≋≋
    Collaborateur.trice.s : Marc-Olivier Forand, Ida Baptiste, Duval
    ≋≋≋
    Commissaire : Alex Côté
    ≋≋≋

    Exposition rendue possible grâce au Conseil des arts de Montréal en tournée

    Portes ouvertes : kiosque et visites guidées de l’École des arts visuels et médiatiques

    L’École des arts visuels et médiatiques (EAVM) vous convie à une visite de ses ateliers et de ses laboratoires. Des personnes étudiantes vous guideront sur les étages du pavillon de Judith-Jasmin pour découvrir ses locaux. Rendez-vous au kiosque de l’EAVM pour le départ des visites. Des personnes directrices de programme et employées de soutien vous y accueilleront pour répondre à vos questions sur ses programmes, soit le Certificat en arts visuels, le Baccalauréat en arts visuels et médiatiques (profil pratique et enseignement des arts) et la Maîtrise en arts visuels et médiatiques – concentration création et recherche-intervention).

    • Horaire : De 12h à 16h

    Les départs des visites guidées se feront aux demi-heures à partir de 12h30, au kiosque de l'EAVM (niveau R, Pavillon Judith-Jasmin)

    Laetitia de Coninck. Cycle délicat : l'expérience de l'intime. CDEx

    [Exposition de fin de maîtrise]

    Du 17 au 21 octobre

    « Trois années se sont écoulées depuis ma première rencontre avec les fleurs de zinnia et j’ai le sentiment d’être à la fois différente, comme étrangère à moi-même, et en même temps plus intimement mêlée au monde, comme si la frontière entre le dedans et le dehors disparaissait progressivement et que je pouvais me prolonger au-delà de mon enveloppe corporelle. En acceptant le risque d’être transformée par l’autre, la rencontre, aussi délicate soit-elle, devient dès lors possible. M’ouvrant à tout ce qui – au-delà de l’humain - constitue les mailles du monde environnant, je tente de créer des alliances, de tendre vers une extériorité que je ne domine pas. Sans autre projet que de persévérer dans leur raison d’être, les zinnias m’ont invitée à les rejoindre dans leur aventure collective, à créer sur un mode qui puisse laisser la place à des formes de vie singulières et à des expériences multiples, déployer des métamorphoses et engendrer de nouvelles identités. Aujourd’hui, sans avoir besoin de prouver quoi que ce soit, avec cet engagement du corps tel que l’intention disparait, nous continuons d’avancer ensemble dans l’incertitude, en espérant des devenirs joyeux et florissants. 

    À propos du Cycle délicat  

    En 2020, j’ai amorcé un cycle de création s’inscrivant dans une logique événementielle, sorte de laboratoires d’attention dans lesquels je propose d’explorer les relations avec l’autre végétal par le biais de performances participatives de longue durée. C’est à partir de mes rencontres avec les végétaux, en me laissant instruire par leurs corps, en regardant et en écoutant le monde avec eux et en restant attentive à ce qui se produit au-delà, en deçà du langage, que j’ai créé les trois premiers évènements du Cycle délicat : Invitation à la douceur (2020), Amortir la chute (2021), Détachement (2022). Ma recherche-création se poursuit avec L’expérience de l’intime (2023). L’approche méthodologique de ce cycle qui s’échelonne sur un temps long repose sur l’interdisciplinarité ainsi que sur l’expérience du terrain et propose de faire appel autant aux savoirs botaniques, à la philosophie du végétal, aux pratiques d’observation et d’attention présentielle, au sens du performatif et à la coopération comme processus et dispositifs de création et de co-création. »

    Horaire d'ouverture de la galerie 

    • Mardi 17 octobre : 13h à 18h
    • Mercredi 18 octobre : 13h à 18h
    • Jeudi 19 octobre: 13h à 19h
    • Vendredi 20 octobre: 13h à 19h
    • Samedi 21 octobre : 12h à 16h

    Maxence Croteau. Le livre-bibliothèque. Bibliothèque des arts de l'UQAM

    [Exposition de fin de maîtrise]

    Invitation de l'artiste :

    L'exposition du ''livre-bibliothèque' est un livre imagé absurdement exagéré qui condense exhaustivement les quelques 60 000 livres de la bibliothèque des arts de l'UQAM.

    Après un an de ratissage méticuleux et de compulsion systématique avec chacun des ouvrages de la bibliothèque des arts, j'ai pu former ce livre surdimensionné qui nous permet d'avancer visuellement, page après page, dans les rayonnages inépuisables de la bibliothèque. 

    Si vous êtes curieux, sachez que le livre est ''exposé'' bien sagement et institutionnellement dans la bibliothèque des arts au local A-1262 jusqu'au 8 octobre à 22h. 

    Vous pouvez passer le voir et le feuilleter librement en fonction des heures d'ouverture de la bibliothèque des arts qui sont ici indiquées; 

    L 8:30-22:00 | M 8:30-22:00 | M 8:30-22:00 | J 8:30-22:00 | 

    V 8:30-22:00 | S 10:00-18:00 | D 10:00-18:00

     

     

     

     

    Félicitations à Gabrielle Turbide pour l'obtention de la bourse de l'ÉAVM 2023!

    [Nos étudiant·e·s] [Prix et bourses]

    Artiste originaire de Montréal, Gabrielle s’intéresse à la création d’écosystèmes hybrides et à la production d’installations reliant arts, sciences et technologies numériques. Le bioart a une influence majeure sur ses recherches et son esthétique artistique.  Elle travaille en particulier sur le potentiel d’agentivité des plantes et du phytoplancton. Pour elle, les feuilles sont des écrans et leurs cellules des pixels, capables d'imprimer des images et des textes poétiques. Pour ce faire, elle développe des techniques de photographie expérimentale appelées "anthotype" et "chlorotype". Elle travaille également l’installation cinétique, la programmation visuelle et la vidéo. 

    Elle a étudié au baccalauréat interdisciplinaire en arts numériques à l’Université du Québec à Chicoutimi et à l’Universidad de los Andes en Colombie. Son travail a été présenté au Québec et au Maroc.

    La Bourse de l'ÉAVM (1500$) provient du Fonds des professeurs de l'Ecole des arts visuels et médiatiques et est attribuée par sélection lors des admission au profil création du programme de la maîtrise en arts visuels et médiatiques.

    Félicitations à Nick Ma, bénéficiaire de la bourse Marc-Plamondon 2023!

    [Nos étudiant·e·s] [Prix et bourses]

    Solace ou À la fin des temps. 2022. Béton, métaux usagés, artefacts urbains, feuilles de Ginkgo biloba. [Entre 5 et 200] x 500 x 200 cm. Écomusée du Fier Monde, Montréal. Crédit photo : Marc Gibert

    «Du spleen au wabi-sabi, je suis en ruine depuis quelques décennies.  Mon regard se porte sur le monde, recherchant une connexion, et c’est dans la contemplation d’états décalés, dégradés et d’imperfections que s’arrime ma réflexion.  J’erre ainsi dans un état hybride, expérimentant avec les entités fragilisées afin de les revaloriser, se reflétant ainsi dans mon approche de la matière et des médiums ; entre le surcyclage et l’utilisation de matériaux dégradables.  Cette errance s’anime par un processus de dérive et de déambulation, laissant une place importante aux ressacs des évènements, que j’observe, fragmente et structure vers des formes réflexives et contemplatives ayant comme pivot les notions phénoménologiques de ruines urbaines, « d’espace-jardin » et d’écosophie». Nick Ma.

    La Bourse Marc-Plamondon pour la sculpture et l'installation (5 000 $) est attribuée par sélection lors des admissions au profil création du programme de la maîtrise.

    Félicitations à Daniel Saumier, bénéficiare de la bourse Pierre-Ayot!

    [Nos étudiant·e·s] [Prix et bourses]

    La chute (2020). Impression jet d’encre sur papier Verona, 60 X 82 cm. Ed. 3.

    Daniel Saumier crée des œuvres humanistes qui exploitent la photographie, la peinture et la vidéo afin de questionner spécifiquement notre rapport aux traumatismes humains. Les images et vidéos qu’il crée sont constituées de représentations inspirées d’histoire de drames humains qui sont personnels ou médiatisés, passés ou contemporains. Dérivés de la théorie du trauma, ces événements comprennent principalement les tragédies interpersonnelles, mais s'étendent aux événements naturels et accidentels. En combinant des éléments documentaires, symboliques et de mise en scène à des titres indicatifs de sens, il cherche à créer des images ambiguës qui nous forcent à nous demander comment les lire. Certaines œuvres décontextualisent les images de tragédies afin de mettre en avant plan des caractéristiques inaperçues de ces images et de les appréhender autrement. D’autres incluent des enfants dans le but de susciter une réponse empathique aux situations d’origine tragique. Sur eux, en effet, nous projetons rapidement des relations familières, ce qui ouvre la considération des ramifications sous-jacentes complexes qui forgent les tragédies humaines. D’autres travaux questionnent le rôle de la photographie comme médiateur de vérité dans le contexte de drames humains.

    La Bourses Pierre-Ayot (bourse de recrutement de 1 500 $) est attribuée par sélection lors des admissions au profil création du programme de la maîtrise en arts visuels et médiatiques.

    Félicitations à Thaylini Luz, bénéficiaire de la bourse Jacques-Albert-Wallot 2023!

    [Nos étudiant·e·s] [Prix et bourses]

    Mauvaises pensées (Maus pensamentos en portugais), tenue en mai 2023 au SESC-PR, à Curitiba, Brésil. Expographie en collaboration avec la commissaire et les artistes. Crédit photo : Bruno Tadashi.

    Thaylini Luz est une commissaire indépendante et chercheuse multidisciplinaire originaire du Brésil, établie à Montréal. Son parcours académique en architecture et en arts hybrides l'a amenée à explorer les interactions transgressives entre l'art contemporain et l'architecture. Elle se consacre à repousser les limites de l'art et de la création à travers le commissariat, tout en s'engageant activement dans l'éducation artistique et la médiation culturelle, cherchant à démocratiser l'accès aux discussions artistiques et à stimuler la création au sein des communautés. Thaylini Luz possède expérience en tant que commissaire d'expositions en art visuel, productrice et conceptrice de projets artistiques, ainsi qu'en enseignement en architecture.

    La Bourse Jacques-Albert-Wallot (bourse de recrutement de 1 500$) est remise à une étudiante, un étudiant nouvellement admis au profil recherche-intervention afin de souligner la qualité de son intention de recherche et de son dossier académique. Elle est attribuée par sélection lors des admissions au profil recherche-intervention du programme de la maîtrise en arts visuels et médiatiques.

    Marie Samuel Levasseur : Interroger l’accès 2 – de l’apprentissage à l’action. Présentation publique

    [Nos diplômé·e·s]

    Crédit : Gabriel Fournier

    Marie Samuel Levasseur, en résidence de recherche-création dans le cadre d’Interroger l’accès 2 – de l’apprentissage à l’action, à OBORO, de février à décembre 2023, relatera ses avancées sur ce projet en cours dans une présentation publique, le jeudi 11 octobre 2023, à partir de 17 h 30 au Monument-National. Gratuit et ouvert à tou.te.s. Présentez-vous tôt, les places sont limitées. L’activité sera présentée en français avec interprétation en LS.📅

    Date(s) : 11 oct 2023, 17 h 30

    Lieu : Monument-National

    Événement

    L’artiste Marie Samuel Levasseur est en résidence de recherche-création dans le cadre d’Interroger l’accès 2 – de l’apprentissage à l’action, à OBORO, de février à décembre 2023.

    Elle relatera ses avancées sur ce projet en cours dans une présentation publique, le jeudi 11 octobre 2023, à partir de 17 h 30 au Monument-National. Gratuit et ouvert à tou.te.s. Présentez-vous tôt, les places sont limitées. L’activité sera présentée en français avec interprétation en LSQ.

    Au cours de sa résidence Narrations multiples et voix sensitives : la méthodologie du bavardage appliquée en audiodescription et en vidéodescription, qui s’échelonnera sur plusieurs mois, elle mettra en œuvre cette méthodologie à travers différentes étapes du processus d’audiodescription et de vidéodescription. Marie Samuel Levasseur entrevoie de réfléchir la notion d’accessibilité de la textualité alternative par une approche intersectionnelle (neurodiversité, genre, accent, race, origine, classe); d’explorer une pluralité de points de vue pour remettre en question la notion de neutralité et de vérité en vidéodescription; d’expérimenter une pratique artistique collaborative de l’audiodescription et de la vidéodescription; et d’explorer et tester une variété de rendus et d’outils de diffusion.

    _______

    Marie Samuel Levasseur mène une pratique artistique pluridisciplinaire d’art et de vie confondus et élabore une approche de création collaborative par le bavardage. Elle use de la multiplicité et du micro-récit pour faire entrave à l’indicible et pour rendre compte de la pluralité des identités dans l’expression des récits de soi liés aux expériences de vie marquantes. 
    À titre de commissaire et chargée d’édition au Centre en arts et innovation sociale de l’École nationale de théâtre du Canada, elle participe à l’élaboration de laboratoires et de plateformes de partage de savoirs visant le bien-être par la création. Titulaire d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, elle a effectué des échanges en cinéma à l’Université de Montréal et en micro-édition à l’EESI de Poitiers-Angoulême. Elle a également complété des études supérieures en pédagogie, axées sur l’accessibilité et le capacitisme, et poursuit actuellement des recherches en études autochtones. 

    mariesamuel.com

    Rémi Belliveau à MOMENTA x VOX. Dans la peau de l’histoire. Becoming Joan Dularge.

    [Nos diplômé·e·s]

    Texte de la communication : L’Empremier. Live at Beaubassin (1970) (2023) nous transporte dans un amphithéâtre où le groupe musical de Joan Dularge, L’Empremier, se produit en concert pour la caméra. Pastiche du film culte Pink Floyd: Live at Pompeii (1974) réalisé par Adrian Maben dans les ruines désertes de la cité antique, l’œuvre de Belliveau met en scène une histoire fantasmée du rock acadien, où les classiques de Zachary Richard, de Beausoleil Broussard, de 1755 et de Rocambole sont réinterprétés par des musicien·ne·s professionnel·le·s contemporain·e·s, pinkfloydisés et ultimement joandulargisés. Les trésors romains qui faisaient office de décor sont remplacés, pour le spectacle à Beaubassin, par des créations de l’artiste contemporain acadien Paul Edouard Bourque. En plus de l’exposition à VOX, s’ajoutent les archives de Joan Dularge, qui seront présentées dans la salle de consultation d’Artexte, au troisième étage du 2-22.

    Rémi Belliveau est soutenue par La Fondation Claudine-et-Stephen-Bronfman et le programme MOMENTA x RBC Fondation.

    Bourse en arts visuels Yvonne L. Bombardier : Appel de candidatures

    Initiative née d’une volonté commune du service des activités philanthropiques et du Centre culturel Yvonne L. Bombardier, la Bourse d’études supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier a pour objectif de contribuer à la relève en arts visuels au Québec.

    Description de la bourse

    La bourse est remise annuellement à une personne inscrite dans un programme de maîtrise en art dans une université québécoise et pratiquant une ou plusieurs des disciplines suivantes : 

    • Dessin
    • Gravure/estampe
    • Peinture
    • Photographie
    • Sculpture

    Le comité de sélection est composé de personnes issues du milieu des arts et de l’équipe de la Fondation. 

    La bourse comprend :

    • Un prix en argent de 10 000 $
    • Une exposition dans un lieu de diffusion professionnel 
    • La production d’une carte de visite vidéo présentant la démarche artistique de la personne récipiendaire ainsi que ses œuvres

    Dépôt des candidatures

    Date de dépôt : du 15 septembre 2023 au 11 janvier 2024

    Le dépôt des candidatures se fait dorénavant sur la nouvelle plateforme numérique de la Fondation.

    Lors de votre première visite, vous devrez créer un compte usager en remplissant le formulaire d’enregistrement.

    IMPORTANT : Un guide de dépôt d’une demande électronique a été élaboré afin d’accompagner les personnes qui soumettent une demande. Nous vous invitons à le consulter avant de débuter le processus. Le guide est aussi disponible en version web.

    Une fois votre compte usager créé, vous pourrez remplir le formulaire de demande. Suivez le guide pour compléter le processus.

    Veuillez noter que vous devrez fournir, à même le formulaire, les documents suivants :

    • Une lettre de motivation qui explique votre démarche artistique et créative avec une emphase sur vos projets d’avenir et la poursuite de votre démarche artistique (maximum 1000 mots).
    • Deux lettres de recommandation signées par un professeur, maître ou un chargé de cours. Si les lettres ne sont pas dans le dossier à la date limite, il est de votre responsabilité de nous informer que celles-ci suivront après la date limite, sans quoi le dossier sera considéré incomplet.
    • Un dossier visuel de maximum 15 images numériques, présentant des œuvres réalisées au cours des deux dernières années. Les images numériques doivent être fournies en JPEG, dans un document compressé.
    • Un curriculum vitae à jour (maximum de trois pages)
    • Un dossier scolaire comprenant tous les relevés de notes pour le programme d’études en cours ainsi qu’une attestation de fréquentation scolaire officielle émise par le Registrariat de l’institution d’enseignement. Si vous êtes en 1re session de programme, les relevés de notes pour la dernière année d’étude du programme précédent doivent être fournis (pour les étudiants à la maîtrise: baccalauréat)

    La sélection de la personne récipiendaire de la bourse sera annoncée en mars 2024. 

    Conditions

    • Suivre un programme de maîtrise en arts à temps complet au Québec.
    • Seuls les dossiers complets seront jugés admissibles.
    • Il est nécessaire de détenir la citoyenneté canadienne ou la résidence permanente.
    • Les oeuvres réalisées dans le cadre d’un collectif ne sont pas acceptées. Seules les productions individuelles sont considérées.

    Pour de plus amples renseignements sur cette bourse, veuillez communiquer avec nous au 514-876-4555 ou par courriel.

    Ouverture du concours pour la 𝐁𝐨𝐮𝐫𝐬𝐞 𝐂𝐥𝐚𝐮𝐝𝐢𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐒𝐭𝐞𝐩𝐡𝐞𝐧 𝐁𝐫𝐨𝐧𝐟𝐦𝐚𝐧 𝐞𝐧 𝐚𝐫𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐦𝐩𝐨𝐫𝐚𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟒

    Vous êtes étudiant.e ou diplômé.e récent.e des programmes de Maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM, du Doctorat en études et pratiques des arts - UQÀM ou d'un des programmes éligibles à Concordia University, Faculty of Fine Arts?

    ➤ Le concours est ouvert jusqu'au vendredi 17 novembre (avant 16h)!

    Bourse d'une valeur de plus de 60 000 $ sur 2 ans

    Évènement FB

    © Maude Arsenault, Une Chambre à soi, 2022 (image de droite)

    © Kyle Alden Martens, Purse Shirt & Purse Shirt Miniature, 2023 (image de gauche)

    Morgane Clément Gagnon. #ifellseen. Cdex.

    Exposition de fin de maîtrise

    Heures d'ouverture
    Jeudi, 14 septembre : (preview sur demande)
    Vernissage : Vendredi, 15 septembre : 17h à 23h
    Du 16 au 20 septembre : 12h à 17h

    L'exposition #ifeelseen de Morgane Clément-Gagnon plonge les personnes spectatrices au cœur de sa pratique d'autoreprésentation, où l'autoportrait se mêle à la culture contemporaine du selfie. Avec une série d'œuvres photographiques grand format, l'artiste explore la complexité de l'identité à l'ère du numérique et des médias sociaux. Par une technique de prise de vue en circuit fermé qui utilise son iPhone comme moniteur et déclencheur de sa caméra, elle met en abîme l’action même du selfie.  Les multiples références à la cyberculture, les titres inspirés du langage des médias sociaux, et même l'agencement de l'espace d'exposition, tout sert à provoquer une immersion dans l'ambiguïté de la quête artistique et identitaire de l'artiste. #ifeelseen est une exposition immersive qui oscille entre introspection et ironie, et met en lumière l'impossible projet de se construire soi-même.

    <a href="https://fb.me/e/1qQJ0wvum Évènement FB

    Voir moins

    Intersections - Résidence de recherche, création et production : Appel de candidatures

    Leyla Majeri, sans titre, 2023, crédit photo : Édouard Larocque

    Appel de candidatures
    Date limite de dépôt : 5 octobre 2023
    Séance d'information virtuelle : 21 septembre à 10h

    Le Conseil des arts de Montréal (CAM), le Centre d’art contemporain OPTICA et l’École des arts visuels et médiatiques (EAVM) de l’UQAM lancent un appel de candidatures pour les artistes issu.e.s de l’immigration (de première ou de seconde génération) qui sont membres des minorités ethniques ou visibles**. Les candidat.e.s éligibles sont diplômé.e.s de la maîtrise à l’EAVM.

    Ce partenariat vise à offrir un soutien de recherche, de création et de production à un.e artiste en lui donnant accès à un accompagnement professionnel, complémentaire à sa formation universitaire dans le milieu artistique montréalais.

    Ce projet prend la forme d’une résidence en vue de la réalisation d’une œuvre qui entre en dialogue avec des archives (fonds documentaire du centre d’art contemporain OPTICA ou autre, en fonction de la recherche de l’artiste). À la fin de la résidence, OPTICA présentera une exposition de l’artiste sélectionné.e. Le lauréat ou la lauréate tiendra aussi une présentation publique sur sa pratique artistique au centre. Un accompagnement par l’EAVM et OPTICA sera fourni dans le cadre du projet d’une durée d’un an.

    Conditions d'admissibilité

    - être un.e artiste issu.e. de l’immigration (de première ou de seconde génération) membre des minorités ethniques ou visibles**;

    - être un.e artiste professionnel.le** en arts visuels;

    - être diplômé.e du programme de maîtrise à l’EAVM;

    - être citoyen.ne canadien.ne ou résident.e permanent.e du Canada à la date de dépôt de la demande;

    - être domicilié.e sur le territoire de l’île de Montréal depuis au moins un an;

    - être disponible pour toutes les activités incluses dans le cadre du projet.

    Soutien offert

    - trois mois de résidence de recherche à l’hiver 2024 (janvier – mars) au centre d’art contemporain OPTICA incluant un espace de travail et un accès aux équipements de bureau, aux archives et à la documentation;

    - un studio pour la création et la production, ainsi qu’un accès aux ateliers techniques spécialisés de l'EAVM, sous toute réserve, pour une durée de 8 mois;

    - un accompagnement professionnel totalisant 60 heures par OPTICA (30h) et l’EAVM (30h);

    - une subvention de recherche (max. 1500$);

    - un cachet de production (3,000$), d’exposition (2,204$) et de présentation publique (125$);

    - une plage d’exposition ou de diffusion du projet final dans la programmation d’OPTICA et une présentation publique au cours de l’année 2024.

    Veuillez noter que nous ne prenons pas en charge les frais d’hébergement ou de transport. Le calendrier et les conditions de travail peuvent être modifiés en fonction des disponibilités financières des partenaires.

    Dossier de candidature

    - une lettre de motivation décrivant le projet de recherche proposé, les objectifs prévus, l’échéancier pour les trois mois de la résidence et sa pertinence pour la démarche artistique (max. 400 mots);

    - une démarche artistique (max. 500 mots);

    - un curriculum vitae (max. 3 pages);

    - 10 images maximum au format JPG d'un poids maximal de 1Mo par image et/ou extraits vidéo et audio (5 minutes maximum, par hyperliens) avec une liste descriptive des images et/ou des extraits audiovisuels;

    Le dossier de candidature doit être soumis dans un seul document PDF (taille maximale du fichier de 15 Mo) et envoyé au plus tard le 5 octobre 2023 à minuit à l’adresse courriel: intersections@uqam.ca

    Seuls les documents exigés seront transmis aux membres du comité d'évaluation. Il n'y aura pas de commentaires du jury.

    Pour plus de renseignements, une séance d'information virtuelle aura lieu le 21 septembre à 10h. Vous êtes invité.e à vous inscrire pour recevoir le lien Zoom d’ici le 18 septembre à : intersections@uqam.ca 

    ** Pour plus d’information sur les termes utilisés, consulter le Glossaire du Conseil des arts de Montréal: https://www.artsmontreal.org/glossaire/

    Le Symposium de la cohorte 2023

    Les personnes artistes-étudiantes-chercheuses nouvellement admises à la maîtrise en arts visuels et médiatiques y présenteront leur recherche.

    Les lundis 18 et 25 septembre, de 13 à 16h30, au J-6180

    Avec Alexandre Côté, Pierre-Olivier Déry, Laurence Lapointe-Roy, Manon Lizé, Cristal Luque Castro, Nick Maheu, Denis McCready, Fatima Ouardani, Julie Pastore, Gabrielle Turbide, Marie-Pier Vanchestein, Meline Viola, Annie Auger, Michèle Barcena-Sougavinski, Léa Devenelle, Jean-François Hamelin, Giuseppe Masia, Pierre-Étienne Massé, Océane Niquette-Buxton, Daniel Saumier.

    ***

    Portes ouvertes - découvrez nos programmes!

    Les Portes ouvertes constituent pour l’UQAM une occasion unique de faire connaître ses programmes, services, activités et réalisations à des milliers de personnes envisageant d’y mener ou d’y poursuivre leurs études. Découvrez nos programmes centrés sur les enjeux actuels et comment les 300 000 personnes diplômées de l’UQAM contribuent à faire évoluer la société.

    Rendez-vous au campus de Montréal le samedi 21 octobre 2023, de 12 h à 16 h. Les candidates et candidats pourront notamment :

    • Échanger avec des étudiantes et étudiants ainsi que des membres du corps professoral et du personnel.
    • Visiter l’Université et s’imprégner de ses pavillons au cœur de la vie urbaine.
    • Assister à des présentations de programme et des conférences sur des thématiques précises.

    Pour les personnes à l’extérieur de la grande région de Montréal, trois journées d’activités virtuelles sont proposées, du 24 au 26 octobre 2023. Il y sera notamment possible d’assister à des présentations virtuelles permettant de mieux connaître l’UQAM et de clavarder avec des membres du personnel dédiés à soutenir les futurs étudiants et étudiantes dans leur projet d’études.

    Pour consulter la programmation complète, visitez le site portesouvertes.uqam.ca

    Sur le campus : 21 octobre 2023

    En ligne : 24 au 26 octobre 2023

    Offre de stage du FIFEQ/Montréal

    Le FIFEQ-MTL (Festival international du film ethnographique du Québec/Montréal) offre un stage assorti d’une bourse d’excellence pouvant aller jusqu’à 9 000 $ attribuée par le FRQSC. C’est une belle opportunité pour un emploi à temps partiel et pour enrichir son CV.  
       
    Les étudiants et étudiantes, à la maîtrise ou au doctorat, intéressé.e.s, peuvent consulter les règles de programme : Bourse pour stage en milieu de pratique (BSMP) – 2023-2024 - Fonds de recherche du Québec - FRQ (gouv.qc.ca) 
       

    Mission :

    Le FIFEQ est l’unique festival consacré exclusivement au cinéma ethnographique et à l’anthropologie visuelle au Québec. Pour son volet montréalais, chaque année, durant une semaine, il diffuse près de 40 films dans divers quartiers à Montréal en organisant des projections gratuites. 

    Stagiaire recherché.e :  
     20e édition du FIFEQ-MTL - Stagiaire en programmation recherché-e 

    Objectifs : 

    1) Développer et organiser une programmation filmique et partenariale avec le milieu autochtone (carte blanche à un-e ou deux cinéastes autochtones) en partenariat avec le Wapikoni Mobile, le Musée McCord Stewart et le soutien du comité organisateur du FIFEQ-MTL 

    2) Soutenir l’idéation, la programmation et l’organisation d’activités filmiques et interactives spécifiques telles que des rétrospectives, des panels et un atelier de création par le comité organisateur du FIFEQ-MTL 

     
    Note : Le stage se fera uniquement en présentiel à Montréal.


    Une cinquantaine d'autres stages sont disponibles dans différents domaines. Un groupe Facebook a également été créé pour ceux et celles qui veulent avoir accès à nos offres de stage dès qu’elles paraissent https://www.facebook.com/groups/BSMP.FRQSC/ 

    Pourquoi postuler ? 

    • Flexible : postule quand tu veux, ajuste le nombre d’heures qui te convient, choisis ton milieu 
    • CV académique: La bourse BSMP est une bourse d’excellence qui compte si tu veux soumettre une autre demande de bourse plus tard. Ta candidature en sera bonifiée. 
    • CV : Tu vas pouvoir rajouter une ligne très intéressante sur ton CV avec cette expérience. Tu augmentes ton employabilité. 
    • Tu peux recevoir jusqu’à 9 000$ pour travailler sur un projet dans un domaine qui te tient à cœur. 
    • Tu te crées un réseau qui te sera utile pour avancer ton projet de mémoire ou thèse ou pour trouver un emploi après tes études 
    • Peut-être une première expérience au Québec pour les étudiants internationaux 

    Tania Lara. autogéographies. La Centrale

    Exposition de fin de maîtrise

    Du 14 septembre 2023 au 09 novembre 2023.

    Vernissage le 14 septembre 2023, 17h-20h

    *Texte de la communication du site de La Centrale, Galerie Powerhouse

    autogéographies présente l’aboutissement d’un projet de recherche-création aux frontières poreuses. Par une installation immersive prenant vie grâce à la rencontre d’une multitude de matérialités, de gestes et de récits, Tania Lara nous invite à découvrir l’autogéographie; une pratique contre-cartographique qui schématise, dans un jeu à différentes échelles, des lieux qui nous entourent et nous constituent. Ainsi, en reconnaissant l’intime relation de tous ces lieux et de tous ces corps qui se tissent soigneusement, à la main comme à la machine, l’autogéographie devient également une méthode et une voie épistémologique qui propulse la création de savoirs et d’imaginaires communs, toujours situés et toujours incarnés. 

    Ici, Tania s’est prêtée au jeu pour déployer sa propre autogéographie ; une carte aux milles cartes où le corps anatomique, le corps social et le corps géographique s'entrelacent, criant un débordement identitaire sans envers ni endroit, sans début ni fin. Une carte où le soi est toujours collectif et où le collectif est toujours géographique. Une carte qui tente avec acharnement de résister aux idéaux ou universaux hégémoniques (identités, territoires et autres mises en carcasses), en ceci qu’elle ne bâtit aucune nouvelle vérité à laquelle adhérer pour se définir.  À la place de cerner et d’enfermer, elle renverse les outils cartographiques conventionnels qui rendent si évident l’acte de conquérir, d’occuper et de définir. Plutôt, elle fait glisser et rebondir chacun des éléments, les plongeant dans une mise en relation non-linéaire et multiple qui ne pourrait s’apprécier qu’au frétillement d’un jeu d’échelles, embrasant ainsi l’espace et le temps. 

    Tirant sur les notions d'autohistoria teoria et du « droit à l’opacité », de Gloria Anzaldúa et d’Édouard Glissant respectivement, cette méthode tisse un imaginaire qui réalise –au sens où elle rend compte, mais aussi qu’elle exécute– la multiplicité opaque de sa constitution. Ainsi, tous les éléments, les schémas et les scènes qu’on retrouve au sein d’une autogéographie ne revêtent pas d’autre rôle que celui de fragments, leur mise en commun ne servant pas une finalité unique et cohérente. C’est donc une série de superpositions qui s’y développe sous forme d’invitation, projetant frénétiquement toutes sortes de rencontres qui confondent leur présence et leur opacité les unes au travers des autres.

    Lire le texte au complet

    Dans le cadre de l'exposition, un atelier de broderie est offert par l'artiste le 14 octobre 2023. Pour plus d'informations, cliquez ici.

    Tania Lara est une artiste multidisciplinaire, artisane textile et contre-cartographe. Son travail remet en question la métaphysique de l’espace – la manière dont il se conçoit, se perçoit, se joue et prend forme – en exhumant les relations qui se tissent et s’effilochent constamment entre les différents corps qui y habitent. Profondément ancrée dans une démarche collaborative, le travail de Tania s’appuie sur les rapports de simultanéité qui constituent le réel pour faire éclater l’espace en multiplicités. Si ses œuvres arborent une réflexion sur la spatialité, l’espace n’y est jamais admis comme donnée implicite. Plutôt, il dérive d’éléments qui le suscitent, tels les rêves, les récits, les lieux et les relations.

    Lynn Kodeih, diplômée sélectionnée pour le partenariat MAI + Verticale

    La candidature retenue dans le cadre de l'appel pour le partenariat du programme d’accompagnement jumelé VCA + MAI 2023-2025 est l'artiste en arts visuels Lynn Kodeih récemment diplômée. Dans le cadre du projet Alliance, les deux organismes s’unissent pour offrir une résidence et un accompagnement jumelé, cette collaboration a pour but de soutenir les artistes en misant sur l'inclusion, l'équité et la représentativité.

    La candidature sélectionnée participera à la programmation bisannuelle 2023-2025 de VCA «Trajectoire, aménagement et genius loci», dont la programmation complète sera bientôt dévoilée!

    Lire tous les détails du partenariat

    Geneviève Roy en résidence au Berlin Art Institute : scènes berlinoises

    Texte et images de l'artiste :

    « C’est avec le désir de capter quelques fragments révélateurs de Berlin et d’y mêler quelques éléments de ma propre expérience, que j’ai élaboré le projet ‘’scènes berlinoises’’, dans le cadre d’une résidence d’artiste d’un mois -juin-juillet 2023- à la Berlin Art Institute. J’ai tout d’abord marché, observé puis photographié différents lieux domestiques et urbains.  De ces quelques deux cents images photographiques, ont émergé quelques bâtiments pavillonnaires, qui ont capté ma curiosité, par leur échelle modeste et leur aspect rudimentaire.  Puis, la découverte de boîtiers encastrés dans le mur de la cage d’escalier de l’École où nous étions tous et où se trouvaient nos studios, fut l’élément déclencheur du projet. Le caractère à la fois modeste et authentique de ces trous béants occupant un mur de l’institut m’a tout de suite plu, j’y ai perçu le potentiel de créer de petits théâtres intimes, où pourraient cohabiter à la fois des parcelles de la ville ainsi que des bribes sous-jacentes personnelles.  

    A travers une première expérimentation réalisée dans un de ces boîtiers situé dans le mur du niveau 2 de l’édifice (boîtier 1 – le studio), j’ai eu envie de recréer mon studio sous forme de maquette, comme si ce boîtier existant et vide devenait tout à coup le réceptacle de mon espace de travail. C’est alors que j’ai eu l’idée de poursuivre cette idée ‘’d’habiter le mur’’ de l’École, grâce à deux autres boîtiers encastrés dans le même mur, situés à l’étage inférieur, au niveau 1.  J’ai donc créé une deuxième ‘’scène’’, (boîtier 2 – l’appartement), cette fois inspirée de mon espace domestique de vie à Berlin, un appartement à deux niveaux avec mezzanine; la vue à partir de ma fenêtre du séjour, fut représentée grâce à une impression numérique sur panneau translucide rétroéclairé; la même vue, représentée à plus petite échelle et en couleur, se retrouve aussi dans la maquette. Se trouve suspendue dans cet espace architecturé, la sculpture de Max Beckmann, que j’ai vue à la Neue National Galerie et qui m’a grandement émue. La troisième scène, elle, (boîtier 3 – le Rêve), s’inspire du mythique film Les ailes du désir de Wim Wenders; L’œil de l’ange Cassiel y est représenté, ainsi que l’ange Damiel, perché sur le tuyau se trouvant dans ce boîtier, observe la lunette grossissante plantée dans l’œil de l’ange Cassiel, comme si les deux anges se font écho dans leurs regards, et où le ciel de Berlin apparaît en arrière-plan, en filigrane, dans un boîtier rétroéclairé. De part et d’autre de la composition, apparaissent les fragments de façade de l’Église du souvenir; au plafond, le dôme du Reishtag surplombe la scène.  Ce boîtier, plus symbolique, est un hommage à l’œuvre percutante de Wenders, et aux éléments architecturaux de Berlin ayant une forte charge symbolique. 

    Grâce au projet ‘’Scènes berlinoises’’, je poursuis mes recherches sur l’environnement bâti et ses impacts sur notre psyché.  En mêlant des fragments architecturaux signifiants de la ville à des espaces architecturaux plus personnels et singuliers, j’aspire à faire émerger ce point de rencontre entre le monde interne de la pensée et le monde physique et tangible dans lequel chaque être humain évolue et tente d’y trouver son propre équilibre.»

    Appel à candidatures : technicien·ne pour l’atelier de métal 

    Le poste de technicienne ou technicien dans l’atelier de métal de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM est ouvert aux candidatures externes de l’UQAM. Ce poste est en remplacement de Jean Talbot parti à la retraite. La période pour postuler a été prolongée jusqu’au 10 juillet prochain.   Les candidat.e.s potentiel.e.s peuvent consulter et connaitre toutes les exigences en utilisant les liens suivants :    
    https://atlas.workland.com/work/27740/technicienne-technicien-en-travaux-pratiques-theatre-et-arts-plastiques-std05-faculte-des-arts-ecole-des-arts-visuels-et-mediatiques-2020-27740 .   

    Description officielle et plus générale du poste : 
    https://services-medias.uqam.ca/media/uploads/sites/18/2021/11/26110859/TD05.pdf   

    Audrey Beaulé parmi les 3 finalistes de la Bourse Plein Sud

    BOURSE PLEIN SUD 2023

    Audrey Beaulé, nouvellement diplômée de la maîtrise, se trouvent parmi les trois finalistes de la Bourse Plein sud 2023. Les deux autres autres artistes sont de Joyce Joumaa et de Myriam Simard-Parent.

    La Bourse Plein sud est une bourse de production conduisant à une exposition. Elle a pour objectif d’encourager la recherche et la création en art actuel au Québec pour les artistes comptabilisant moins de dix ans de carrière professionnelle. Neufs artistes sont mis·e·s en nomination par un jury indépendant composé de trois membres. De ce nombre, trois finalistes sont retenu·e·s. L’artiste récipiendaire reçoit un montant de 5 000 $ et est invité·e à présenter une exposition individuelle dans le cadre de la programmation annuelle de Plein sud. Une publication de 20 pages, imprimée en couleurs, accompagne cette exposition. Les deux autres finalistes reçoivent pour leur part un montant de 500 $.

    Le dévoilement de l’artiste récipiendaire se tiendra à Plein sud le jeudi 29 juin 2023 lors du finissage de l’exposition De nos archives se créeront nos histoires de Michaëlle Sergile, récipiendaire de la Bourse Plein sud 2021.

    Plein sud tient à féliciter les six autres artistes en nomination pour la Bourse Plein sud cette année et vous invite à découvrir leur travail : My-Van Dam, Montserrat Duran Muntadas, Remy Fortin, Frantz Patrick Henry, Tong Zhou Lafrance, Nathalie Vanderveken.

    catherine lejeune. lueurs nocturnes, personnes-portails et autre machines insaisissables. Galerie Popop

    (Nos finissant·e·s]

    alors que les énergies mondiales sont de plus en plus axées sur la
    production technologique, les émotions et les idées créatives participent davantage à la nouvelle forme de production économique néolibérale. par conséquent, plusieurs sphères de la vie se concentrent maintenant autour de l'efficacité et du profit. alors que même les techniques d'autosoins sont récupérées par cette nouvelle forme de capitalisme, la surcharge mentale ainsi que la perte de pouvoir individuel entraînent des troubles endémiques tels que la dépression et l'anxiété.

    en réponse à ce contexte globalisé, cette exposition vise à explorer les potentiels de l'iridescence, la stimulation stroboscopique, la transe et la célébration dans le but de manifester des contre-espaces de résistance dans le monde réel, et d'encourager l'émancipation des normes ainsi que des contextes d'isolement, tout en recherchant de nouvelles approches pour prendre soin des expériences du quotidien pour se transformer à des échelles individuelles et collectives.

    par sa pratique transdisciplinaire de la recherche-création, catherine
    lejeune tente de cultiver et de réimaginer des micromouvements de
    résistance, ainsi que les répercussions complexes découlant de
    l'omniprésence des mécanismes néolibéraux sur la condition humaine et la construction des savoirs. s'appuyant sur une approche holistique, utopique et intersectionnelle ainsi que sur des méthodes issues de diverses disciplines artistiques et scientifiques, lejeune tente de spéculer des mondes sensibles aux constructions perceptuelles qui façonnent la compréhension des réalités expérimentés. son travail installatif, performatif et numérique explore les dimensions sociopolitiques, éthiques et affectives des relations tissées entre les humain.e.s, les matières et les machines.

    catherine lejeune reconnaît que tiohtiá:ke — mooniyang — montréal est situé en territoire autochtone, lequel n’a jamais été cédé et partage sa gratitude pour la nation kanien'kehá : ka, gardienne de ses terres et ses eaux, et tient également à exprimer ses profonds remerciements à Philippe-Aubert Gauthier, Raphaël Lejeune, Jonathan Labrecque-Poirier, Sophie-Anne Bélisle, Louis-Charles Gagnon, Ceyda Yolgörmez, Rachel Tardiff et Mathieu Jacques.

    ____________

    fête - vernissage 22 juin de 17h à 21h
    du 20 au 24 juin 2023
    heures d'ouverture de 12h à 17h
    et sur prise de rendez-vous via lejeune.catherine@uqam.ca

    @lejeunechat

    événement facebook : https://fb.me/e/324zN0CGr

    galerie popop
    372 ste-catherine ouest
    espace 442-444
    montréal
    l'espace est accessible aux personnes à mobilité réduite

    Karine Blanchette remporte une des trois bourses 𝗟𝗮𝘂𝗿𝗲-𝗚𝗮𝘂𝗱𝗿𝗲𝗮𝘂𝗹𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟮-𝟮𝟬𝟮𝟯

    𝗞𝗮𝗿𝗶𝗻𝗲 𝗕𝗹𝗮𝗻𝗰𝗵𝗲𝘁𝘁𝗲, étudiante à la Maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM, profil recherche et intervention (anciennement éducation)) remporte l’une des trois 𝗯𝗼𝘂𝗿𝘀𝗲𝘀 𝗟𝗮𝘂𝗿𝗲-𝗚𝗮𝘂𝗱𝗿𝗲𝗮𝘂𝗹𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟮-𝟮𝟬𝟮𝟯.

    Cette bourse de 3000$ est offerte pour son projet de maîtrise intitulé Enseigner dans ses valises : portrait des pratiques de trois spécialistes en arts plastiques au primaire en situation de précarité. Sa recherche se penche sur l’influence de la précarité d’emploi sur les pratiques enseignantes des spécialistes en arts plastiques au primaire au Québec.

    «Les résultats de ses travaux sur l'impact de la précarité professionnelle sur l'approche pédagogique et la prestation des enseignements en arts au primaire sont d'une grande pertinence dans les débats actuels sur les exigences de la formation enseignante et sur le cadre d'emploi des spécialistes disciplinaires.» (Martin Lalonde, professeur à l'ÉAVM).

    .

    Sarah Boutin aux 14es Rencontres de la photographie en Gaspésie

    (Extrait du communiqué)

    Les 14es Rencontres de la photographie en Gaspésie auront lieu cet été dans 13 municipalités, villes et parcs nationaux de la péninsule, sous le thème « De l’imprévisibilité potentiellement mortelle de l’orignal ». Présentées majoritairement à l’extérieur, les expositions et installations montreront le travail de 16 artistes du Québec et de l’international. La grande majorité d’entre elles se tiendront du 15 juillet au 30 septembre 2023.

    C’est le titre d’un texte de l’auteur français Patrice Juiff, réalisé lors d’une résidence en Gaspésie à l’automne 2022, qui a inspiré le thème de cette année. « À la lecture de ce texte, que Patrice décrit comme une sorte de road trip littéraire, un récit d’errance mentale en Gaspésie à la rencontre des gens, du territoire, de la beauté et de la fragilité du paysage, j’ai souhaité m’inspirer de ses rencontres et de son récit pour imaginer la programmation, explique Claude Goulet, directeur général et artistique des Rencontres. Rapidement, Patrice a accepté de nous prêter ses mots. » Des extraits du texte de Patrice Juiff seront d’ailleurs publiés à l’occasion des Rencontres en tournée, en août 2023.

    Parmi les exposan·t·es, Sarah Boutin, finissante de la maîtrise en arts visuels et médiatiques présentera sur la promenade de la plage, à Paspébiac, l’exposition La prière a sa place parmi la mélisse, le thym, le feu, la baignoire, le lit, l’hôpital. L’artiste, qui a subi la perte de sa grand-mère, documente son quotidien en images, en tentant d’apprendre à composer avec l’absence. Près du bureau d’information touristique, à Bonaventure.

    En savoir plus

    Sarah Boutin. Aimer est un acte de retour (lecture-performance). Maison de littérature

    Mémoire création

    Cette lecture-performance de Sarah Boutin est présentée conjointement avec CONTOURS en marge de son exposition de fin de maîtrise « laisser l’incurable être incurable est une forme d’amour ».

    Samedi, le 17 juin à 14h00

    Maison de la littérature, 40, rue Saint-Stanislas, Québec

    Gratuit, réservation obligatoire

    +1 418-641-6797

    « j'ai attendu la tristesse. je l’ai regardée comme un oiseau qui ne volait pas encore. j'ai tenté de comprendre – afin de m’en affranchir – d’où me venait la honte qui en inhibait l’expression. il n’y avait rien à faire.

    nous sommes en juin. les fleurs du lilas ont flétri, le framboisier bourgeonne. cela fait un an que ma grand-mère est morte. j’étends au sol un drap-linceul. il devient un nid dans lequel le deuil arrive enfin à se déposer. aimer est un acte de retour. je veux remettre la peine à sa place parmi la prière, la mélisse, le thym, le feu, la baignoire, le lit, l’hôpital. je compte les noyaux de dattes amassés tout l’hiver pour les planter, je panse des oiseaux de porcelaine, je récite la plainte que j’ai écrite pour apprivoiser ma peine. la voix qui résonne ne m’appartient pas en propre. ma lamentation célèbre la filiation de ce corps avec ses ancêtres, la lignée des pleureuses. par elles j’accède à la sagesse de l’absente : elle reconnaît la maladie et la mort comme des conditions inextricables du vivant et y consent. en passant du nous au elle, les gestes et les poèmes que je pose sont initiés par la maladie, la solitude et la disparition. au cours de la performance, ils se répètent, s’ouvrent et vont vers une plus grande inclusion de ce qui fait le monde : la croissance, la perte. »

    Gratuit, réservation obligatoire.

    Évènement FB

    Voir moins

    Audrey-Anne Duplessis. Capita-lisme & courte-pointes : tenta-tive de désenvoûtement. CDEx

    Exposition de fin de maîtrise

    Au CDEX, UQAM (J-R930)
    du 11 au 15 juin de 11h à 16h30
    (fermé le 12 juin à partir de 14h)
    ou sur rdv duplessis.audrey-anne@courrier.uqam.ca

    Petits évènements de désenvoûtement :
    - mardi le 13 juin de 16h à 18h
    compostage de nos listes
    * amène tes listes de choses à faire ! *
    - mercredi le 14 juin de 11h30 à 13h
    filtrage et embouteillage du lessis de cendres

    en tout temps :
    - brassage du lessis de cendres
    - cueillette d'ortie à mains nues
    - lavage des sacs de terre
    - partage de connaissances variées

    & tisane d'ortie à volonté

    ........................................................................................................................

    C’est à partir de son mode de vie qui tend vers l’autosuffisance qu'Audrey-Anne Duplessis construit sa pratique artistique, en réfléchissant notamment aux questions écologiques et au principe de décroissance. Son travail s’inspire de techniques ancestrales écoresponsables, comme la courtepointe, le purin d'ortie ou le compost. En s’intéressant au concept de neuroplasticité, qui est la capacité du cerveau à se modifier en remodelant ses connexions neuronales, elle élabore des méthodes de désenvoûtement du capitalisme, qui passent par le détournement de techniques reliées à l’autosuffisance. Ces détournements opèrent tels des exercices ou des entraînements pour le cerveau, qui visent à déconstruire nos réflexes capitalistes d'accumulation et de productivité et à nous pratiquer à imaginer un non-usage ou un usage alternatif aux choses.

    Capitalisme & courtepointes: tentative de désenvoûtement consiste à un aménagement-atelier se situant à mi-chemin entre le jardin, l'atelier d'artiste et l'espace de jeu libre. Y seront regroupés une grande courtepointe qui servira de lieu de partage de connaissances, une serre-tunnel en courtepointe qui deviendra un lieu d’expérimentations ainsi que divers récipients contenant des recettes ancestrales détournées et du vermicompost. Accompagnés d'instructions dessinées, ces éléments pourront être manipulés, utilisés et détournés, permettant ainsi le partage de connaissances et l'expérimentation de tentatives de désenvoûtement.

    Audrey-Anne Duplessis est une artiste-jardinière écoféministe et bricoleuse. Intéressée par l'artisanat et le jardinage, elle détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l'UQAM où elle termine présentement sa maîtrise dans ce même domaine. Elle a reçu la bourse d’excellence en arts d’impression et photographie de la fondation McAbbie en 2018 et a participé à plusieurs expositions collectives à Montréal notamment à la Place des Arts, au CDEX et à l'édition 2022 de ARTCH.

    Audrey Beaulé parmi les 9 artistes nominé·e·s pour la Bourse Plein sud 2023

    (D'après le texte du communiqué)

    Les neuf artistes en nomination pour la Bourse Plein sud 2003 sont :

    1. Audrey Beaulé
    2. My-Van Dam
    3. Montserrat Duran Muntadas
    4. Remy Fortin
    5. Frantz Patrick Henry
    6. Joyce Joumaa
    7. Tong Zhou Lafrance
    8. Myriam Simard Parent
    9. Nathalie Vanderveken

    La Bourse Plein sud est une bourse de production conduisant à une exposition présentée à Plein sud. Elle a pour objectif d’encourager la recherche et la création en art actuel au Québec pour les artistes comptabilisant moins de dix ans de carrière professionnelle. Neufs artistes sont mis·e·s en nomination par un jury indépendant composé de trois membres. De ce nombre, trois finalistes sont retenu·e·s. L'artiste récipiendaire reçoit un montant de 5 000 $ et est invité·e à présenter une exposition individuelle dans le cadre de la programmation annuelle de Plein sud. Une publication accompagne cette exposition. Les deux autres finalistes reçoivent pour leur part un montant de 500 $.

    Au cours des deux prochaines semaines, les neuf artistes en lice pour la Bourse Plein sud 2023 seront tour à tour présenté·e·s sur les comptes Instagram et Facebook de Plein sud. !

    logo Facebook
    logo Instagram

    L’annonce publique des trois finalistes aura lieu le jeudi 15 juin 2023.

    Le dévoilement de l’artiste récipiendaire se tiendra à Plein sud le jeudi 29 juin 2023 lors du finissage de l’exposition De nos archives se créeront nos histoires de Michaëlle Sergile, récipiendaire de la Bourse Plein sud 2021.

    Camille Lescarbeau. La matière se souviendra. Galerie Popop

    Exposition de fin de maîtrise

    Galerie POPOP
    372 rue Sainte-Catherine Ouest, Espace 442, Montréal

    Du 17 au 22 mai 2023
    De 12h à 17h ou sur rendez-vous :
    camillelescarbeau.art@gmail.com
    *Fermeture à 14h le 18 mai

    ✨ Finissage ✨
    Vendredi le 19 mai
    De 17h à 20h

    Camille Lescarbeau explore des enjeux de matérialité, de soin et d’écoresponsabilité dans une pratique du papier fait à la main. Dans l’atelier, elle adapte des savoir-faire traditionnels et tend vers leur transgression par l’utilisation de déchets comme matériau et d’objets du quotidien en guise d’outils. Elle transforme ses rebuts, tels que de vieilles esquisses, des cartons d’œufs ou du courrier, en pulpes aux différentes couleurs et textures. Son approche rudimentaire lui a permis de découvrir de nouveaux savoir-faire, de réduire son impact environnemental, de ralentir son processus de création et de passer plus de temps avec la matière dont elle tente de prendre soin.

    La matière se souviendra cherche à faire apparaître ce soin et ce temps dédiés à la matière. L’exposition comprend une installation sculpturale et picturale en papiers faits à la main à partir de déchets. Mettant en jeu une installation de grands papiers, des sculptures réalisées en moulant des déchets de plastiques, ainsi que des résidus de production, La matière se souviendra est un hommage à la matérialité, plus précisément, aux matières désuètes et à leurs potentiels infinis.

    Camille Lescarbeau est une artiste-artisane et travailleuse culturelle écoféministe œuvrant à Montréal. Elle détient un baccalauréat en histoire de l’art et arts visuels de l’Université Concordia et complète actuellement sa maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQAM. Son travail a été présenté à la Galerie perchée, à la Galerie AVE, à la Galerie FOFA et Artch. Elle présente régulièrement ses recherches dans divers ateliers, présentations et tables rondes. Elle a co-fondé l’atelier de papier fait à la main de l’UQAM.

    Pour plus d’information :
    https://www.camillelescarbeau.com/
    https://www.instagram.com/camillelescarbeau/

    *Texte du communiqué de l'artiste

    Roxane Chamberland. Être isadorable. Expression, centre d'exposition de Saint-Hyacinthe

    Projet de fin de maîtrise en arts visuels et médiatiques, UQAM

    Récital  : Dimanche 4 juin 2023 à 14 h

    Sur réservation, places limitées.

    Pour réserver sa place, chaque personne offre à l’artiste le titre de sa pièce musicale préférée pour danser, du grand classique au plaisir coupable ! 

    © Roxane Chamberland
    Consolation no2, avec Delphine Lefebvre, 2023.
    Photo  : Josée Lecompte

    Est-ce que danser pourrait se résumer à bouger une main ou à simplement respirer ? Est-ce possible de parler de danse, d’en faire un récit composé de musiques, de paroles et de gestes ? Avec Être isadorable, Roxane Chamberland explore ces réflexions par sa pratique en art performance afin d’actualiser son identité de danseuse. Elle redéfinit le sens du récital dans une perspective performative qui se situe au carrefour du rituel et de la performance-conférence, proposant une manière différente de raconter le corps et de rencontrer un public.

    Issue de diverses pratiques du mouvement, artistiques et thérapeutiques, elle ravive avec cette œuvre récitalesque sa vieille passion «  harmonieusement obsessive  » pour la danse, un sentiment qui l’habite depuis sa jeunesse. La culture populaire de la danse et plus particulièrement la figure mythique d’Isadora Duncan (1877-1927) tracent les bases symboliques et esthétiques de l’œuvre.

    Le récital annonce un programme de pièces performatives motivées par une recherche de souveraineté somatique, de deuil, de guérison et de reprise de pouvoir. Il explore l’idée d’un corps plus que dansant, il convoque la fantaisie, le tragique et l’autodérision.

    Être isadorable clôt une recherche-création guidée par la soma-esthétique, une discipline élaborée par le philosophe et praticien américain Richard Shusterman, qui rallie le corps et l’esprit, qui met de l’avant la conscience du corps. Se réclamant d’une vision micropolitique, le récital Être isadorable rassemblera dans un espace ritualisé un public désireux de penser la danse autrement.

    *

    Procédure de réservation pour le récital  :

    Envoyer un courriel à education@expression.qc.ca, en mentionnant dans l’objet  : Réservation récital.

    Dans le courriel, inscrire pour chaque personne :
    - Le nom complet et le numéro de téléphone  ;
    - Le titre de la pièce musicale pour danser avec le compositeur/interprète (ex   :  Get Lucky, Daft Punk ou  Carnaval de Vienne, op. 26, Robert Schumann).
    Ce don restera anonyme.

    Suite à la réservation, une confirmation sera envoyée.

    À noter  que lors du récital le silence et le calme seront de mises afin de favoriser une ambiance propice à l’écoute.

    Fin des réservations  : 1er juin à midi (si, non complet)

    *

    BIOGRAPHIE

    Originaire de Beloeil, Roxane Chamberland vit et travaille en Montérégie. Depuis une vingtaine d’années, elle développe une pratique autour du corps et de ses transformations, abordant les notions de mémoire, de ritualisation et d’espace relationnel. Ralliant le privé et le collectif, ses projets prennent racine à la fois dans des souvenirs personnels, des fantasmes, ainsi que dans la culture populaire. Elle navigue entre l’art performance, l’art textile, l’installation, le dessin et la création d’objets. Qu’elle soit performative ou installative, sa pratique se situe dans la sphère du micropolitique et du réenchantement. Boursière du Conseil des arts et des lettres du Québec en partenariat avec la Montérégie-Est, elle a réalisé Tapisserie (2011), L’Étreinte (2013) et Grand Chelem (2018-2019). Certaines de ses performances ont également été présentées au Musée de Lachine, au Musée d’Art Contemporain de Montréal et à ORANGE, L’événement d’art actuel de Saint-Hyacinthe. En 2023, elle termine une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Comme pédagogue et travailleuse culturelle, elle s’implique dans diverses institutions artistiques ou collégiales et collabore avec des artistes de différentes disciplines.

    REMERCIEMENT

    Pour leur apport précieux tout au long de la préparation du récital, l’artiste remercie chaleureusement Delphine Lefebvre, Josée Lecompte, Étienne Rocheleau et Anne-Marie Ninacs. Elle tient également à remercier l’équipe d’EXPRESSION ainsi que Les chéries du coin, Natalie Petrarca, Catherine Fournier et Marie-Jo Côté, pour leur soutien constant et inspiré.

    Sophie-Anne Belisle. Connes allégoriques et autres pratiques cummémoratives. Galerie Popop

    Exposition de fin de maîtrise

    Vous êtes invité.es à l'exposition Connes allégoriques et autres pratiques cummémoratives présentant la somme du travail de maîtrise de Sophie-Anne Belisle

    à la Galerie Popop du 10.05.23 au 14.05.23

    Lien facebook de l’événement 

    IG :  @sophieanne.comics

    Née d’une analyse des monuments de la Collection du bureau d’art public de la Ville de Montréal, Connes allégoriques et autres pratiques cummémoratives est une proposition utopique d’un usage érotique queer de l’espace public. Sophie-Anne Belisle met en relation son alter-ego et ces monuments qui deviennent alors jouets sexuels, prototypes de bijoux et objets sur lesquels se frotter pour une nouvelle expérience de la ville passant par l’entre-jambe. Drapeaux flaccides, phallus floraux et revanche orgiaque des allégories forment un paysage où les symboles de révérence patriotique sont bâtardisés par un désir libidineux d’émancipation. Ces monuments à la gloire de la virilité conquérante sont, à présent, relégués au service de cet alter-ego assoiffé de jouissance.

    La pratique de Sophie-Anne Belisle se positionne en parallèle du mouvement décolonial qui lutte pour retirer les statues glorifiant des figures racistes et symboles d’oppression à travers le monde. Son investigation l’a mené à observer le rôle des monuments de Tiohtiá:ke / Montréal comme des outils de transmission des valeurs du système colonial, patriarcal et capitaliste. Représentant majoritairement des hommes ayant pris part à des évènements violents ou des allégories dont le corps féminin agit comme véhicule pour des idées d’hommes, l’artiste utilise le dessin et l’installation pour aménager un rapport queer à la présence simultanée de ces monuments et de son corps dans l’espace de la ville.

    ____________

    Vernissage 11.05.23 de 5 à 7
    Heures d'ouverture de 12h à 17h
    et sur prise de rendez-vous via sophieannebelisle@gmail.com

    Galerie Popop
    372 Ste-Catherine Ouest
    Espace 442-444
    Montréal 
    L'espace est accessible aux personnes en fauteuil roulant

    Rémi Belliveau parmi les artistes choisi·e·s pour le programme Momenta x RBC Fondation

    Le diplômé Rémi Belliveau est parmi les trois artistes choisi·e·s pour ce nouveau programme d'artistes émergent·e·s créé par MOMENTA Biennale de l'image et la Fondation de la Banque Royale du Canada.

    MOMENTA et RBC Fondation s’unissent pour appuyer le développement de la carrière de 3 artistes émergent·e·s en créant un programme d’accompagnement, de mentorat et de production. Il s'agit d'une deuxième collaboration fructueuse entre MOMENTA et RBC Fondation qui avait permis, en 2021, de produire un parcours d’œuvres en réalité augmentée. Ainsi, RBC renouvelle sa confiance envers MOMENTA en rendant possible la création d’un tout premier programme d’appui destiné aux artistes émergent·e·s basé·e·s au Québec.

    Le programme 2023 MOMENTA x RBC Fondation offre l'opportunité unique à Rémi BelliveauBianca Shonee Arroyo-Kreimes et Marion Lessard de créer des œuvres inédites destinées à être diffusées lors de la 18e édition de MOMENTA. 

    Pour en savoir plus sur le programme 2023 MOMENTA x RBC Fondation, téléchargez notre communiqué de presse directement sur le site web ! Lir

    Maillages. Le forum de recherche-création au Pavillon de danse (édition 2023)

    L'édition 2023 du forum de recherche-création aura lieu le 27 avril de 9h30 à 17h30 au Pavillon de danse, Local K-1150, du 840, rue Cherrier, Montréal H2L 1H6

    Présentations étudiantes et modération

    • 10h00 : Alvaro, Jacinthe Marcoux-Derasp, et Stanly Wany (animation : Michèle Magema)
    • 11h30 : Maxence Croteau, Joanni Grenier et Tania Casaubon (animation : Marie-Josée Jean)
    • 14h00 : Clara Painchaud et Johen Ben Chikha (animation : Myriam Jacob-Allard)
    • 15h00 : Laetitia de Coninck, Marie Lemieux et Clémence Lesné (animation : Michèle Magema)
    • 16h30 : Christine Bourgier et Carlos Viani (animation : Yann Pocreau)

    Choisir le profil «recherche intervention» de la Maitrise en arts visuels et médiatiques?

    À qui s'adresse ce profil de la maîtrise en arts visuels et médiatiques, qui se donne à distance?

    • Finissant·e·s d'un baccalauréat
    • Intervenant·e·s œuvrant dans les domaines communautaires, culturels, de la santé
    • Professionnel·le·s de l'éducation
    • Artistes s'intéressant aux pratiques sociales de l'art

    TOP 3 raisons de choisir ce profil :

    1. Réaliser une maîtrise axées dur l'intervention en milieux variés :

    • Communautaire et interculturel
    • Scolaire
    • Santé culturel et muséal
    • Espace public
    • Carcéral

    2. Expérimenter des pédagogies innovantes et réaliser des interventions artistiques auprès de populations diverses

    3. Accéder à des opportunités professionnelles enrichissantes, exemples :

    • Participation à des colloques
    • Intégrer des groupe de recherche
    • Donne un cours au baccalauréat
    • Etc.

    Le nouveau* profil recherche intervention  rejoint principalement les éducatrices et éducateurs d’art dont la pratique se situe dans des milieux formels (ex. écoles, cégeps) et informels (ex. organismes communautaires, musées, etc.) et des artistes qui s’intéressent aux pratiques sociales de l’art dans différents contextes et auprès de différentes populations. Il s’agit en quelque sorte d’un profil qui s’adresse à une population plus large. Elle vise à approfondir les connaissances théoriques et pratiques qui soutiennent une intervention éducative et artistique dans divers milieux scolaires, spéciaux ou à vocation culturelle en tenant compte des problématiques actuelles en art et en éducation. Sont aussi abordées les questions liées à la diffusion, au rôle social de l’artiste et à la place de la technologie dans les pratiques éducatives et artistiques. Deux profils sont offerts : le profil de recherche fondamentale axé sur la formation à la recherche et le profil de recherche appliquée axé sur une formation plus pratique en vue de répondre à des besoins particuliers des divers milieux. Dans le bloc recherche, l’étudiante, l’étudiant est amené à rédiger un mémoire portant sur une recherche théorique ou didactique ou encore sur une intervention éducative.

    * Ce profil succède au profil éducation qui existait depuis 1998. Elle existe depuis la session Automne 2020.

    Danielle Robitaille. La pleine mesure. Galerie Popop

    Exposition de fin de maîtrise

    Cette exposition, qui concrétise la fin du parcours à la maitrise en arts visuels et médiatiques de Danielle Robitaille, présente près de 730 images quotidiennes générées pendant les années 2021 et 2022. Ces images sont issues d’une pratique procédurale de cartographie émotive au cours de laquelle une liste de 64 groupes de mots (hésitation, culpabilité, espoir, etc.) est annotée quotidiennement. Les données sont ensuite traduites en oeuvre visuelle numérique, chacune construite par la superposition de carrés de couleur codifiée.
    Les images ainsi créées ne sont pas une représentation du ressenti émotif; elles en constituent un précipité, la capture de traces évanescentes comme autant de signes abstraits formant la trame d’un journal intime. Ce processus tente moins de transposer un vécu personnel que le caractère insaisissable des émotions, en permettant aux sens d’en reconnaitre les infinies variations. Si l’ensemble constitue un autoportrait, il s’agit d’un autoportrait qui demeure crypté.

    19 au 29 avril 2023
    mercredi au vendredi, 13h à 17h
    samedi, 12h à 17h
    Vernissage : mercredi, 19 avril, 16h à 18h

    Galerie Popop, 372, rue Ste-Catherine O. Espace 442

    Aperception. Expositions collectives des étudiant·e·s de l'Atelier de création II - CDEx

    Deux expositions de la maîtrise en arts visuels et médiatiques, avec les étudiant·es de la cohorte 2022 :

    Aperception

    • Volet 1 - 12 au 15 avril : vernissage - 13 avril, 18h
    • Volet 2 - du 19 au 22 avril : vernissage - 20 avril, 18h

    Pour ces deux volets d'exposition, les artistes se sont entendues pour grouper leurs présentations selon le même axe thématique. Leur démarche respective en regard des récents travaux, expérimentations et oeuvres sera présentée lors des séances prévue à cet effet, soit le 13 et 20 avril. Pour cette édition 2023, les intervenant·e·s invité·e·s sont Sophie Castonguay et Jean Dubois.

    Présentations

    1er volet - 13 avril

    • 10h00 Boris Pintado
    • 10h30 Sarah Jeanne Landry
    • 11h00 Sophie Perry
    • 11h30 Françoise Isabelle Lessard
    • 12h00 Marina León
    • 12h30 Pause midi
    • 14h00 Lucie Bouvet
    • 14h30 Sébastien Huot
    • 15h00 Josée Brouillard
    • 15h30 Pilar Escobar

    2e volet - 20 avril

    • 10h00 Maria Claudia Quijano
    • 10h30 Vickie Grondin
    • 11h00 Marion Schneider
    • 11h30 Anne Florentiny
    • 12h00 Emy Gagnon-Gélinas
    • 12h30 Pause midi
    • 13h30 Aïda Vausoughi
    • 14h00 Josianne Bolduc
    • 14h30 Sarah Cloutier
    • 15h00 Maude Girard
    • 15h30 Camille Pigeon
    • 16h00 Nathalie Guilloux
    • 16h30 Jules Mayrand

    Mélodie Claire Jetté. Microosmoses. Pavillon Sciences biologiques

    Exposition de fin de maitrise

    Crédit photo : Mélodie Claire Jetté en collaboration avec Grégoire Bonnamour, Plateforme de microscopie, Département des sciences biologiques (UQAM).

    Microosmoses est une exposition installative et vidéographique réalisée par Mélodie Claire Jetté. Issue d’une réflexion sur la collaboration conçue en tant qu’alliance singulière et créatrice entre différentes formes de vivants, Microosmoses vous transporte dans un univers de bulles de verre où coexistent des milliards de microorganismes, formant des communautés symbiotiques qui ne cessent de s’influencer et se contaminer mutuellement. Sera offerte, à quelques occasions, la possibilité pour les participant.es de faire don de bactéries de leur microbiote afin de participer à la création de ces microcosmes hybrides.


    Date lieu et heure de l’activité : du 18 au 27 avril 2023
    Salle d’expérimentation d’Hexagram, Pavillon Sciences biologiques (SB)
    141, avenue du Président-Kennedy, Salle d’expérimentation, 4e étage, local SB-4105


    Vernissage le 21 avril à 17h
    Lundi au vendredi de 13h à 20h
    Samedi et dimanche* de 13h à 18h *Fin de semaine : accès uniquement par le souterrain du Pavillon Président-Kennedy (PK)

    Maude Arsenault, récipiendaire de la prestigieuse bourse Bronfman 2023

    30 mars 2023 à 20 h 23

    La finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques Maude Arsenault ainsi que le diplômé de la maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia  Kyle Alden Martens reçoivent la prestigieuse bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain 2023.

    D’une valeur de près de 60 000 dollars, pour une durée de deux ans, la bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain offre aux personnes lauréates la reconnaissance et le soutien indispensables au perfectionnement de leurs œuvres et à l’avancement de leurs recherches créatrices, à un moment important de leurs parcours, alors qu’elles passent de la sphère universitaire au milieu professionnel. La bourse est remise chaque année à deux personnes finissantes ou diplômées d’une maîtrise ou d’un doctorat en arts visuels ou médiatiques de la Faculté des arts de l’UQAM et de la Faculté des beaux-arts de l’Université Concordia.

    L’appui financier de la Fondation Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain est inestimable pour les artistes en début de carrière, affirme la doyenne de la Faculté des arts Joanne Lalonde. «Cette bourse, dit-elle, est l’une des plus généreuses offertes aux artistes de la relève en arts visuels au Canada et leur donne l’assurance de pouvoir s’investir entièrement dans leur travail de recherche et création, en plus de favoriser leur transition vers les milieux professionnels. Depuis 2010, la bourse a permis de créer une communauté d’artistes qui participent pleinement au rayonnement des arts et de la culture à l’échelle nationale et internationale.»


    L'artiste et photographe Maude Arsenault. Photo: Maude Arsenault
    Le parcours de Maude Arsenault

    Après plusieurs années derrière l’objectif dans le milieu de la mode, Maude Arsenault, photographe, artiste, mère et féministe, bifurque autour de 2015 vers les arts visuels. Son travail investit les thèmes de la représentation féminine, de l’espace privé, de la domesticité et de l’intimité. Elle explore, à partir de l’image photographique et imprimée, le collage, la sculpture et l’installation. Ce faisant, ses projets déploient des corps-espaces et des espaces du corps inattendus, dans une perspective d’auto-détermination pour les femmes.

    Maude Arsenault est aussi récipiendaire de la bourse du Centre des Femmes de l’UQAM (2020) et de la bourse en arts visuels Yvonne L. Bombardier 2021, en plus d’avoir remporté le prestigieux prix international de photographie Hariban Award au Japon en 2020.

    En 2022-2023, l’artiste réalise une résidence de recherche création d’un an en Gaspésie sur les corps physiques et les corps territoires. Le résultat de cette recherche sera présenté cette année aux Rencontres de la photographie en Gaspésie.

    On pourra aussi voir son travail ainsi que celui de Kyle Alden Martens à la foire Plural (anciennement la Foire Papier), qui se tiendra à Montréal en avril prochain.

    «En tant qu’artiste finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques et mère monoparentale, je suis exaltée par les possibilités que la bourse Bronfman m’offrira, déclare la lauréate. Je suis enchantée d’avoir choisi l’UQAM pour entreprendre ma maîtrise. Grâce à la polyvalence du programme, la qualité de l’enseignement, la bienveillance et l’accompagnement de ma direction de recherche et des professeures et professeurs de l’École des arts visuels et médiatiques de la Faculté des arts, j’ai été propulsée, nourrie et transformée. Je souhaite exprimer toute ma gratitude à la famille Bronfman.»

    Alvaro Marinho, récipiendaire de la bourse Artprim/ÉAVM (maîtrise)

    Mercredi, 29 mars, s’est tenu le jury pour les Bourses Arprim, centre d'essai en art imprimé/École des arts visuels et médiatiques. 👏👏👏

    Le montant de ces bourses provient des retombées du projet À l’affiche, un partenariat créé en 2015 entre le centre d’artistes et l’École des arts visuels et médiatiques.

    https://www.alaffiche.arprim.org/

    Cette année les lauréats·e·s sont:

    À la Maitrise :  Alvaro Marinho

    Au Baccalauréat : Célia Beauchesne et Catherine-Audrai Lalonde

    Les membres du jury tiennent à féliciter les candidats.es et les lauréats.es pour la qualité de leurs propositions.👏👏👏

    Qu'est-ce le profil recherche intervention? Séance d'information, 30 mars

    Assistez à une séance d’information du programme de maîtrise en arts visuels et médiatiques : concentration recherche intervention, et apprenez-en plus sur les conditions d'admission, les modalités d'enseignement et le type de projets de recherche qu'il vous serait possible de développer dans le cadre de ce programme unique ! Date limite d'admission : 1er mai 2023

    Séance d’information : jeudi 30 mars de 12 h 30 à 13 h 30

    Lien Zoom : https://uqam.zoom.us/j/84222134453

    Évènement FB


    Plus d'informations sur le programme :

    https://eavm-m.uqam.ca/concentrations/rechercheintervention/

    Maude Arsenault. Quand la maison s'effrite, il faut reconstruire. CDEx

    Exposition de fin de maîtrise

    Vernissage : 21 mars à 17h à 20 h

    Exposition : du 21 au 25 mars.

    Crédits photo : Maude Arsenault

    L’exposition de fin de maîtrise de Maude Arsenault se présente comme un dialogue entre image et image-objet, entre corps charnels et espaces d'intériorité, entre corps-territoires et paysages identitaires. L’artiste nous invite à plonger dans un univers flottant où l’on découvre des photographies et des objets inspirés de la vie quotidienne. Imprégnées par ce que l’artiste conçoit comme la force de la douceur, ses installations révèlent de manière latente ce que les choses, les corps, les images et leurs sous-textes nous transmettent comme messages, nous renvoyant sans cesse à la précarité de la condition féminine. Ainsi, en réfléchissant aux diverses couches qui composent les identités féminines, incluant la sienne, Maude Arsenault propose des œuvres faites à partir de photographies et d’impressions numériques expérimentales sur textiles et papiers qui se côtoient dans l’espace en nous transportant de refuges en débordements, rappelant la vie des femmes, leurs oppressions et leurs espaces de protection et de replis. Impudiques, enveloppantes et inspirées d’un monde en (dé-re) construction, ces images-objets opposent les dualités du fragile, du tendre, du beau et la résistance du solide, du tempétueux et du chaotique. 

    Quand la maison s’effrite, il faut reconstruire, présente des installations qui véhiculent et reflètent une recherche continue, non finie, comme une sorte d'affirmation de l’existence psychique de l’artiste-mère dans des espaces familiers, apaisants ou claustrophobes et oubliés, que sont ceux de son corps et de ses replis. Une prise de parole se manifeste ainsi en couches sur les images, entre confession et jeux de mots. Enfin, la douceur, l’aspect esthétique et onirique qui pourrait sembler émerger de ces œuvres doit être déchiffré comme une forme de personnification et de détournement des codes exigés aux femmes.  Il faut savoir lire dans ces bulles, ces rapiècements, ces corps et ces textiles vaporeux, aussi, une colère et une bataille qui grondent. 

    Geneviève Roy. Intermonde. Circa art actuel.

    Exposition de fin de maîtrise

    18 mars au 22 avril 2023

    Vernissage : samedi 18 mars de 14h à 17:30h

    Dans l’exposition Intermonde, Geneviève Roy propose un environnement ancré dans l’exploration des espaces physiques et psychiques. Ses recherches tirent profit de son parcours en tant qu’architecte – une profession qu’elle a exercée en première carrière –, mais aussi d’une forme de quête identitaire l’ayant menée à sonder son rapport affectif aux lieux de son histoire. Agissant comme catalyseur d’une démarche déjà en gestation, un retour dans la maison de son enfance, au plus fort du confinement de 2020, déclenche une réflexion sur l’espace construit et la mémoire. Face au rétrécissement de la vie sociale, l’artiste imagine des dispositifs qui font écho à une soudaine descente en soi, exploitant la dualité du dedans et du dehors, du caché et du dévoilé, par des jeux de points de vue à l’attention du spectateur.

    En savoir plus...

    – Extrait de texte de Marie-Pier Bocquet

    Poli Wilhelm. De mémoire. Maison de la culture Rosemont-LaPetite-Patrie

    Exposition de fin de maîtrise

    Crédits photo : Andrea Calderon

    L’exposition De Mémoire par Poli Wilhelm, finissante à la maîtrise, vous plonge dans un univers où l’image imprimée dialogue avec des motifs peints.

    Poli Wilhelm propose un parcours pictural singulier où elle cherche à évoquer l’image d’une mémoire mouvante, pliée et dépliée, fragile et infidèle à la fois. Afin de recréer les bouts manquants d’un puzzle mémoriel, peu importe qu’ils soient des simulacres de souvenirs, elle détourne la temporalité de photographies d’archive et de souvenirs d’enfance. 

    Vernissage: jeudi 16 mars, de 17 h à 19 h

    Du 16 mars au 21 mai.

    Maison de la culture de Rosemont–La Petite-Patrie

    6707, avenue De Lorimier
    Montréal (Québec) H2G 2P8

    Voir la carte

    Vickie Grondin. Avant-première de Ce qui subsiste. Théâtre Plaza, Montréal

    Le court métrage de Vickie Grondin, étudiante à la maîtrise, sera présenté en avant-première le 24 mars prochain au Théâtre Plaza à Montréal. Cette oeuvre est le résultat d’un processus s’étalant sur 4 ans. Un film rêvé rêvé, scénarisé et tourné aux Îles de la Madeleine! Un récit hybride entre le court métrage de fiction et de danse questionnant notre relation avec le vivant.


    Tourné à l’été 2021 aux Îles de la Madeleine, le film questionne notre relation avec le vivant ainsi que nos comportements dominants face à celui-ci. C’est lors d’une résidence d’un mois aux Îles à l’automne 2019, peu de temps après que l’ouragan Dorian y ait causé des ravages, que la réalisatrice eut ce désir d’aborder les changements climatiques sous une forme de récit hybride entre le court métrage de fiction et de danse.

    Annonce officielle

    Bande annonce

    https://mailchi.mp/e31ade3ac5ab/ce-qui-subsiste-bande-annonce-officielle?e=%5BUNIQID

    [Diplômée] Caroline Pierret Pierson à la Cinémathèque Québécoise

    Crédits photo : Caroline Pierret Piesron

    Le 8 mars à 18h, dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, aura lieu une projection spéciale du film PLUS JAMAIS SILENCIEUSE de Caroline Pierret Pirson, suivie d’une discussion avec la réalisatrice ainsi que plusieurs de ses collaboratrices.

    👉 Une deuxième séance aura lieu le 11 mars à 14h30.

    Andrea Calderón Stephens. Digna Rabia, vouloir tout brûler. CDEx

    Exposition de fin de maîtrise

    Exposition de fin de maîtrise

    Finissage : 8 mars à 17h00

    « Cette exposition est une recherche inachevée et en constante transformation. Elle témoigne des inquiétudes qui m’habitent depuis l’intensification de la présence médiatique des actions des militantes mexicaines. Les œuvres ici présentes sont une recompilation de captations photographiques, vidéographiques et sonores collectées entre Mexico et Montréal pendant les deux dernières années. Par cette enquête documentaire expérimentale, je réalise une introspection en continu qui me permet de prendre conscience de comment le mouvement féministe dans mon pays d’origine bouleverse mes perceptions. Mon intention est d’engager un dialogue à propos de la résistance et de notre capacité à protéger la vie dans des contextes nécropolitiques. Comment est-ce que les artéfacts de contrôle peuvent être détournés par des actions collectives et par la création ? Comment la rage peut-elle devenir une puissance d’action ? Comment retrouver la joie et la tendresse lorsque la violence fige notre territoire ? »

    Maria Calderón Stephens

    CDEx / UQAM Local J-R930 405 rue Saint-Catherine Est

    Maude Arsenault. Quand le regard se heurte. (Bourse Y.L Bombardier 2021). POPOP

    Crédits photo : Maude Arsenault

    L'exposition de Maude Arsenault, récipiendaire de la bourse en arts visuels Yvonne L. Bombardier 2021, sera présentée par la Fondation Bombardier, à la galerie POPOP
    du 15 au 18 février 2023

    372 rue ste-Catherine O.
    Espace 442-444

    VERNISSAGE
    Mercredi 15 février de 17h à 20h

    OUVERT
    Jeudi 16 février, 13h-19h
    Vendredi 17 février, 13h-18h
    Samedi 18 février, 12h-17h (finissage)

    Cette exposition aborde de manière générale un dialogue entre l’image et l’image-objet, ainsi qu’entre les espaces privés et publics de représentation. Les œuvres, tirées d’images de reflets dans des vitrines, suggèrent de multiples narrations, proposant dans l’espace d’exposition, un récit énigmatique sur la construction identitaire qui opère entre réflexivité et réversibilité. Le travail que présente l’artiste, finissante à la Maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQAM, renvoie à des formes picturales, et à des dispositifs qui brouillent les frontières entre matérialité, esthétisme, opacité, dualité et voyeurisme.

    Le regard impose, formate et domine notre manière d’être au monde et nos relations à l’autre. Avec les réseaux sociaux et des caméras sur nos téléphones, notre relation à la représentation commande davantage nos vies, même à l’intérieur de notre espace intime. Il n’existe ainsi plus de lieux où nous ne sommes pas traqué·e·s en tout temps. Cette nouvelle réalité d’un regard-reflet omniprésent, comme une vitrine en continu sur soi, peut nous priver du rideau bienveillant qui, en principe, devrait protéger notre intimité et nos espaces de sécurité.

    Par son travail de l’image, Maude Arsenault souhaite questionner la notion de persona et la perception du regardeur ou de la regardeuse afin de révéler comment nos représentations sont inévitablement façonnées, encodées et créées par nos construits sociaux, politiques et morales et des modes de représentations de plus en plus utopistes.

    Lynn Kodeih. Effacer voir ou le jour où j’ai arrêté de dessiner. Galerie de l'UQAM

    Lynn Kodeih, Portable landscape (détail), 2022. Photo : Lynn Kodeih

    Exposition de fin de maîtrise

    10 février - 1 avril 2023

    Vernissage : 9 février 2023, 17 h 30

    Dans Effacer voir ou le jour où j’ai arrêté de dessiner, Lynn Kodeih défriche les thématiques d’appartenance, de territorialité et de frontières. Elle tente d’évoquer, par l’image et sa disparition, le flottement entre plusieurs lieux : les lieux d’origine, d’affiliation, de perte et de colonisation. Kodeih réfléchit à la manière de se positionner en tant qu’immigrante au Canada, un pays hanté par son histoire coloniale, ainsi qu’au rapport entretenu à l’espace (celui qui nous a été enlevé, celui qui nous est offert). Que peut-on amener dans ce nouvel habitat et que devons-nous laisser derrière nous ? Qu’est-ce qui délimite un territoire, le rend stérile, hostile ou accueillant ?

    L’exposition présente un corpus d’œuvres alliant vidéo, textualité et matérialité. L’œuvre sonore, presque invisible, est constituée de fragments, oscillant entre autothéorie et poésie. Par des expérimentations en vidéo et impression sur textile, Kodeih élabore des protocoles de multiplication et de surimposition de l’image, qui vient se saturer, jusqu’à sa disparition. Dans le cadre de cette exposition, l’artiste appréhende le médium de la céramique pour la première fois, où elle explore la matérialité de la trace par l’empreinte et le façonnage. Les œuvres exposées révèlent son désir d’effacer le paysage, pour rendre d’autres apparitions possibles. Dans le contexte d’un monde submergé d’images, le travail de Lynn Kodeih témoigne de la nécessité de retourner le regard sur ces espaces de perte, pour nous pousser à les réimaginer.

    Pour plus d'informations

    Audrey Beaulé. Si le livre sait se fermer, ce n'est pas parce qu'il  ne peut pas s'ouvrir. Arprim

    Exposition de fin de maîtrise

    Du 20 janvier au 25 février 2023
    Vernissage le vendredi 20 janvier 2023 dès 17h30

    Si le livre sait se fermer, ce n’est pas parce qu’il ne peut pas s’ouvrir est une expo-vente regroupant trois projet d’autoédition. Agissant comme une salle de lecture sensible, elle appelle aux actions de s’assoir, de manipuler, de lire, de penser, de ressentir, de prendre un temps et de faire place aux marges.

    L’artiste propose des prises de positions tantôt vulnérables, tantôt queer, tantôt puissantes, pour réfléchir à nos systèmes qui cadrent nos existences. Que ce soit par le rapport au travail, à nos sexualités, au relationnel, à nos institutions ou encore à notre éducation, comment déployer nos manières de vivre? Est-ce possible de (re)trouver une puissance en combattant nos systèmes? Est-ce réellement possible de s’émanciper? De quoi? Comment?

    Quelles perspectives sont envisageables pour les prises de paroles marginales aujourd’hui? Pour Audrey Beaulé, sa réponse réside dans l’autoédition. Ce médium dissémine les marges – de la société, de la page. Des enluminures du Moyen Âge, en passant par l’imprimerie de Gutenberg, jusqu’à la photocopieuse XEROX, à la culture punk et à la bande dessinée jusqu’à l’impression telle qu’on la connaît aujourd’hui, les publications ont toujours cherché à laisser des traces, comprendre ou se raconter de manières plurielles. Par la production de publications, Audrey Beaulé a le sentiment de mieux habiter ses propres marges, à se décentrer, à inviter au déplacement. Ce médium offre cette possibilité de décloisonner l’art tout en entrant en contact avec divers publics, diverses personnes – initiées ou non – aux perspective marginales et au milieu des arts, du livre; il peut proposer un discours alternatif. Pour iel, l’espace du livre – de son idéation à sa fabrication – est vecteur de moments remplis d’une vive lucidité, d’une liberté incomparable, d’affirmations multiples et d’une plénitude menant constamment vers de nouvelles transformations de soi. L’autoédition dans laquelle s’inscrit l’artiste reste une activité marginale où laisser une trace en défiant la représentation par l’abstraction – textuelle, dessinée - est une résistance à notre société d’information et d’images. S’opacifier, brouiller, tordre le réel et l’imaginaire sont des méthodes actives hors des représentations. C’est un processus qui oscille entre se fermer et s’ouvrir, vers une recherche constante à incarner davantage sa vie, sa pensée, son corps et son temps.

    Artprim, 372, rue Sainte-Catherine O, # 426

    Mémoire création de Florence Jacob : Maîtriser (ou pas) l’art du journal de bord. CDEx. Du 2 au 8 juin 2021, de 10 h à 18 h

    Vous êtes cordialement invitées et invités à visiter l’exposition de Florence Jacob, Maîtriser (ou pas) l’art du journal de bord, présentée comme exigence partielle de la maîtrise en arts visuels et médiatiques. Florence Jacob s’est donné le mandat d’explorer le journal de bord dans le but d’oser le documentaire subjectif. Dans l’interprétation du rôle d’étudiante qui joue à faire sa maîtrise, on la suit dans ses réflexions au quotidien, qu'il s'agisse du processus créatif ou du rapport à la communauté artistique et uqamienne.

    En se basant sur sa propre expérience, l’étudiante artiste propose un récit portant sur la performance scolaire, le doute vocationnel et la critique institutionnelle par le biais du dessin au crayon de couleur, de la vidéo, de l’animation et de l’installation.

    Du 2 au 8 juin 2021, de 10 h à 18 h. 

    CDEx, UQAM
    Local J-4050
    405, rue Sainte-Catherine Est
    Montréal (Québec) H2L 2C4
    Entrée libre pour les membres de l'UQAM (suivant les normes sanitaires de l'Université)

    Lien vers l'événement

    Leila Zelli, lauréate de la Bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain

    Terrain de jeux, 2019

    Née à Téhéran (Iran), Leila Zelli vit et travaille à Montréal. Détentrice d’une maitrise (2020) et d’un baccalauréat (2016) en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, elle s’intéresse aux rapports que l’on entretient avec les idées « d’autres »et « d’ailleurs » et plus spécifiquement au sein de cet espace géopolitique souvent désigné par le terme discutable de « Moyen-Orient ». Son travail a, entre autres, été présenté à la Galerie Bradley Ertaskiran (2020), au Conseil des arts de Montréal (2019-2020), à la Galerie de l’UQAM (2020,2019, 2015) et à la Foire en art actuel de Québec (2019). Ses réalisations font désormais partie de la collection du Musée des beaux-arts de Montréal, de la collection Prêt d’œuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec, de la collection du Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul et de la collection de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

    boursesbronfman.org

    Rémi Belliveau en lice pour le prix Sobey

    La Fondation Sobey pour les arts et le Musée des beaux-arts du Canada annoncent les vingt-cinq artistes de la liste préliminaire du Prix Sobey pour les arts 2021! Remi Belliveau, récemment diplômé de la Maîtrise en arts visuels et médiatiques. de l'UQAM, en fait partie.

    Rémi Belliveau est un·e artiste interdisciplinaire et un·e musicien·ne acadien·ne originaire de Belliveau-Village (vallée de Memramcook, au Nouveau-Brunswick), un hameau acadien situé sur le Mi’kma’ki, territoire ancestral non cédé du peuple mi’kmaq.

    Depuis 2012, son travail a été présenté dans plusieurs contextes d’exposition dans les Maritimes et au Québec.

    En parallèle à sa pratique artistique, iel a codirigé la Galerie Sans Nom (Moncton) avec Annie France Noël (de 2014 à 2018), a joué à deux reprises le rôle de (co)commissaire (2015, 2018), a été chargé·e de cours à l’Université de Moncton (2017) et a publié des textes dans la revue Canadian  Art.

     Site Web de l'artiste

    https://www.beaux-arts.ca/a-laffiche/prix-sobey-pour-les-arts/artistes-2021/atlantique

    Seated Girl Wearing a Cloak [Jeune femme assise portant une cape] (détail), 2019, images de style photomaton sur carton, 2,5 × 4 cm chacune, L'œuvre évoque les cartes de visite du XIXe siècle, un des supports par lesquels les peintures de l’artiste écossais Thomas Faed ont été diffusées parmi les classes moyennes et l’aristocratie. © Rémi Belliveau — Avec l’autorisation de l’artiste
    
    	

    Mémoire création de Karine Madran : Cliquez OK pour voir plus de peintures.

    Du 19 au 31 mai 2021, de 12 à 18h
    Sur rendez-vous

    GHAM & DAFE
    3425 rue Ste-Catherine Est,
    Montréal, Québec, H1W 2E1

    Métro Joliette/Préfontaine

    Karine Madran présentera une exposition individuelle présentée comme exigence partielle de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQÀM à GHAM & DAFE, du 19 mai au 31 mai 2021.

    Pro-surfeuse, Karine Madran arpente quotidiennement le Web à la recherche de nouvelles images insolites relative à l'univers vernaculaire d'Internet. Ces images, parfois photoshopées, sont teintées d'une étrange aura nommé « images maudites » (cursed images). Madran transpose ensuite ses découvertes par le médium de la peinture, en prenant toutefois le soin de les associer à d'autres images par le biais du collage ou par la transformation matérielle de la peinture. Affiliés au post-Internet, ses tableaux se veulent le reflet de notre étrange relation avec cet outil informatique omniprésent qu'est Internet. Madran perçoit celui-ci comme un tourbillon de fichiers visuels dont l’ambiguïté, l'absurdité et l'improbabilité viennent nourrir une soif inassouvissable pour cette imagerie particulière. En s'inspirant de ces images numériques, elle souhaite faire référence à cette communauté online dont elle fait partie. Elle souhaite également amener le regardeur à absorber ces images virtualisées moins passivement, tout en les incitant à apprécier celles-ci pour toute leur beauté catastrophique. Par l'ajout d'un filtre humoristique et d'une méthodologie prônant l’erreur, elle cherche à créer des tableaux énigmatiques qui amusent par leur gaucherie sérendipienne. Tandis qu'avec l'intégration et la monstration délibérée d'accidents de parcours, Madran permet de mettre en lumière le processus créatif, ce qui amène à redéfinir notre relation à l'échec, et ce, jusqu'à en faire l'éloge.

    Informations :

    Karine Madran

    karinemadran@gmail.com

    Événement Facebook

    Mémoire création d'Annie-France Leclerc : Par-delà la forêt se trouve un jardin.


    Galerie de l'UQAM. 14 mai 2021 - 17 juillet 2021

    Réservations obligatoires
    Consultez notre protocole de visite

    Le public est invité à découvrir le travail d’Annie France Leclerc, finissante de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, qui explore les notions de biodiversité et de revalorisation d’espèces qualifiées d’indésirables par le biais de sa relation avec le parc du Boisé-de-Saint-Sulpice, situé à Montréal.

    Annie France Leclerc, Sanguinaires du Canada, 2020, photographie au sténopé

    L’EXPOSITION

    Par-delà la forêt se trouve un jardin met en scène la relation intime que l’artiste a développée au fil des années avec le parc du Boisé-de-Saint-Sulpice. Ce petit boisé urbain protégé, d’une superficie de sept hectares, est situé dans le quartier Ahuntsic à Montréal. Le processus d’Annie France Leclerc est marqué par la collecte et la présence attentive aux êtres vivants et aux matières qu’elle rencontre, mais également par la recherche, l’acquisition de connaissances et le désir de transmission. L’exposition incarne l’évolution du rapport de l’artiste à ce lieu et à la nature, en passant d’une posture contemplative à une posture active, plus consciente des phénomènes biologiques et écologiques à l’œuvre. Elle y explore les questions de biodiversité, d’espèces envahissantes et de réciprocité.

    L’exposition présente une installation immersive brouillant la frontière entre documents et œuvres. S’y rencontrent le dessin, la photographie, le son, l’art textile, la performance et des objets issus de la collecte. Un parcours formé par la suspension de tissus provoque un jeu de cadrages et de points de vue qui évolue au fil de la découverte de l’installation. Dans un désir de revalorisation, les tissus sont teints avec des plantes envahissantes1 prélevées au boisé, et caractérisées comme nuisibles et indésirables sur le plan de la biodiversité. Les tissus de couleurs jaunes, rosées, vertes et bleu-gris, sensibles à la lumière et à la décoloration, flottent dans la salle d’exposition et évoquent la fragilité d’un écosystème sujet à une activité humaine quotidienne importante.

    _____________________________________

    1Le phragmite, le nerprun cathartique, le sumac vinaigrier, l’alliaire officinale, la vigne vierge de virginie, la tanaisie vulgaire, l’armoise commune, la verge d’or, l’oseille et le millepertuis constituent les espèces envahissantes et autres plantes qualifiées de « mauvaises herbes », qui ont été prélevées au parc du Boisé-de-Saint-Sulpice, transformées en teintures ou en encres, et présentes dans l’exposition.

    L’ARTISTE

    Annie France Leclerc est originaire de Sainte-Blandine, près de Rimouski dans le Bas-Saint-Laurent. Elle vit et travaille à Tiohtiá:ke/Mooniyang, le territoire non cédé des peuples Haudenosaunee et Anishinabeg aussi connu sous le nom de Montréal. Elle a grandi entourée par la forêt, ce qui a grandement influencé son rapport au monde. Diplômée en photographie de l’Université Concordia (2012) et finissante de la maitrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, elle est récipiendaire de nombreuses bourses d’études, notamment la Bourse du Fonds de la Faculté des arts – maitrise (2020), la Bourse Claude-Courchesne en arts visuels et médiatiques (2020), la Bourse Jean-Marc-Eustache en arts visuels (2019), la bourse ARPRIM/EAVM (2019) et d’une bourse institutionnelle à la maitrise en arts visuels et médiatiques (2019). Son travail a été présenté dans le cadre d’une exposition individuelle (Espace Parenthèses) et d’expositions collectives (POP Montréal, Écomusée du fier monde, les Territoires, FOFA, Galerie VAV, Galerie d’Art de Matane). Elle a enseigné la photographie au Collège Jean-Eudes (2012-2018) et a été chargée de cours à l’UQAM à l’hiver 2020.
    anniefranceleclerc.com

    POUR VISITER

    La Galerie de l’UQAM ouvrira ses portes au public selon un horaire réduit (mercredi – vendredi, midi – 18 h) en raison de la pandémie. Toutefois, veuillez consulter notre site web avant de vous déplacer pour savoir si des changements ont dû être apportés et pour connaître les modalités de visite. Pour le moment, l’accès se fait par l’entrée du métro Berri-UQAM et sous présentation d’un formulaire d’autorisation que vous pourrez bientôt obtenir à partir de notre site web.

    https://galerie.uqam.ca/expositions/annie-france-leclerc-par-dela-la-foret-se-trouve-un-jardin/

    Mémoire création de Marie Élaine Lalonde : Dépli des formes.

     Hangar 7826m, du 6 mai au 5 Juin 2021

    Marie Elaine Lalonde propose une expérience immersive qui suscite de prêter attention aux infimes modulations générées par le temps et l'espace. Cette fois, elle investit l’espace singulier du -HANGAR 7826- avec une installation in-situ composée de feuilles métalliques, de miroirs, de surfaces dichroïques, de lumière naturelle et d’éclairage. Finissante à la maitrise en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM, l’artiste y poursuit sa réflexion sur la capacité d’agir de la matière.

    Réceptive à ce qui se manifeste, Lalonde cherche à faire circuler les forces et à activer les potentialités en cours.  Elle intervient dans l’espace par une prolifération d’éléments géométriques réfléchissants: un simple losange d’acier plié dont les quatre surfaces triangulaires sont recouvertes -ou non- de miroirs.  Positionnées en corrélation avec les particularités architecturales, le déplacement de la lumière solaire ainsi que la simulation d’instants de lumière du jour, ces surfaces, greffées aux murs et aux planchers, offrent des trajectoires changeantes.  Au gré de la progression du jour et des conditions météorologiques, l’installation évolue en une complexité de reflets qui apparaissent/disparaissent, s’allongent/s’inclinent, se déplient/se replient, s’intensifient/ s’estompent.  

    La recherche-création de Marie Elaine Lalonde est motivée par son émerveillement devant les processus de cristallisation. L’évolution des structures engendrées par ce phénomène engage, chez elle, une nouvelle considération de la matière qui se révèle comme étant dotée d’une activité émergente, d’un potentiel indéterminé ; constamment disposée à devenir autre.  Dans le contexte où le processus de cristallisation est considéré comme une concrétisation visible engendrée par des forces invisibles, de quelle manière partager la sensation que quelque chose d’essentiel et d’insaisissable nous échappe ?  

    Le cristal, en raison de sa géométrie et de sa transparence, fait appel à l’optique. C’est ce qui a conduit sa recherche à la mise en espace de miroirs et lumière dont les corrélations génèrent des phénomènes de réflexion, de diffraction ou de réfraction.  ______________________________

    Situé dans un ancien hangar du quartier Villeray à Montréal, HANGAR 7826 est accessible uniquement par la ruelle entre les rues Foucher et Saint-Gérard juste au sud de Gounod. À deux pas de la station de métro JARRY.

    En raison des mesures sanitaires, veuillez réserver votre plage horaire:

    Du mercredi au samedi de 12h à 17h sur le site www.deplidesformes.com à l’onglet RÉSERVATION.

    L’artiste vous y accueillera avec plaisir !!!

    APPEL À PARTICIPATION | La sympoïèse d’un cercle de lecture ambulatoire

    Venez nous rejoindre au Jardin botanique! Ada X lance un appel à participation pour La sympoïèse d’un cercle de lecture ambulatoire, dans le cadre d'une collaboration spéciale avec MÉDIANE – Chaire de recherche du Canada en arts, écotechnologies de pratique et changements climatiques.

    Chaque participant-e recevra un cachet de 250$. Envoyez une lettre d'intention avant le vendredi 23 avril à midi à appel@ada-x.org.  
    appel
    La sympoïèse d’un cercle de lecture ambulatoire
    Gisèle Trudel et Susan Turcot, avec la complicité de Sylvie Laplante et de Émilie Mouchous
    Atelier bilingue
    Mai + juillet 2021
    ––––––
    Une continuation de la voix en marche, accompagnée d’un chapitre du livre Staying with the Trouble: Making Kin in the Chthulucene par Donna Haraway (2016). La philosophe invite à penser avec les autres-qu’humains. Cette activité souhaite étendre les approches du partage, lier la technologie au vivant, multiplier les voix, ouvrir des connexions situées. Les processus d’enregistrement et d’écoute activés par la marche et en cercle de discussion seront explorés en petit groupe, tout en respectant les consignes sanitaires.Calendrier
    15 mai : rencontre de 3 heures sur place au Jardin botanique
    22 mai : réunion de 90 minutes en visioconférence
    Semaine du 24 au 29 mai : séance d’enregistrement. Chaque participant-e aura préparé son passage du chapitre, prêt à être enregistré. Assistance technique d’une heure comprise par personne, au besoin.
    Semaine du 19 au 23 juillet (date unique à déterminer ensemble) : déambulation avec écoute des enregistrements, suivi du cercle de discussion près de la Maison de l’arbre au Jardin botanique (3 heures). Accessible aux publics.

    Soumettez une lettre d’intention (500 mots max.) à appel@ada-x.org avant le vendredi 23 avril à midi.5 personnes seront sélectionnées et recevront un cachet de 250 $ pour la participation + 2 accès au Jardin botanique (valeur de 25 $). Aucun achat requis. Les participant-e-s acceptent que leur enregistrement soit disponible pour écoute via baladodiffusion.––––––
    Les devenirs-avec les plantes, les sons et les sens seront accompagnés de Gisèle Trudel et Susan Turcot, avec la complicité de Sylvie Laplante et de Émilie Mouchous. Elles sont artistes, étudiantes et enseignantes à l’École des arts visuels et médiatiques et à l’École des médias de l’UQAM. Elles expérimentent la vidéo, le fusain, la marche et l’électronique.Partenaire : MÉDIANE – Chaire de recherche du Canada en arts, écotechnologies de pratique et changements climatiques (mediane.uqam.ca), avec l’appui du CRSH, de la FCI et du FRQSC.

    Appel de candidatures : Intersections - Résidence de recherche, création et production

    Nouveau partenariat entre le Conseil des arts de Montréal, l’EAVM et OPTICA, centre d’art contemporain

    Date limite de dépôt : 25 avril 2021
    Séance d'information virtuelle: 13 avril à 11h

    Le Conseil des arts de Montréal (CAM), le Centre d’art contemporain OPTICA et l’École des arts visuels et médiatiques (EAVM) de l’UQAM lancent un appel de candidatures pour les artistes issu.e.s de l’immigration (de première ou de seconde génération) qui sont membres des minorités ethniques ou visibles**. Les candidat.e.s éligibles auront terminé leurs études ou seront prochainement diplômé.e.s de la maîtrise à l’EAVM.

    Ce nouveau partenariat vise à offrir un soutien de recherche, de création et de production à un.e artiste en lui donnant accès à un accompagnement professionnel, complémentaire à sa formation universitaire dans le milieu artistique montréalais. 

    Ce projet pilote prend la forme d’une résidence en vue de la réalisation d’une œuvre qui entre en dialogue avec des archives (fonds documentaire du centre d’art contemporain OPTICA ou autre, en fonction de la recherche de l’artiste). À la fin de la résidence, OPTICA présentera une exposition de l’artiste sélectionné.e. Le lauréat ou la lauréate tiendra aussi une présentation publique sur sa pratique artistique au centre. Un accompagnement par l’EAVM et OPTICA sera fourni dans le cadre du projet d’une durée d’un an.

    Conditions d'admissibilité

    • être un.e artiste issu.e. de l’immigration (de première ou de seconde génération) membre des minorités ethniques ou visibles**; 
    • être un.e artiste professionnel.le** en arts visuels;
    • avoir été diplômé du programme de maîtrise à l’EAVM entre 2017 et 2021;
    • être citoyen.ne canadien.ne ou résident.e permanent.e du Canada à la date de dépôt de la demande; être domicilié sur le territoire de l’île de Montréal depuis au moins un an;
    • être disponible pour toutes les activités incluses dans le cadre du projet.

    Soutien offert

    • trois mois de résidence de recherche à l’automne 2021 au centre d’art contemporain OPTICA incluant un espace de travail et un accès aux équipements de bureau, aux archives et à la documentation;
    • un studio à l'UQAM pour la création et la production, ainsi qu’un accès aux ateliers techniques spécialisés de l'EAVM pour une durée d’un an; « sous toutes réserves d’approbation par les instances de l’UQAM – en processus »
    • un accompagnement professionnel totalisant 60 heures par OPTICA (30h) et l’EAVM (30h);
    • une subvention de recherche (max. 1500$);
    • un cachet de production (3,000$), d’exposition (2,120$) et de présentation publique (125$);
    • une plage d’exposition ou de diffusion du projet final dans la programmation d’OPTICA et une présentation publique au cours de l’année 2023.

    Veuillez noter que nous ne prenons pas en charge les frais d’hébergement ou de transport. Le calendrier et les conditions de travail peuvent être modifiés en fonction du contexte pandémique.

    Dossier de candidature

    • une lettre de motivation décrivant le projet de recherche proposé, les objectifs prévus, l’échéancier pour les trois mois de la résidence et sa pertinence pour la démarche artistique (max. 500 mots);
    • une courte biographie (max. 100 mots);
    • une démarche artistique (max. 500 mots);
    • un curriculum vitae (max. 3 pages);
    • 10 images maximum au format JPG d'un poids maximal de 1Mo par image et/ou extraits vidéo et audio (5 minutes maximum, par hyperliens) avec une liste descriptive des images et/ou des extraits audiovisuels;

    Le dossier de candidature doit être soumis dans un seul document PDF (taille maximale du fichier de 15 Mo) et envoyé au plus tard le 25 avril 2021 à minuit à l’adresse courriel : intersections@uqam.ca

    Seuls les documents exigés seront transmis aux membres du comité d'évaluation. Il n'y aura pas de commentaires du jury.

    Pour plus de renseignements, une séance d'information virtuelle aura lieu le 13 avril à 11h. Vous êtes invité.e à vous inscrire pour recevoir le lien Zoom d’ici le 11 avril àintersections@uqam.ca

    ** Pour plus d’information sur les termes utilisés, consulter le Glossaire du Conseil des arts de Montréal.

    COLLOQUE FORUM RECHERCHE-CRÉATION, 8 et 15 avril 2021

    SUIVEZ LE GROUPE FB       https://www.facebook.com/mavm.uqam

    Lien : https://uqam.zoom.us/j/84283759537 

    ID de réunion : 842 8375 9537 

    À l’hiver 2021, les personnes étudiantes de deuxième année à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQÀM ont préparé la présentation publique de leur projet de recherche-création. Dans le cadre d’un colloque en visioconférence, les étudiant-e-s partageront les enjeux de leur pratique avec la communauté universitaire et le grand public. Regroupées par affinités, les présentations seront suivies d’une période de discussion sous forme de table ronde. L’évènement, autogéré par ses participant-e-s et chapeauté par la professeure Anne-Marie Ninacs, a pour but de favoriser un lieu d’échanges autour des réflexions soulevées par les projets de recherche-création dans un environnement inclusif.

    JEUDI 8 AVRIL 2021 

    1er bloc : Rejouer avec corps / Le geste transformateur 

    • 9h30 Introduction à Forum et au premier bloc  
    • 9h40 Camille Lescarbeau 
    • 10h00 Audrey  Beaulé
    • 10h20  Discussion en duo animé-e  
    • 10h40 Pause 
    • 11h00 Sophie-Anne  
    • 11h20 Camille Blais 
    • 11h40 Discussion en duo animé-e  
    • 12h00 Fin du premier bloc, invitation au 2e bloc 

    12h30 à 14h00 LUNCH 

    2e bloc : Sexualités, genres et hégémonies  

    • 14h00 Salutations, horaire et introduction du deuxième bloc 
    • 14h05 Marie Etcheba  
    • 14h25 Maude Arsenault
    • 14h45 Discussion en duo 
    • 15h05 Pause  
    • 15h25 Sébastien Goyette Cournoyer
    • 15h45 Caroline Pierret
    • 16h05 Discussion en duo 
    • 16h30 Mot de la fin : invitation à la prochaine séance 

    JEUDI 15 AVRIL 2021 

    1er bloc : Réarticuler la vie en société (contrôle, société et conscience) 

    • 9h30  Introduction à forum (jour 2) et au premier bloc 
    • 9h40  Geneviève Roy
    • 10h00 Ludmila Steckelberg
    • 10h20 Discussion en duo 
    • 10h40 Pause 
    • 11h00 Tristan O’Malley
    • 11h20 François Carignan
    • 11h40 Discussion en duo 
    • 12h00 Fin du bloc, invitation au 2e bloc 

    12h30 à 14h00 LUNCH 

    2e bloc : Éprouver les structures; infiltration, microactions, désenvoutement 

    • 14h00 Salutations, horaire et introduction du 2e bloc 
    • 14h05 Catherine Lejeune
    • 14h25 Audrey-Anne Duplessis
    • 14h40 Discussion en duo 
    • 15h00 Pause  
    • 15h20 Antoine Caron
    • 15h40 Alegria Gobeil
    • 16h00 Discussion en duo 
    • 16h20 Mot de la fin 

    Mémoire création de Manoushka Larouche. Le déplacement. AxeNéo7, en ligne à partir 10 mars 2021

    Crédits photo : Manoushka Larouche

    Le déplacement se présente sous la forme d’une boîte contenant un ensemble d’archives imprimées documentant deux itérations de l’exposition Double prise / Double take, commissariée par David Tomas et exposant les œuvres respectives d’Emmanuelle Duret, de Manoushka Larouche et de Catherine Lescarbeau. L’œuvre fonctionne par une logique de dédoublement qui était aussi à l’origine de l’exposition initiale. À partir du détail photographique de la documentation remaniée de l’exposition que contient la boîte, est dévoilée l’existence d’un intervalle, d’une entre-exposition.
     Dans le cadre d’Autorésidences*, l’artiste propose une itération numérique de ce projet via un site Internet. Le contenu de la boîte d’archives sera prochainement disponible pour consultation à Artexte (Montréal).
    * Autorésidences est un programme de résidences à distance initié par le centre d’artistes AXENÉO7, dans le contexte exceptionnel de la pandémie, dans le but de continuer à soutenir la recherche et le développement des pratiques en art actuel.

    Évènenemt à AxeNéo7
    Projet : ledeplacement.com

    Biographie de l'artiste
    Manoushka Larouche est artiste visuelle et vit à Tiohtià:ke / Montréal. Elle détient une technique en photographie et termine une maîtrise en arts visuels et médiatiques. Sa pratique prend ancrage dans une approche conceptuelle et contextuelle de la photographie et de l’édition. Ces dernières années, ses recherches portent sur des questions liées aux conditions d’existence de l’artiste, la menant à réfléchir à la notion d’image et de liminalité. Son travail a été présenté à la Galerie UQO (Gatineau), à Circa art actuel (Montréal) et dans des lieux de diffusion alternatifs tels que le local E6-21, (Montréal) et sera bientôt présenté à la _____ 2272 panet street, Montréal, QC (CA), H2L 3A6 (Montréal).
    Consulter le site Internet de l'artiste


    Remerciements
    L'artiste tient à remercier Emmanuelle Duret et Catherine Lescarbeau d’avoir été sensibles à cette proposition de projet qui ajoutait alors une couche de lecture à l’exposition collective. Elle remercie également à Casimir Perez pour la réalisation de la mise en ligne du projet.

    Nouveau cours : AVM8614 - Pédagogies innovantes en arts visuels et médiatiques

    DESCRIPTION 

    Ce cours vise à acquérir des savoirs et des pratiques quant à l'adaptation ou la création de diverses approches pédagogiques en enseignement des arts ainsi qu'en intervention éducative dans le domaine. Il examine comment divers mouvements sociétaux tels que l'essor des technologies numériques, le flux des populations et des savoirs, tout comme l'hybridité des pratiques transforment les environnements d'apprentissage et favorisent le déploiement de nouvelles approches pédagogiques. Le cours comprend une section théorique qui vise à définir le concept d'innovation pédagogique dans l'histoire de l'éducation et qui vise à identifier les approches les plus récentes. Il comprend aussi une section pratique d’ateliers de création pédagogique.

    Différents dispositifs technologiques, entre autres en réalité virtuelle, en réalité augmentée et en mobilité, seront mis à la disposition des candidats et candidates. Les travaux du cours mènent à la conception et à la réalisation d'un prototype de création et d’une activité pédagogique innovante en lien avec des enjeux formulés par le milieu de pratique partenaire du projet, le Lieu des possibles du Collège Durocher Saint-Lambert.

    HORAIRE

    Lundi et Mercredi de 17 :30 à 20 :30 du 10 mai au 30 juin 2021

    SCÉANCE D’INFORMATION

    Lundi 8 mars 2020 de 18 :30 à 19 :15 en téléconférence

    Informations

    Martin Lalonde : Lalonde.martin @uqam.ca

    Carole Dubois, agente de gestion des études :  maitrise.arts.visuels@uqam.ca

    Inscription

    La période des inscriptions débutera le 8 mars. 

    Pour s’inscrire, communiquer auprès de madame Carole Dubois à cette adresse :  maitrise.arts.visuels@uqam.ca

    Photographie par Maureen Barlin sur Flickr

    Revue ITEM : Appel à participation

    Agissant comme un magazine numérique pour ouvrir le dialogue, Item est un lieu d’exposition alternatif géré par les étudiantes et étudiants de la maîtrise en arts visuels et médiatiques.

    Toutes les formes sont bienvenues :

    •  images ; desssins, peintures, collages, photographies, etc.
    •  textes ; poésie, essais, portraits d’artistes, correspondances    d’artiste, entrevues, comptes rendus d’exposition,    analyses d’oeuvre, essais typographiques, etc.
    • et toute forme d’expérimentation nourrissant la réflexion en arts visuels ou collaborant à toute autre discipline.

    Date limite d’envoi : 28 février 2021

    Adresse d'envoi  : item.uqam@gmail.com

    Les images doivent être envoyées en format .JPEG ou .PNG, dans la meilleure résolution possible et le texte doit être envoyé idéalement en format .WORD.

    * Envoyez-nous une maquette au besoin, si votre projet nécessite une mise en page précise. *

    On vous invite à vous l’approprier!

    La revue Item est un lieu d’exposition, de discussion et de réflexion issue du champs de l’art contemporain. Publiée par les étudiant.e.s de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, son mandat est de créer des  situations de réflexion dynamique qui tissent des liens étroits entre le travail pratique et la recherche théorique. Ainsi, elle participe à reconduire la réalisation artistique et son discours dans un lieu d’échange et de remise en question.

    Martine Chartrand, lauréate du Prix René-Jodoin 2020

    Martine Chartrand, Crédit photo : Stephan Ballard
    Crédit photo : Stephan Ballard

    Le Prix René-Jodoin 2020 sera remis à la cinéaste et artiste visuelle Martine Chartrand. Depuis 2015, à chaque année, Les Sommets du cinéma d’animation et la Cinémathèque québécoise remettent ce prix à une personnalité marquante, influente et engagée de l’animation canadienne. Diplômée des Beaux-arts (Concordia, 1986) et ayant obtenu un certificat en enseignement des arts plastiques (UQAM, 1988), Martine Chartrand termine présentement sa maîtrise en arts visuels et médiatiques (UQAM). Grande humaniste, récipiendaire de nombreux prix internationaux, elle a célébré l’identité noire dans trois de ses films produits par l'ONF, films dont le rayonnement est impressionnant : TV TANGO, ÂME NOIRE et MACPHERSON. La peinture sur verre dont elle fait usage avec virtuosité dans les deux derniers mentionnés, la place dans la lignée des grands maîtres comme Caroline Leaf et Alexandre Petrov. Généreuse de sa personne et engagée dans diverses communautés, cette artiste québécoise d’origine haïtienne a donné de nombreuses classes de maître, ateliers et conférences dans divers pays afin d’enseigner la technique et de partager son savoir-faire.

    Toutes nos félicitations à Martine !

    Mémoire création de Marie Samuel Levasseur : Les Bavardes. Espace Pi2. 22 - 30 novembre 2020

    Lieu : Espace Pi2, 5445 de Gaspé (#302), Montréal

    Réservation recommandée : info@mariesamuel.com

    Les Bavardes est une exposition participative proposant un mobilier de type banc-bibliothèque où les participants sont invités à lire des micro-récits réalisés par l’artiste abordant plusieurs sujets à portée autobiographique autour de la question de l’indicible; à y déposer leurs propres livres ainsi qu’à collaborer à la création de divers objets, actions et enregistrements vidéo.

    L’exposition, tout comme la méthodologie du bavardage développée par l’artiste, adopte une approche en cocréation, et s’inspire des courants de créations féministes DIY. Elle propose des situations qui détournent les rôles sociaux usuels et les rapports de pouvoir entre artiste et citoyen en offrant l’espoir d’une vie et d’un quotidien traversés par l’art.

    S u j e t   d e   r e c h e r c h e 

    CACHER POUR RÉVÉLER : LE BAVARDAGE COMME ENTRAVE À L’INDICIBLE DANS UNE PRATIQUE DE L’ART DANS LA VIE

    B i o g r a p h i e 

    Artiste engagée et impliquée dans la communauté, Marie Samuel Levasseur poursuit une pratique artistique pluridisciplinaire notamment en vidéo, en installation, en art web, en micro-édition et en micro-action. Ses travaux se déploient par le biais de séries et de retranscription et explorent la question de l’indicible. Dans le cadre de sa maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’UQAM, elle a participé à un stage de création en partenariat avec l’École européenne supérieure de l’image de Poitiers Angoulême. L’artiste a exposé au Québec et en Europe et ses œuvres vidéo sont distribuées par le GIV - Groupe intervention vidéo - et ont été vues, entres autres, aux Rendez-vous du cinéma québécois.

    Espace Pi

    Fidèle à sa mission de protection des écosystèmes de création, le Regroupement Pied Carré accueille en résidence l’artiste pour la présentation de son exposition de fin de maîtrise, envisagée ici comme la prémisse de l’exposition qui aura lieu à la Galerie d’art d’Outremont en 2021.

    La diplômée Emmanuelle Allard remporte le Prix novateur en enseignement des arts

    Le Conseil des diplômés de la Faculté des arts décerne pour la première fois son Prix novateur en enseignement des arts à Emmanuelle Allard (M.A. arts visuels et médiatiques, concentration éducation, 2003) pour un projet d’éducation interculturelle combinant les arts et l’apprentissage du français.

    Assorti d’une bourse de 1000 dollars, le prix est remis à un diplômé ou une diplômée ayant mis en œuvre un projet novateur et mobilisateur au sein de son milieu professionnel.

    Lire la suite dans Actualités UQAM

    Emmanuelle Allard.Photo: Mélanie Dusseault

    Offre du séminaire AVM802V - Pratique de la malfaçon : disposition, attitude et matérialité

    Enseignant : Dominic Papillon, professeur de l'EAVM et doctorant en études et pratiques des arts

    Le cours se donnera le mercredi de 14h à 17h

    La malfaçon désigne aussi bien la forme matérielle finale d’un ouvrage que sa mise en œuvre. Sa présence indique un manque de compétence ou une forme de négligence face aux normes de fabrications prescrites par une tradition donnée. Comment comprendre alors celle-ci dans le cadre d’une pratique artistique dans la mesure où la notion même du faire-œuvre en art s’est radicalement transformée depuis le début du 20e siècle?

    Déjà avec les collages de Picasso et Braque, un nouveau genre de relations s’installe entre la main et le matériau. Basé davantage sur des opérations cognitives, les liens de plus en plus ténus entre l’artiste et ses matériaux se résument parfois à sélectionner, placer et ordonner (Roberts, 2007).

    Vue sous cet angle, la malfaçon cesse d’être la marque d’un manque d’habileté manuelle pour prendre la forme d’une intention subversive ou d’une attitude, dont les prolongements matériels et immatériels assimilent les gestes et les procédés à des stratagèmes que l’artiste met en place.

    Dans la mesure où le faire et le concevoir sont devenues des aspects du travail de plus en plus autonome l’un de l’autre, ouvrant de ce fait un espace grandissant entre le corps de l’artiste et le projet à l’ouvrage; qu’elle fonction l’artiste peut-il accorder à la main et au geste incarné?

    Ce séminaire propose d’explorer ce jeu et ce qu’il signifie pour le vaste champ des pratiques artistiques actuelles. Il aura pour point de fuite les interactions complexes qui se jouent entre l’expérience corporelle de l’artiste, la mise en œuvre des matériaux et le contexte culturel de leur matérialité. Il tentera de répondre à deux questions simples : pourquoi malfaire et comment malfaire.

    Roberts, J. (2007). The intangibilities of form : skill and deskilling in art after the readymade. London; New York: Verso.

    Mémoire création de Josée Bergeron-Proulx. Encre sympathique. CDEx, 27 octobre - 1er novembre.

    Du mardi 27 octobre au dimanche 1 novembre 2020 de 12h à 17h

    Plonger dans l’inconnu du matériaux textuel. Faire émerger les mots révélés dans les matériaux.

    Vous êtes invités à venir découvrir l’exposition Encre Sympathique de Josée Bergeron-Proulx comme exigence partielle de la maîtrise en arts visuels et médiatiques. De par sa curiosité pour la littérature et de ses expériences en scénographie, Bergeron propose d’explorer les interrelations entre les disciplines ce qui lui permet de créer un brouillage matériel et spatial. Dans ses installations elle se prête à ce jeu qui lie le visible et l’invisible et remue la matière évacuée et retenue de son processus scénographique. Ce télescopage disciplinaire lui permet d’interroger l’influence des mots sur l’acte de création. Elle soulève ainsi les problématiques d’interprétation, d’identité textuelle et d’inachèvement du texte littéraire.

    Manipulant le texte comme matériau premier, sa recherche tente de révéler les liens qui oscille entre l’intime et le social, entre les mots-tracés et les matériaux-vestiges, entre les «objets- fragments» et l’espace. De l’extraction de phrases à l’interprétation personnelle, le texte disparait pour faire émerger de la temporalité et de la fragilité. Bergeron assemble des matières organiques et sensibles à des matériaux (objets pratiques ou désuets) soutirés à la culture ou retranchés de l’intime pour provoquer des situations d’interférence entre résonance et dissonance sensorielle. Les fragments de textes qu’elle retient sont entremêlés aux matériaux qu’elle explore et aux objets qu’elle détourne de leur usage. Ils la conduisent à révéler le potentiel d’étrangeté, de fragilité et de poésie.

    CDEx, Centre de diffusion et d’expérimentation, UQAM405 Ste-Catherine / St-Denis Pavillon J-Jasmin, local J-R930

    APPEL À CANDIDATURES : représentation étudiante au Comité d’établissement partenaire de l’UQAM/réseau Hexagram

    À l'attention des membres étudiant.e.s chercheur.e.s d'Hexagram inscrits à l'UQAM


    Le Comité d’établissement partenaire d’Hexagram accompagne la direction des activités scientifiques et artistiques, la gestion des ressources financières, le partage des équipements et des infrastructures soutenues par l’UQAM. Il appuie et conseille leur représentant ou représentante d’établissement. Il sélectionne notamment les candidatures des appels à projets de résidence et d’activités collectives. Il est composé de sept membres rattachés à l’UQAM, dont son représentant ou sa représentante d’établissement (codirecteur, codirectrice), cinq cochercheurs ou cochercheuses et un étudiant ou une étudiante. Le codirecteur ou la codirectrice préside le comité. Le coordonnateur ou la coordonnatrice de l’établissement assume le rôle de secrétaire. Le codirecteur ou la codirectrice est nommé selon le Règlement n° 3 des procédures de désignation. Les cinq cochercheurs ou cochercheuses sont désignés lors de l’Assemblée générale par les membres rattachés à l’UQAM. L’étudiant ou l’étudiante est recruté par le comité après un appel à candidatures. Le comité se rencontre une fois par trimestre.


    Éligibilité :

    • la personne candidate doit être inscrite à un programme des cycles supérieurs de l’UQAM
    • elle doit être sous la supervision et recommandée par un cochercheur ou une cocherheuse membre d’Hexagram (voir la liste suivante) affilié à l’UQAM


    Documents à déposer :

    • une lettre de motivation d’une page mentionnant le ou la membre assurant la supervision
    • un curriculum vitae récent

    Les documents doivent être envoyés à dubois.jean@uqam.ca avant le 26 octobre 2020 à 12:00 par le membre assurant la supervision avec son adresse de courriel normalisée de l’UQAM afin d’attester de son inscription et de sa recommandation.

    Durée du mandat : de novembre 2020 à juin 2022 à condition que la personne soit inscrite à un programme des cycles supérieurs de l’UQAM durant cette période.


    Rémunération : une allocation de 150 $ par réunion est versée à la personne représentant les étudiants.

    Manuelle Freire
    coordonnatrice générale
    PhD Art Education, M.A.
    coordination.hexagram@gmail.com
    freire.manuelle@uqam.ca

    HEXAGRAM.CA
    Réseau de recherche-création en arts, cultures et technologies
    Network for Research-Creation in Arts, Cultures and Technologies

    Mémoire création de Karine Fournier. Libre-coudre ou les Repentirs du Coeur libre. Au CDEx, du 5 au 10 octobre

    Heures d'ouverture : 5 - 9 octobre, de 12h à 17h. Le 10 octobre de 12h à 15h

    Le vernissage a été annulé en fonction de l'annonce récente du gouvernement quant à la crise sanitaire.

    Exposition de fin de maîtrise

    À mesure que l’accident définit sa forme dans les hasards de la matière, à mesure que la main explore ce désastre, l’esprit s’éveille à son tour. Cet aménagement d’un monde chaotique tire ses effets les plus surprenants de matières apparemment peu faits pour l’art (…). (Focillon, 1934)

    Libre-coudre ou les repentirs du cœur libre est l’aboutissement de mes quatre années à la maîtrise en Arts visuels et médiatiques à l’UQAM. Il s’agit d’une installation textile élaborée en co-création avec une trentaine de participants issus du Centre des aînés de Pointe St-Charles et de l’école primaire Charles-Lemoyne dans le cadre du programme Éveil des arts du Centre des arts visuels, de novembre 2019 à mai 2020.

    Dans ma recherche, les savoir-faire se font subvertir. Ils ne représentent pas des compétences acquises par l'expérience. Ils sont considérés comme la capacité de se mettre en « état » de faire. Afin de tailler une brèche dans la normalité des choses, je prône l'usage indiscipliné des textiles prenant, de manière lente et intuitive, des libertés avec l'espace, en rupture avec le réel.  Je mets en œuvre un cumul de petits gestes non-prémédités organisés sous l'angle du non-savoir. Ce processus constitue une réaction au rythme de la vie urbaine, un acte de résistance, de présence et de recueillement.

    Libre-coudre ou les repentirs d’un cœur libre est la rencontre entre le geste, le matériau, l’introspection, et le travail du commun dans la spontanéité de ces petits points malhabiles et poétiques. C'est dans l'intangibilité de ces petits espaces-temps passé à coudre que je nous sens exister ensemble et occuper nos univers intérieurs.

    En regard de la situation actuelle de pandémie mondiale, nous sommes obligés de revoir notre rapport au temps et aux autres. Le lâcher-prise que j’ai cultivé tout au long de mon projet de maîtrise s’est avéré un excellent allié pour faire face à la crise. J’ose espérer que ma recherche-création contribuera à la réflexion pour la suite du monde, un monde que je souhaite plus lent, plus chaleureux, apte à se réinventer.

    CDEx - Université du Québec à Montréal, 405 rue Ste-Catherine / St-Denis, Pavillon Judith-Jasmin, Local J-R930

    Appel à participation : Une image/une citation

    La Maîtrise en arts visuels et médiatiques lance Une image / Une citation* , un projet évolutif qui consiste à diffuser une fois par jour, sur Instagram, une image OU une citation provenant de ses étudiant.e.s.qui sont dans leurs espaces respectifs de recherche-création ou de recherche-intervention (réflexif, physique et virtuel).

    Ce projet vise à favoriser les rencontres de pensée et les échanges par une mise en commun des pratiques de chacun.e.

    *Titre et forme du projet pourront changer au fur et à mesure de l'implication des étudiant.e.s.

    Si vous êtes intéressé.e.s, envoyez votre contribution à
    savoie.claire@uqam.ca
    Une seule image OU une seule citation par envoi.

    Dans votre message d'envoi, veuillez inclure : la «légende» et les mots-clics (hashtags) de votre choix, votre nom, ainsi que le nom de l'auteur.trice de votre citation (si pertinent).

    UNE IMAGE

    • esquisse / ébauche
    • dessin de carnet
    • travail en cours
    • expérimentation
    • oeuvre finie
    • espace d'atelier
    • détails d'atelier
    • l'étudiant.e à l'oeuvre
    • l'étudiant.e dans l'atelier
    • mains de l'étudiant.e à l'oeuvre
    • carte conceptuelle
    • ou autres

    Formats Instagram
    carré : 1080 X 1080 px
    portrait : 1080 X 1350 px
    paysage : 1080 X 566 px

    UNE CITATION

    • du carnet de notes
    • du journal de bord
    • d'un texte théorique
    • trouvaille/observation
    • réflexion
    • phrase tirée d'un mémoire (le vôtre?)
    • qui a retenu votre attention
    • pertinente pour vous en ce moment
    • ou autres

    doit être brève et envoyée sous forme d'image (idéalement sur fond neutre)

    Formats Instagram
    carré : 1080 X 1080 px
    portrait : 1080 X 1350 px
    paysage : 1080 X 566 px

    Encadrement offert pour les bourses CRSH et FRQSC

    La Faculté des arts offre un service d’encadrement pour vous permettre d’optimiser votre dossier pour les bourses du CRSH et du FRQSC, à la maîtrise comme au doctorat.

    Pour bénéficier de ce service, veuillez envoyer un courriel à :
    Madame Fanie Demeule : demeule.fanie@uqam.ca

    Ses heures de disponibilités : 9h à 17h, du lundi au vendredi

    Dans votre courriel, veuillez lui indiquer :

    • Votre nom complet;
    • Votre code permanent;
    • Votre programme d’étude;
    • La bourse/les bourses pour laquelle/lesquelles vous postulez;
    • Toute autre information pouvant lui être utile.

    Le travail de l’encadreuse consiste en un service :

    • De consultation individuelle autour de vos différents documents de demande(programme de recherche, bibliographie, contributions à la recherche);
    • De relecture commentée d’un seul ou de plusieurs de vos documents;
    • De réponse à vos questions ponctuelles à propos des bourses ou de la constitution de votre dossier de candidature

    Son service ne couvre pas :

    • Les sites Internet des bourses. Elle ne sera donc pas en mesure de résoudre les problèmes de mise en ligne des dossiers. Si vous avez des questions à ce propos, un contact de soutien technique est indiqué sur chacun des sites des bourses.

    Il est de la responsabilité de chaque étudiant.e de prendre connaissance des exigences particulières des bourses qui l’intéressent.

    En raison des mesures sanitaires, les échanges se déroulent exclusivement à distance : par courriel, par téléphone ou par Zoom, selon la préférence de l’étudiant.e.

    Calendrier des prochains dépôts

    BOURSES DE MAÎTRISE
    Organisme Date limite Lieu de dépôt
    CRSH-CRSNG-IRSC 1er décembre 2020 En ligne
    FRQNT 6 octobre 2020, 16h En ligne
    FRQSC 7 octobre 2020, 16h En ligne
    FRQS 15 octobre 2020, 16h30 En ligne

    BOURSES DE DOCTORAT
    Organisme Date limite Lieu de dépôt
    FRQNT 2 octobre 2020, 16h En ligne
    FRQSC 14 octobre 2020, 16h En ligne
    FRQS 15 octobre 2020, 16h30 En ligne

    Bourses UQAM

    Emmanuelle Leduc-Bouchard
    Agente de recherche et de planification
    Faculté des arts
    leduc-bouchard.emmanuelle@uqam.ca
    514 987-3000, poste 1092

    Mémoire création de Rémi Belliveau. Hier semble si loin / Chapitre 4 / Jean Dularge. Galerie UQAM.

    Vernissage : jeudi 17 septembre, 17 h 30

    18 septembre 2020 - 21 novembre 2020

    « Quoi stu parles about d'une contribution?
    Ça citte c'est ma contribution »
    – Arthur Comeau

    Le chansonnier acadien Jean Dularge n’a jamais été reconnu pour sa contribution à l’histoire du rock en Acadie. Son seul et unique 45 tours Viens voir l’Acadie / D’après une chanson de Bob Dylan a été pressé en 1967, mais celui-ci ne s’est jamais retrouvé chez le disquaire, faute d’une dispute de droits d’auteur. Pourtant, la majorité des Acadien·ne·s connaissent ses paroles : « viens voir l’Acadie / viens voir le pays », en raison d’une réécriture folk enregistrée par Donat Lacroix en 1974, par contre, peu sont celleux qui se souviennent de l’intention ironique et absurde, voire proto-psychédélique du texte original.

    En collaboration étroite avec les Disques Acadisco, l’artiste acadien RÉMI BELLIVEAU nous présente le quatrième chapitre de son œuvre historiographique Hier semble si loin, dans lequel on rencontre pour la première fois des images inédites de Jean Dularge ainsi que des membres oubliés de son entourage comme le producteur Harry Trask, l'ingénieur du son Frank LeBlanc, la bassiste Flora Bourque et le pianiste Adam Savoie.

    Les Rencontres du mercredi midi

    Les étudiant.e.s du programme de maîtrise en arts visuels et médiatiques
    (concentrations création, éducation et recherche intervention) sont chaleureusement invité.e.s aux Rencontres Zoom du mercredi midi. Ayant lieu aux deux semaines, celles-ci se veulent informelles et visent à garder le contact entre nous en ces temps de distanciation sanitaire, ainsi qu'à échanger et à répondre à vos questions. C'est aussi une façon de faire connaissance avec les visages des étudiant.e.s des diverses cohortes et de créer un esprit de communauté entre nous.

    • 9 septembre, de 10 h à 11h30*
    • 23 septembre, de 12h à 13h00
    • 7 octobre, de 12h à 13h00
    • 21 octobre, de 12h à 13h00
    • 4 novembre, de 12h à 13h00
    • 18 novembre, de 12h à 13h00
    • 2 décembre, de 12h à 13h00
    • 16 décembre, de 12h à 13h00

    Le lien de la rencontre Zoom sera envoyé par courriel.

    maitrise.arts.visuels@uqam.ca

    *Noter que seule la rencontre du 9 septembre aura lieu à 10h, les autres seront toujours de 12h à 13h.

    Lancement de la 8e édition de la Bourse d'études supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier

    Date limite pour déposer la candidature : le 20 novembre 2020.

    Détails et formulaire de candidature à cette adresse : https://philanthropie.fondationbombardier.ca/fr/soumettre-une-demande/bourse-arts-visuels-yvonnelbombardier/

    La Fondation J. Armand Bombardier et le Centre culturel Yvonne L. Bombardier sont fiers de lancer pour une 8e année la Bourse d'études supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier.

    L'équipe de la Fondation est soucieuse de s'ajuster constamment aux réalités changeantes. Cette année, elle invite les participants à soumettre leur formulaire de candidature dans un premier temps. Sur la réception du formulaire complété, la FJAB fera suivre un lien personnalisé à chaque candidat qui sera alors en mesure de déposer la documentation requise pour l'étude de son dossier.

    Pour toute question, nous vous invitons à communiquer avec Martine Richard au (514) 876-4555, poste #60 ou m.richard@fjab.qc.ca

    Charges de cours annuelles offertes aux étudiant.e.s du programme - trimestre hiver 2021

    CHARGES DE COURS ANNUELLES OFFERTES AUX ÉTUDIANTS-ES DE 2E ANNÉE DU PROGRAMME DE MAÎTRISE EN ARTS VISUELS ET MÉDIATIQUES, EAVM-UQAM - TRIMESTRE DE L’HIVER 2021

    ACHEMINER VOTRE DOSSIER À maitrise.arts.visuels@uqam.ca (AINSI QU’À VOTRE DIRECTION DE RECHERCHE) AU PLUS TARD LE 9 SEPTEMBRE 2019 À 16H00

    Dans le but de fournir à la fois une aide financière et une expertise à nos étudiants-es, l’Assemblée des professeurs de l'École des arts visuels et médiatiques, au trimestre de l’automne et de l’hiver, utilise la clause 10.02 de la convention collective des chargés-es de cours de l’UQÀM (clause réserve) afin d’offrir aux étudiants-es du programme quelques charges de cours annuellement au niveau du programme de Certificat en arts visuels de l’ÉAVM (1er cycle).


    Les candidat-e(s) devront :

    • avoir complété avec succès 4 trimestres de notre programme à la fin du trimestre d’automne;
    • consulter leur direction de recherche;
    • consulter le plan de cours type disponible à l’École des arts visuels et médiatiques


    Nous demandons aux intéressés-es de transmettre par courriel à maitrise.arts.visuels@uqam.ca :

    • un curriculum vitae à jour,
    • un texte précisant vos champs de compétence par rapport aux cours offerts (voir annexe),
    • un dossier visuel faisant état de vos compétences en regard de chacun des cours choisis,
    • un court texte faisant état de votre approche pédagogique pour chacun des cours choisis,
    • une ébauche de plan de cours pour chacun des cours choisis,
    • ainsi que votre implication dans les diverses activités de la maîtrise que le comité de sélection prendra également en considération.


    ADDENDA : en retenant, par exemple, tous les cours autorisés et pouvant être dispensés au programme de Certificat, votre dossier visuel doit démontrer clairement une expertise dans tous les domaines visés.
    Tous les cours mentionnés ci-après ne sont pas nécessairement disponibles chaque trimestre.


    ACHEMINER VOTRE DOSSIER À maitrise.arts.visuels@uqam.ca (AINSI QU’À VOTRE DIRECTION DE RECHERCHE) AU PLUS TARD LE 9 SEPTEMBRE 2019 À 16H00


    Recommandations et exigences : voir document


    Appel à communications. Devenir l'oeuvre - Pratiques de chosification des corps dans les expositions et les musées

    Appel à communications pour le colloque.

    DEVENIR L’OEUVRE PRATIQUES DE CHOSIFICATION DES CORPS DANS LES EXPOSITIONS ET LES MUSÉES

    Dans le cadre des activités du groupe de recherche Origine et actualité du devenir objet du sujet : se recréer au musée, dans les expositions Chercheure principale : Mélanie Boucher (UQO) ; Cochercheur.e.s : Anne Bénichou (UQAM) et Éric Langlois (UQO)

    Université du Québec en Outaouais (UQO), Gatineau Vendredi 21 et samedi 22 mai 2021

    En cette période pandémique de notre histoire, qui lie à des restrictions physiques sans précédent un accès illimité de l’Internet, la population semble entretenir un intérêt singulier à personnifier les canons de l’histoire de l’art et à publier les résultats de leurs expérimentations sur les réseaux sociaux (GUNTHERT 2015, LANGLOIS 2015). Les musées, qui ont dû fermer leurs portes, entretiennent également sur ces réseaux ces modalités d’appropriation des oeuvres qui opèrent par la reconnaissance de soi dans une production du passé. Mais avant cette période qu’il faut espérer brève de pandémie, les musées alimentaient déjà depuis peu la fascination populaire à s’imaginer en tant qu’oeuvre, comme en témoigne leur plus grande ouverture envers la prise de photographies en salles par les visiteurs (CHAUMIER, KREBS & ROUSTAN 2013) et les activités de médiation et de marketing qui les invitent surtout à s’approprier les collections (CIÉCO). À cet intérêt présentiste (HARTOG 2003) dont témoignent les musées et les publics pour l’oeuvre d’art et plus globalement pour le patrimoine matériel, s’ajoute celui de l’artiste qui depuis le nouveau millénaire initie avec plus d’insistance des performances dans les musées ou en les prenant pour sujet, en revisitant bien souvent des oeuvres d’art ancien (BÉNICHOU 2015, BISHOP 2012, BOUCHER 2017). Si depuis cinq ou dix ans ces pratiques populaires et artistiques d’identification et de reprise semblent s’être amplifiées, la visibilité publique dont elles jouissent y joue un rôle (HEINICH 2012). La reconnaissance de la diversité culturelle et de genre a aussi un impact sur les usages rattachés aux oeuvres du passé, une reconnaissance qui contribue en outre à poser des regards critiques sur l’exclusion. Ces usages peuvent aider à révéler les spécificités ainsi que les différences qui marquent les groupes et les individus. La plus grande inclusivité à laquelle les musées sensibles aux revendications sociales veulent parvenir (BARRÈRE & MAIRESSE 2015) se manifeste ainsi aussi à leur façon d’inviter les publics et les artistes à « prendre possession » de leurs oeuvres pour les faire leurs.

    Ces initiatives ne sont toutefois pas le seul produit de notre époque et les techniques du corps qu’elles requièrent se sont expérimentées au-dehors de la technologie, dans des contextes et des périodes parfois très éloignés des nôtres (BOUCHER 2017, BOUCHER & CONTOGOURIS 2019, BREDEKAMP 2010, RAMOS 2014, VOUILLOUX 2002). L’être humain se reconnait depuis un passé lointain dans l’oeuvre d’art et les exemples d’identification à l’objet matériel ont été formulés depuis longtemps, au moins depuis les récits mythologiques antiques. En outre, de premières démonstrations muséales du genre peuvent être retracées dans le contexte révolutionnaire de l’ouverture aux publics (BENNET 1995) par le Musée du Louvre et les événements qui se déployaient dans son enceinte. L’exposition coloniale popularisée dans les expositions universelles ainsi que les présentoirs issus des divertissements populaires et développés avec ces premières planétaires (BOUCHER & PARÉ 2015, MONTPETIT 1996), ont également contribué à l’intervertissement du vivant et de l’inanimé, qui mène à se chosifier ainsi qu’à chosifier autrui. S’ils s’observent jusqu’à nos jours, tout particulièrement dans les manifestations artistiques, culturelles et sociales, les développements technologiques qui les facilitent sont ainsi venus multiplier les possibilités d’exercices et de résultats en plus d’accroitre le coefficient de visibilité. Mises en scènes qui sont numériquement capturées et partagées relancent conséquemment les pratiques historiques, qui en retour aident à prendre un certain recul sur l’actualité.

    Que comprendre donc de tous ces corps d’hier et d’aujourd’hui qui s’exposent dans, avec ou à la place des oeuvres ? Et des images, et des récits qui en témoignent ? Leurs postures relèvent-elles d’un désir d’identification et d’appropriation, de préservation ou au contraire de vivification et de critique, ou de simple ludisme ? En quoi nous obligent-elles à revoir la dialectique qui unit le sujet à l’objet et qui unit entre eux les groupes sociaux ainsi que les singularités ? Ce colloque ambitionne d’apporter des réponses à ces questions en s’attardant aux dispositifs expographiques élaborés par les artistes et les musées ainsi qu’appropriés par les publics à travers les époques. À partir de cas d’espèces et exemplaires, il s’agira, par exemple, d’envisager l’apport du tableau vivant, du miroir, du diorama et du zoo, de la reconstitution, du reenactment, de la performance et de la chorégraphie, de la captation analogique et numérique, de l’égoportrait, des applications mobiles ou des plates-formes de diffusion sur les pratiques, leur évolution et leur agentivité. En somme, ce colloque envisage de revoir certains fondements du musée et de la pratique expographique afin d’y inclure une réflexion ontologique sur la préservation et la représentation de la personne.

    Nous invitons les chercheur.e.s, les professionnel.le.s de musées et les artistes à soumettre une proposition de communication, de conférence-performance ou de performance qui pourra être présentée en direct ou en différé, dans le cadre d’un colloque conçu pour être diffusé en ligne.

    Les propositions devront inclure :

    • Un titre (de 150 caractères maximum, espaces comprises);
    • Un résumé (de 100 à 150 mots maximum);
    • Une notice biographique (de 100 à 150 mots maximum).

    Les propositions sont à transmettre à Jessica Minier < minj11@uqo.ca > avant le 25 septembre 2020.

    La contribution en personne des participant.e.s et l’accueil en salle d’un auditoire seront déterminés à l’automne-hiver 2020-2021, dans le respect des mesures de distanciation sociale.

    RÉFÉRENCES

    • BARRÈRE & MAIRESSE 2015 –BARRÈRE, Anne, François Mairesse Dir., L'inclusion sociale : les enjeux de la culture et de l'éducation, Paris, L'Harmattan, coll. « Les cahiers de la médiation culturelle », 2015, 164 p.
    • BÉNICHOU 2015 – BÉNICHOU, Anne Dir., Recréer/scripter : mémoires et transmissions des oeuvres performatives et chorégraphiques contemporaines, Dijon, Les Presses du Réel, coll. : « Nouvelles scènes », 2015, 525 p.
    • BENNETT 1995 – BENNETT, Tony, The Birth of the Museum: History, Theory, Politics, Londres et New York, Routledge, 1995, 278 p.
    • BISHOP 2012 – BISHOP, Claire, Artificial Hells: Participatory Art and the Politics of Spectatorship, London et New York, Verso, 2012, 382 p. BOUCHER & PARÉ 2015 –
    • BOUCHER, Mélanie, André-Louis Paré Dir., dossier « Diorama », Espace art actuel : Pratiques et perspectives, hiver 2015, 128 p. BOUCHER 2017 – BOUCHER, Mélanie, « Pour une histoire du corps muséifié », Cultures et musées, dossier « Conserver et transmettre la performance artistique » (sous la direction de Jean-Marc Leveratto), no 29, 2007, p. 81-96.
    • BOUCHER & CONTOGOURIS 2019 – BOUCHER, Mélanie, Ersy Contogouris Dir., dossier « Stay Still : histoire, actualité et pratique du tableau vivant », La revue de l’Association d’art des universités du Canada (RACAR), vol. 44, no 2, 2019, 214 p.
    • BREDEKAMP 2010 – BREDEKAMP, Horst, Théorie de l’acte d’image, Paris, Éditions de la découverte, coll. : « Politique et société », 2010 (2015), 376 p.
    • CHAUMIER, KREBS & ROUSTAN 2013 – CHAUMIER, Serge, Anne Krebs, Mélanie Roustan Dir., Visiteurs photographes au musée, Paris, La Documentation française, coll. : « Musées-Mondes », 2013, 317 p. CIÉCO – Groupe de recherche et réflexion
    • CIÉCO : Collections et impératif évènementiel/The Convulsive Collections, Les collections muséales face à l’impératif évènementiel, consulté le 15 juin 2020, repéré à http://cieco.umontreal.ca/
    • GUNTHERT 2015 – GUNTHERT, André, « La consécration du selfie », Études photographiques, dossier « Interroger le genre / Retour sur l’amateur / Personnage de l’histoire », no 32, 2015, repéré à https://journals.openedition.org/etudesphotographiques/3529?lang=en
    • HARTOG 2003 –HARTOG, François, Régimes d'historicité : Présentisme et expériences du temps, Paris, Seuil, coll. « La Librairie du XXIe siècle », 2003, 262 p.
    • HEINICH 2012 – HEINICH, Nathalie, De la visibilité : Excellence et singularité en régime médiatique, Paris, Gallimard, 2012, 593 p. LANGLOIS 2015 –
    • LANGLOIS, Éric, « La cybermuséologie et ses nouveaux objets culturels : mise en contexte et études de cas », Muséologies, Les cahiers d’études supérieures, vol. 7, no 2, 2015, p. 73-93.
    • MONTPETIT 1996 – MONTPETIT, Raymond, « Une logique d’exposition populaire : les images de la muséographie analogique », Publics et Musées, no 9, 1996, p. 63-82.
    • RAMOS 2014 – RAMOS, Julie, avec la collaboration de Léonard Pouy Dir., Le tableau vivant ou l’image performée, Paris, Institut national d’histoire de l’art et Mare & Marin, 2014, 366 p.
    • VOUILLOUX 2002 – VOUILLOUX, Bernard, Le tableau vivant. Phryné, l’orateur et le peintre, Paris, Flammarion, coll. : « idées et recherches », 2002, 477 p.

    Nouvelle bande dessinée d'Audrey Beaulé : La Vingt.

    Audrey Beaulé présente sa toute nouvelle bande dessinée LA VINGT, (Mécanique générale - éditions) en librairie le 11 août 2020. Cette sortie arrive juste à temps pour la journée «J'achète un livre québécois»! 

    *** La Vingt est la traversée intérieure d'une jeune femme dans la vingtaine qui se fait avaler par ses horizons, par les choix possibles, alors que tout lui échappe. En se laissant porter par ses habitudes de covoiturage sur la Transcanadienne, un songe sur le début de sa vie d'adulte s'initie. Ce récit d'apprentissage propose une réflexion sur la famille, l'amitié, l'orientation sexuelle, l'exode vers les grandes villes, la notion de réussite et la santé mentale à l'université. La bande dessinée d'Audrey Beaulé est un hymne à vivre de la manière dont on l'entend, en acceptant sa propre géographie et ses incertitudes. 

    ***  Audrey Beaulé vit à Montréal. Son travail artistique oscille entre le design graphique, les arts visuels, l'écriture, les collaborations et maintenant la bande dessinée. Il est guidé par les questions de l'agentivité, de l'émancipation et de ce qui mérite d'être dit, qui l'intéressent dans ses recherches comme dans sa vie. Elle croit en l'interdisciplinarité et affectionne particulièrement l'amitié, le partage de repas, faire de la route, les théories féministes et queer, les livres et le karaoké.

    Heidi Barkun, lauréate 2020 de la Bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain

    « C'est un immense honneur de me retrouver parmi tous les artistes québécois qui ont été soutenus par la Bourse Claudine et Stephen Bronfman en art contemporain au cours de la dernière décennie. Dans ce moment de grande incertitude mondiale, j’aimerais exprimer ma gratitude pour la reconnaissance artistique ainsi que la stabilité financière offerte par cette bourse », affirme la lauréate Heidi Barkun.

    « Je remercie mon directeur de recherche, Michael Blum, qui m’a aidé à m'épanouir pendant ma maîtrise à l'UQAM ; l'Institut des recherches et d'études féministes pour m’avoir ouvert les horizons théoriques ; tous les professeures, les professeurs, les techniciennes et les techniciens qui m’ont guidé en cours de route ; et les 27 participantes de l’œuvre LET’S GET YOU PREGNANT! pour leur courage et leur partage. Ma recherche de maîtrise explore l’expérience de l’échec de la fécondation in vitro dans une société pronataliste. Avec l’appui de la Bourse Bronfman, je pourrai poursuivre ma démarche d’art engagé qui valorise d’autres vécus dont on entend peu parler », précise Heidi Barkun.

    Vue partielle d’exposition, LET’S GET YOU PREGNANT! par Heidi Barkun, 2020.

    Lauréats antérieurs

    À ce jour, 22 artistes d’exception se sont vu remettre la Bourse. Les lauréats antérieurs sont :

    2019: Céline Huyguebaert (UQAM) and Madeleine Mayo (Concordia)
    2018: Frédérique Laliberté (Concordia) and Émilie Serri (UQAM)
    2017: Andréanne Abbondanza (Concordia) and Martin Leduc (UQAM)
    2016: Yannick Desranleau (Concordia) and Guillaume Adjutor Provost (UQAM)
    2015: Velibor Božović (Concordia) and Myriam Jacob-Allard (UQAM)
    2014: Marie Dauverné (UQAM) and Brendan Flanagan (Concordia)
    2013: Nadia Seboussi (UQAM) and Kim Waldron (Concordia)
    2012: Sébastien Cliche (UQAM) and Julie Favreau (Concordia)
    2011: Aude Moreau (UQAM) and Pavitra Wickramasinghe (Concordia)
    2010: Steven Bates (Concordia) and Véronique Savard (UQAM)


    À propos de la Fondation de la famille Claudine et Stephen Bronfman

    La Fondation de la famille Claudine et Stephen Bronfman est un organisme de bienfaisance qui aspire à créer et à innover à l'échelle locale, nationale et internationale en mettant l'accent sur Montréal.

    Appel à projets d'exposition pour 2021-2022 - Galerie de l'UQAM, date limite 16 août


    À l’intention des finissant·e·s de la maitrise en arts visuels et médiatiques, UQAM
    Saison 2021-2022
    Date limite : 16 aout 2020, 23 h 59



    DOCUMENTS À FOURNIR


    Formulaire SOUMISSION DE PROJET

    • Dûment rempli
    • Signé par la direction de recherche
    • En format .pdf nommé ainsi : NomDeFamille_Formulaire.pdf
    • lien pour le formulaire


    Description du projet d’exposition (voir détails plus loin)

    • 500 mots maximum pour le développement du projet
    • Joindre une liste descriptive du matériel visuel(numéro, Titre, année, dimensions / durée, médium / technique)
    • En format .pdf nommé ainsi : NomDeFamille_Projet.pdf

    Matériel visuel

    • 10 à 15 images, format .jpg, maximum 5 Mo chacune
    • 1 à 3 extraits vidéo, format .mov ou .mp4, totalisant 10 min maximum
    • Si vous souhaitez réaliser une maquette, vous pouvez la déposeraux bureaux de la Galerie de l’UQAM, local J-R205 (lundi - vendredi,9 h - 17 h). Vous pourrez la récupérer suite à l’évaluation desdemandes.


    Matériel d’appui

    • Joindre en un .pdf nommé ainsi : NomDeFamille_Appui.pdf
    • CV d’artiste (3 pages maximum)
    • Dossier de presse (facultatif, 15 pages maximum)

    Catalogue(s) (facultatif)

    • Version .pdf : joindre au document Matériel d’appui
    • Version papier : déposer aux bureaux de la Galerie de l’UQAM, local J-R205 (lundi - vendredi, 9 h - 17 h). Vous pourrez les récupérer suite à l’évaluation des demandes.

    DÉPÔT

    Faire parvenir les documents listés ci-dessus par WeTransfer, en un seul envoi
    Anne Philippon, conservatrice adjointe à la Galerie de l’UQAM
    philippon.anne@uqam.ca
    Date limite : 16 aout 2020, 23 h 59


    SOUMETTRE UN PROJET D’EXPOSITION À LA GALERIE DE L’UQAM

    La Galerie de l’UQAM reçoit exclusivement les dossiers d’exposition
    des étudiant·e·s inscrit·e·s à la maitrise en arts visuels et médiatiques
    de l’UQAM. Pour avoir la possibilité d’appliquer à nouveau à l’appel de
    dossiers de la Galerie, les étudiant·e·s ayant déjà présenté un projet ne
    doivent pas avoir essuyé plus d’un refus.


    La programmation est établie au moins 12 mois à l’avance et deux à
    quatre plages horaires sont réservées annuellement pour les
    expositions de fin de maitrise. Tous les projets déposés sont soumis
    au comité de sélection des expositions de la Galerie de l’UQAM,
    composé de professeur·e·s de l’UQAM et de professionnel·le·s du
    milieu de l’art. Le comité se réunit de deux à trois fois l’an et se
    prononce sur les projets soumis.


    NOTE IMPORTANTE

    Lorsque la Galerie de l’UQAM prête son espace à l’École des arts
    visuels et médiatiques pour la présentation des expositions des
    étudiant·e·s de la maitrise, elle ne dispose d’aucun budget pour ce
    faire. Les expositions régulières de la Galerie de l’UQAM sont financées
    grâce à des subventions du Conseil des arts du Canada et du Conseil
    des arts et des lettres du Québec. Ces organismes n’offrent pas de
    subventions pour les expositions étudiantes, ce qui explique pourquoi
    la Galerie ne peut offrir de cachet d’exposition, spécialement dans le
    contexte où les étudiant·e·s reçoivent des crédits pour leurs travaux de
    maitrise. Les étudiant·e·s doivent s’adresser à l’École des arts visuels
    et médiatiques à ce propos.


    La Galerie défraie malgré tout, à même son modeste budget d’opération, plusieurs coûts :

    • logistique et technique (mise en état de la salle, aide à l’installationet à l’éclairage, lettrage, etc.) ;
    • promotion (révision et mise en forme des textes et communiquésde presse, constitution des dossiers de presse, relations de presse, invitation électronique et infolettres, promotion via les réseaux sociaux, intégration aux publicités de la Galerie, tournage d’un parcours vidéo et d’une bande annonce, etc.) ;
    • médiation (organisation de la présentation d’artiste, visites de groupes scolaires et communautaires, etc.).

    MODALITÉS DANS LE CAS D’UNE PROPOSITION RETENUE

    Lorsqu’une décision du comité de sélection est favorable, les dates disponibles au calendrier d’exposition de la Galerie de l’UQAM sont proposées à l’étudiant·e retenu·e. L’étudiant.e dont le projet est retenu est producteur·trice de sa propre exposition, conjointement avec l’École des arts visuels et médiatiques. Par ailleurs, la directrice ou le directeur de recherche est appelé·e à jouer un important rôle d’encadrement auprès de l’étudiant·e. Dans le cadre de l’exposition, la Galerie organise une présentation publique d’artiste au cours de laquelle l’étudiant·e fait état de sa démarche et de ses recherches à la maitrise.

    ÉLÉMENTS PRIS EN CHARGE PAR L’ÉTUDIANT·E

    • Rédaction de différents textes descriptifs de l’exposition :
      • 150 mots pour l’annonce de la programmation annuelle •
      • 250 mots pour le texte au mur
    • Rédaction du communiqué de presse et de la notice biographique
    • Traduction professionnelle du communiqué de presse vers l’anglais (si désiré)
    • Sélection d’images pour la promotion de l’exposition
    • Équipement technique
    • Montage et démontage
    • Transport des oeuvres

    ÉLÉMENTS PRIS EN CHARGE PAR LA GALERIE DE L’UQAM

    • Révision des textes et communiqués
    • Relations de presse et promotion de l’exposition
    • Conseils techniques
    • Assistance technique lors du montage, notamment pour l’éclairage
    • Identification de l’exposition et des oeuvres présentées (lettrage, cartels, etc.)
    • Prêt d’équipement muséal lorsque disponible (socles, cimaises, etc.)
    • Documentation photo et vidéo de l’exposition

    DÉTAILS SUR LA DESCRIPTION DE PROJET

    La description du projet est la partie la plus importante du dépôt. C’est grâce à elle que le comité de sélection pourra juger de la pertinence et de la qualité artistique de votre projet d’exposition.

    • Explicitez le thème de votre travail et le cadre de votre recherche ;
    • Précisez vos objectifs ;
    • Replacez ce projet dans le contexte général de votre pratique ;
    • Décrivez brièvement l’oeuvre ou les oeuvres à exposer.

    CONSEILS POUR LA RÉDACTION

    Le comité de sélection s’intéresse aux aspects de la recherche, de l’innovation et de l’ouverture de nouvelles questions au coeur de votre pratique. Pensez à mettre ces éléments à l’avant-plan lors de la rédaction.

    • Établir et définir avec précision la problématique de la recherche-création ;
    • Exprimer en quoi la recherche-création proposée amène le travail ailleurs que dans votre pratique régulière. Ce point est encore plus crucial pour les artistes ayant réalisé plusieurs expositions par le passé ;
    • Souligner la part de risque et d’expérimentation dans le projet ;
    • Démontrer l’adéquation entre la recherche, les éléments produits et la forme privilégiée pour leur exposition ;
    • S’assurer que le travail n’a pas été ou ne sera pas présenté ailleurs, car l’exposition de maitrise doit impliquer une piste d’expérimentation nouvelle et comporter du travail inédit.

    Pour toutes questions, veuillez contacter : Anne Philippon, Conservatrice adjointe, Galerie de l’UQAM philippon.anne@uqam.ca (514) 987-3000 p. 1424

    
    
    
    
    

    Soutien aux étudiant-es en art des cycles supérieurs : Offre de service des Bibliothèques - Été 20

    Adèle Flannery, bibliothécaire attitrée aux Arts visuels et médiatiques du Service des bibliothèques, transmet ce message aux étudiants à la maîtrise en arts visuels et médiatiques :

    L'offre de service à distance du Service des bibliothèques pour l'été 2020

    Les choses évoluent chaque semaine, il est donc recommandé de vérifier votre courriel ou le site des bibliothèques régulièrement.

    Aide à l’usager


    Le service de clavardage offre la possibilité d'avoir une réponse immédiate à une question simple. Présentement offert du lundi au vendredi (10h-18h), l'horaire sera réduit après le 24 juin (lundi-jeudi 12-17h). Le service est disponible depuis le site des bibliothèques (l'onglet bleu à droite sur l'écran).

    Référence avancée


    Je peux vous accompagner dans la révision de vos stratégies de recherche et les adapter pour la recherche de livres ou périodiques électroniques. Plusieurs ressources sont déjà regroupées dans le Guide par sujet : Arts visuels et médiatiques.

    Monitorat aux cycles supérieurs


    Je suis disponible pour vous accompagner dans votre processus de recherche et d’exploitation de la documentation, à l’utilisation du Guide de présentation des mémoires et des thèses ou à l’utilisation d’un logiciel de gestion bibliographique, par courriel, Teams ou Zoom. En complément, plusieurs contenus (PDFs) de formations normalement données en bibliothèques sont maintenant en ligne et d'autres seront données au cours de l'été en format webinaire (notamment une formation Zotero sera offerte le 16 juin).

    Suggestion d'achat


    Les étudiant-es des cycles supérieurs sont invité-es à suggérer l'achat de documents papier ou électronique en tout temps, soit par le formulaire en ligne ou en m'envoyant un courriel directement.

    Afin de rendre le processus d'acquisition des livres électroniques plus simple, voici quelques informations qui peuvent vous aider à déterminer si un livre électronique peut être acheté par les Bibliothèques, ou non. À présent, ce ne sont pas toutes les maisons d'édition qui rendent possible l'achat de leur catalogue en format électronique par les bibliothèques universitaires. Voici une brève liste qui illustre le phénomène :

    Maisons d’édition possibles à acheter en format électronique (parmi celles-ci, de la documentation intéressante existe en art) :
    Bloomsbury
    Oxford
    Springer
    Sage
    Intellect
    Brill
    Wiley
    Routledge
    Presses universitaires anglophones (par exemple, MIT, Cambridge, Univ of Chicago, Univ of Minnesota, Univ of Texas, etc.)
    Etc.

    Documents électroniques difficiles à acheter (ou impossible) pour une bibliothèque universitaire :
    Maisons d’éditions qui publient en français (Québec, France, etc.), car ils ont peu de livres électroniques
    Epub
    PDF (dépend de la licence offerte)
    Kindle
    Etc.

    Demande de Prêt-entre-bibliothèque


    Les demandes de PEB pour des articles de revues ou chapitre de livres sont toujours acceptées, sauf qu'on doit s'attendre à des délais imprévisibles puisque les équipes de toutes les bibliothèques en Amérique du Nord sont encore en confinement, ou en ouverture graduelle.

    Frais de retard + retour de documents


    Aucuns frais de retard ne seront portés à votre dossier à partir du 14 mars 2020, et ce jusqu’au 30 septembre. Ignorez tous messages automatiques que vous recevez pendant cette période. Vous pouvez rapporter des documents empruntés aux bibliothèques. Deux chutes mobiles sont installées au pavillon des Sciences de la gestion (R) situé au 315, rue Sainte-Catherine Est. Les chutes sont ouvertes uniquement du lundi au jeudi, entre 10 h et 16 h.

    En cas de doute, n'hésitez pas à me contacter pour toutes questions.

    Un message similaire sera envoyé pour l'automne 2020 plus tard cet été.

    Bonne journée!

    Adèle
    flannery.adele@uqam.ca

    Adèle Flannery
    Bibliothécaire Design | Arts visuels et médiatiques
    Service des bibliothèques

    Mentorat en ligne pour les étudiant.e.s en arts visuels et médiatiques

    La Faculté des arts s'associe à la Fondation de la famille Claudine et Stephen Bronfman ainsi qu'à la Faculté des beaux-arts de Concordia pour lancer un projet pilote de mentorat en ligne. Cette nouvelle plateforme a pour but de permettre l'accompagnement des étudiant.e.s artistes dans le lancement de leur carrière ou dans la consolidation de leur pratique.

    À propos du projet :

    • Sessions de 30 min ou 1h
    • Les rencontres se font de manière virtuelle par le biais de notre plateforme en ligne.
    • Les rencontres sont gratuites pour les étudiant.e.s en arts visuels et médiatiques de l'UQAM ( baccalauréat, maîtrise et doctorat en études et pratiques des arts)
    • Les places sont limitées et dépendent des disponibilités des mentors
    • Projet pilote de juin à octobre 2020.

    CRÉEZ VOTRE PROFIL ET ÉCHANGEZ AVEC VOTRE MENTOR

    Pour pouvoir participer à ce projet, vous devez créer votre profil sur la plateforme de mentorat et indiquer le ou les domaines sur lesquels vous souhaitez être conseillé.e. Des mentors vous seront alors automatiquement proposés.

    Découvrir les mentors

    COVID-19 : informations pour nos étudiant.e.s (mise à jour du 15 mai)

    Pour les étudiant.e.s de la Maîtrise en arts visuels et médiatiques - Concentrations création et éducation

    Continuons à joindre nos efforts pour lutter contre la pandémie!

    Dernière mise à jour : 15 mai. Les contenus de cette page sont colligés expressément pour vous et sont bonifiés au fur et à mesure des informations reçues de la Direction de l'UQAM. Celles-ci se veulent en conformité avec les consignes gouvernementales qui limitent les sorties extérieures à l’essentiel et favorisent le confinement intérieur afin de prévenir la propagation du virus.

    Pour tous commentaires ou questions spécifiques à notre programme, n’hésitez pas à nous écrire à maitrise.arts.visuels@uqam.ca

    Information du 15 mai

    UN TRIMESTRE D’AUTOMNE MAJORITAIREMENT EN LIGNE ET À DISTANCE

    Certaines activités de formation pourront se dérouler en présentiel si elles ne peuvent être offertes autrement.

    • Tous les séminaires théoriques de la maîtrise se donneront à distance
    • Cours Atelier de création I : des réponses sont attendues quant à la possibilité que le cours puisse se donner en mode hybride (présentiel et à distance)
    • Des réponses sont aussi attendues quant à l'accès aux ateliers individuels des étudiant.e.s.
    • Des équipes de travail sont en train d'évaluer la possibilité d'ouvrir certains ateliers techniques spécialisés. Des informations suivront.

    Pour plus d'informations, voir le bulletin de l'UQAM

    Ou consulter cette section pour répondre à vos questions.

    COVID-19 –Information et consignes

    Un sondage auprès des étudiants

    En vue de mieux préparer la rentrée, l’Université souhaite connaître les préoccupations des étudiants face au trimestre d’automne. Les étudiantes et les étudiants sont invités à répondre à un sondage éclair d’ici le 22 mai prochain. Leurs points de vue serviront à alimenter la réflexion de la Direction au fil des prochaines semaines.

    Pour plus d'informations à propos du trimestre d'automne : https://www.actualites.uqam.ca/2020/trimestre-automne-majoritairement-en-ligne-et-distance?utm_campaign=UQAMHEBDO&utm_medium=email&utm_source=20mai2020

    _________________

    Information du 7 mai

    Courriels des techniciens - support pour vos travaux théoriques et pratiques

    Bibliothécaire : Adèle Flannery : flannery.adele@uqam.ca

    Techniciens - travaux pratiques pour le trimestre d'été

    ____________________________________________________

    Information du 14 avril

    Poursuite du trimestre d'hiver - un outil pour vous aider à décider

    Voici un arbre décisionnel des cheminements possibles pour le trimestre d'hiver 2020 pour vous aider à prendre des décisions éclairées quant à la poursuite du trimestre (aussi mis en ligne sur la FAQ du site Info coronavirus)

    ________________________________________________________

    Information du 8 avril

    Trimestre d’été reporté au 4 mai 2020 (mise à jour du 7 avril)

    Les cours du trimestre d’été, offerts exclusivement en ligne, débuteront le 4 mai. Ils se termineront le 23 juin (période intensive) ou le 14 août (période régulière). La date du début des inscriptions vous sera communiquée sous peu. Ce sera possible de vous inscrire jusqu’au 8 mai, date limite pour modifier ou annuler un cours sans facturation.

    Le calendrier universitaire 2020-2021 modifié est disponible sur le site du Registrariat.

    ___________________________________________________________________

    AUTRES INFORMATIONS UTILES

    Questions d'ordre administratif

    Pour ce qui est relatif au traitement par le Registrariat (cas hors échéance, changement de régime d’études, etc.) : en ce moment, elles prendront plus de temps à être traitées, le personnel n'étant pas sur place pour lire ou remplir des formulaires papier, par exemple. Sachez que vos demandes sont toutefois archivées, nous y reviendrons au besoin.

    Traitement de vos demandes au SCAE (mise à jour du 6 avril)

    Dépôt de sujet de recherche, dépôt de mémoire, demandes de prolongation ou d’absence, etc. Il est prévu que l’université mette en place les moyens nécessaires pour faire le dépôt électronique des mémoires. La date limite pour le dépôt est maintenant le 15 juin. Les autres types de demande pourront être acheminés à : maitrise.arts.visuels@uqam.ca. Vous trouverez les documents requis sur le site de la maitrise à https://eavm-m.uqam.ca/etudiants/formulaires/

    ________________________________________________________________________

    Modalités de poursuite de la présente session

    Soutien technique pour vos travaux

    Les technicien.ne.s pourront donner du support en mode télétravail ou par courriel, dans le cadre du cours Atelier de création II ou de vos pratiques artistiques respectives. Vous pourrez les contacter selon vos besoins. Veuillez prendre en considération que certain.e.s ont des enfants ou d’autres conditions qui limitent leur temps d’intervention. Merci d’être indulgent.e.s et patient.e.s!

    Suite Adobe

    Pour aider les étudiants en ce temps de crise, Adobe a permis le téléchargement des logiciels aux étudiants et enseignants des cours qui utilisent la suite Adobe CC dans nos laboratoires informatiques. Pour ce faire : Voir pdf

    Si vous n'avez pas d'ordinateur, ou si votre ordi n’est pas adéquat, ou si vous n'avez pas d'accès au web

    N'hésitez pas à contacter vos enseignant.e.s pour les en informer en vue d’une solution acceptable, dans la mesure du possible.

    Rappel  : personne n'est autorisé à entrer sur les lieux de l'université depuis la fermeture sans une permission spéciale venant des instances administratives. L’accès aux ateliers de la maitrise n’est donc pas autorisé.

    Cases/vestiaires et récupération des effets personnels

    Pour les casiers et vestiaires, merci de vous adresser au service de sécurité ou/et au service à la vie étudiante si ce sont les casiers loués avec eux. Ils pourront mieux vous répondre. De notre côté, nous savons que personne n'est autorisé à entrer sur les lieux de l'université depuis la fermeture sans permission spéciale venant de ces instances.

    Projets/œuvres dans les locaux et ateliers (du 5e au 7e étage) : En ce qui a trait à vos travaux, ils sont en sécurité dans les locaux. Nous vous ferons part des directives une fois statuées.

    ________________________________________________________________________

    AUTRES INFORMATIONS

    Selon vos besoins (cours en ligne, mention «Incomplet» OU abandon)

    Pour terminer le trimestre, les cours se feront en ligne, ou selon des modes d’apprentissage alternatifs. Vous pourrez, si vous le pouvez, terminer dans les temps. Si vous souhaitez bénéficier d'un délai pour la remise de vos travaux, vous pourrez vous prévaloir de la mention « incomplet » pouvant aller jusqu’au début septembre. Si vous préférez abandonner un ou des cours – et ce sans mention d’échec – pour mieux revenir à l’automne, vous pourrez en faire la demande l’abandon, en écrivant à maitrise.arts.visuels@uqam.ca. L’ensemble de ces dispositions se trouve sur le site Web suivant :https://covid19.uqam.ca/faq/

    Notation littérale ou mention Succès/Échec

    L’université offre également la possibilité de choisir, sur une base individuelle, entre la notation littérale ou la mention Succès/Échec. Il faut savoir que de nombreux étudiants préfèrent la notation littérale, qui leur est nécessaire pour des demandes de bourses ou pour l’admission à un programme de cycles supérieurs.  Note : la mention Succès/Échec n’a pas d’effet sur la moyenne cumulative.

    Prolongation de l'échéance pour la notation Succès/Échec (mise à jour du 6 avril)

    La nouvelle échéance pour le choix de la notation Succès/Échec est jusqu'au 15 septembre 2020 inclusivement. Les étudiantes et les étudiants qui souhaitent se prévaloir de cette mesure dans un ou plusieurs de leurs cours devront transmettre leur demande par courriel à leur département, qui en informera le Registrariat.

    "Vivre son nouveau quotidien en contexte de pandémie"

    Le Service à la vie étudiante a mis en ligne cette page  https://vie-etudiante.uqam.ca/conseils-soutien/nouvelles-ressources/33-conseils-et-soutien/nouvelles/870-pandemie.html.   La page contient des informations sanitaires, financières, sur la validation de la session et autres. Au bas, il y a également un formulaire pour les étudiant.e.s qui auraient besoin de soutien psychologique à distance.

    ________________________________________________________________________

    AIDE DU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL AUX ÉTUDIANT.E.S - Prestation canadienne d’urgence – COVID-19

    • Aide de 2 000 $ par mois, portail accessible dès le début d’avril
    • Les étudiant.e.s peuvent en bénéficier s’ils.elles sont âgé.e.s de 15 ans et plus et qu’ils.elles ont gagné au moins 5000 $ l’année précédente.
    • Pour les jeunes qui ont gagné plus de 5000 $ au cours de l’année précédente, mais qui vivent chez leurs parents : Ils.elles sont également admissibles à recevoir les 2000 $ par mois.

    Références - liens pour ce programme

    APPEL À COMMUNICATIONS HYPOTHÈSES — SAISON 2020-2021

    APPEL À COMMUNICATIONS

    HYPOTHÈSES — SAISON 2020-2021

    Sollicitation pour la participation des étudiant.e.s à la série de conférences Hypothèses pour l’année 2020-2021.

    Hypothèses est une série de conférences en histoire de l’art et études muséales, organisée par et pour les étudiant.e.s des cycles supérieurs des universités québécoises, dans le but de stimuler et de diffuser les recherches émergentes dans la discipline. Hypothèses espère ainsi favoriser des rencontres et des débats entre les chercheur.e.s issu.e.s des différentes institutions. De plus, en poursuivant sa collaboration avec le Musée des beaux-arts de Montréal, Hypothèses propose de contribuer au décloisonnement des sphères académiques et muséales.

    Deux conférences sont présentées lors de chaque soirée mensuelle tenue au Salon des amis du Musée. Nous invitons, sans restriction thématique ni méthodologique, les propositions de conférences portant sur un corpus artistique. Nous acceptons les propositions en français aussi bien qu’en anglais, de même que celles provenant de chercheur.e.s postdoctoraux ou d’étudiant.e.s ayant déposé leur mémoire ou thèse depuis moins d’un an au moment de leur soumission.

    Merci d'envoyer votre proposition au plus tard le Mercredi 13 mai 2020 minuit, vos propositions pour une communication de 20 minutes, en suivant les instructions précisées dans le formulaire ci-dessous.

    Les communications seront évaluées anonymement par un comité impartial composé de représentant.e.s de l’Université Concordia, l’Université McGill, l’Université de Montréal et l’Université du Québec à Montréal. À noter que les choix s’effectuent en fonction de l’originalité et la rigueur des propositions, mais aussi de la pertinence de thèmes en regard d’une programmation annuelle.

    Pour plus d'informations sur les conférences Hypothèses, veuillez consulter notre site internet : http://conferences-hypotheses.org/

    Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter par courriel : hypotheses.mbam@gmail.com 

    L’équipe Hypothèses 2020-2021

    FORMULAIRE À REMPLIR

    CONFÉRENCES HYPOTHÈSES 2020-2021

    Veuillez suivre les instructions et remplir le présent formulaire aux points requis, puis envoyer les trois documents demandés (le formulaire ci-dessous contenant vos renseignements personnels, votre proposition de communication, ainsi que vos images légendées) pour le mercredi 13 mai 2020 à l’adresse courriel : hypotheses.mbam@gmail.com.

    Nom et prénom :       

    Adresse courriel :                  

    Cycle d’étude (en rédaction de mémoire; pré ou post examen de synthèse, etc.) et année :                                         

    Université d’attache :

    Nom de votre directeur/directrice de recherche :

    Sujet de votre mémoire ou thèse :

    4-5 mots-clés représentant vos champs d’intérêt :

    Quel est votre niveau d’aisance en français :                                   en anglais :    

    Informations complémentaires que vous jugez bon de communiquer :

    Le cycle de conférences 2020-2021 reprendra la formule de l'année précédente, soit deux communications par séance suivies d’une période de questions et discussion, puis d’une réception. Les soirées auront lieu un mercredi par mois, de 17 h à 19 h, au Salon des amis du Musée des beaux-arts de Montréal. Merci de nous signaler vos disponibilités pour ces dates :

    9 septembre 2020

    21 octobre 2020

    11 novembre 2020

    13 janvier 2021

    10 février 2021

    10 mars 2021

    VEUILLEZ JOINDRE À CE FORMULAIRE :

    • Votre proposition de communication [environ 2 100 signes, espaces compris] incluant le titre de votre conférence [100 signes maximum, espaces compris]et votre niveau d'études. Pour les besoins de la sélection à l’aveugle : NE PAS INSCRIRE VOTRE NOM NI AUCUN RENSEIGNEMENT PERSONNEL sur la page de votre proposition. Veuillez noter que, dans le cas où celle-ci est retenue, vous devrez fournir un résumé réduit à 700 signesavant la fin du mois de juin.
    • Une à trois images (en format JPEG), accompagnées de leur légende [Artiste, Titre, Année, et provenance s’il s’agit d’une courtoisie particulière], illustrant le sujet de votre communication. Dans le cas où votre proposition est retenue, l’une d’entre elles sera utilisée pour la promotion de la soirée de votre conférence. [Les images étant diffusées dans un contexte académique, vous pouvez vous prévaloir de l’utilisation équitable de la loi sur le droit d’auteur].

    Le Forum de recherche création, édition 2020, en mode virtuel : présentations de nos étudiant.e.s

    Forum de recherche-création 2020 -

    «De janvier à mars 2020, les étudiantes et les étudiants de deuxième année à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQÀM ont préparé la présentation publique de leur projet de recherche-création, en vue d’un événement qui devait avoir lieu les 1er, 2 et 3 avril dernier. Dans le cadre de conférences à la Galerie de l’UQÀM, les étudiant.e.s désiraient partager les enjeux de leur pratique avec la communauté universitaire et le grand public. Les présentations ont été regroupées par affinités et chaque panel devait être suivi d’une discussion animée par un.e invité.e. L’évènement, autogéré par ses participant.e.s et de l'artiste et professeure Hélène Doyon, avait pour but de créer un environnement inclusif favorisant les échanges autour des réflexions soulevées par les projets de recherche-création.

    Le FORUM 2020 n'a pas eu lieu comme prévu. La pandémie du COVID-19 est venue occuper l'espace temporel de nos préparatifs et a confisqué notre forum. Nous espérons contrecarrer ses plans et donner suite à nos préparatifs en vous tenant au courant, ici et ailleurs, de tout nouveau développement. Vers la fin avril, nous prévoyons diffuser ici-même une alternative à nos présentations, soit sous la forme de vidéos, de documents audio ou autres espaces virtuellement aménagés, en alternative à celles prévues initialement à la Galerie de l'UQÀM.  Revenez nous voir !

    Chaleureusement,»

    Les étudiantes et les étudiants du Forum 2020

    LIEN : Forum de recherche-création 2020 

    Contribution de Marie Samuel Levasseur à la revue Hors Champ : Le montage comme outil de réparation

    Avec son texte «LE MONTAGE D’ARCHIVE COMME OUTIL DE RÉPARATION», Marie Samuel Levasseur contribue au dossier spécial Godard de la revue Hors Champ qui vient de paraitre. Ce récent numéro s'intitule DES HISTOIRE(S) DU CINÉMA AU LIVRE D’IMAGE.

    Comme artiste et chercheuse, ma pratique pluridisciplinaire explore la question de l’indicible, des choses dont on ne doit pas parler dans l’espace social ainsi que de l’incapacité du langage à rendre compte des états affectifs forts. C’est donc sous cette prémisse, que j’ai choisi de décortiquer, un peu, une image bien précise des Histoire(s) du cinéma de Jean-Luc Godard (extrait du texte de Marie Samuel Levasseur).

    Article complet de Marie Samuel Levasseur

    Facebook de Hors-Champ

    Site internet de Hors Champ

    Admission - concentration recherche-intervention, date limite : 1er mai - exigences particulières

    En plus de soumettre une demande en ligne au registrariat, voici ce qui est demandé aux candidat.e.s pour parfaire leur dossier d'admission.

    Exigences particulières

    Tous les candidats doivent présenter un dossier complémentaire qui doit être déposé directement au programme (maitrise.arts.visuels@uqam.ca). Ce dossier doit comprendre les éléments suivants :

    • un curriculum vitae décrivant l'expérience pertinente en pédagogie, en médiation culturelle ou en intervention artistique (arts visuels, arts plastiques, art numérique, création en design, communication, études transdisciplinaires ou autres) et les interventions artistiques du candidat;
    • une intention de recherche n'excédant pas une page;
    • un texte décrivant la motivation et les intérêts de recherche et, le cas échéant, d'intervention du candidat, maximum de deux pages;
    • documents visuels témoignant d'une expérience d'intervention en pédagogie, en médiation ou en intervention artistique : vingt images fixes sous forme numérique (assemblées dans un seul pdf dans lequel se trouvera aussi la liste descriptive de chaque image).

    Dossier visuel pdf - informations

    • Les images assemblées dans le PDF doivent être identifiées uniquement avec des numéros de 01 à 20 (01.JPG, 02.JPG, …, 20.JPG).
    • Liste descriptive numérotée (titre de l'oeuvre, année de réalisation, médium, durée/dimension et mention des collaborateurs si nécessaire).

    Documents visuels supplémentaires pouvant être joints au dossier

    • Fichiers vidéos : un maximum de trois extraits (durée maximale : une minute chacun) de séquences vidéo, de projets sonores ou d'images animées.
    • Ces fichiers numériques doivent être clairement identifiés au nom du candidat. Inclure ces éléments dans la liste descriptive. Les formats numériques acceptés sont : .mov,.avi ou .wav. Les fichiers peuvent être envoyés par Wetransfer à maitrise.arts.visuels@uqam.ca OU un lien Vimeo vers ceux-ci peut être inclus dans la liste descriptive.

    Note : Les présentations PowerPoint, Flash, QuickTime, HTML ou autres ne sont pas acceptées.

    Appel à proposition : Plus que la nuit. Une plate-forme web artistique durant la pandémie COVID-19.

    Audrey Beaulé, étudiante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, a créé une plateforme web de visuels et de textes apaisants durant cette pandémie où on a du temps.

    Voici la page Instagram :
    https://www.instagram.com/plusquelanuit/
    Il y a également un site :
    https://plusquelanuit.wixsite.com/pqln?fbclid=IwAR3DSPTtOtCgU8gcJukA13px27C65RcTjU1YJTTXtWnQb3BihBDPcoZN5nA

    Plus que la nuit est une plateforme numérique où s'entrechoquent différentes explorations web. Du texte aux visuels animés en passant par l'image numérique, Plus que la nuit croit que l'art apaise, éveille, mais surtout nous sort de notre quotidien en nous ancrant autrement dans notre monde.

    L'appel à contribution est en continu, toutes soumissions répondant aux thèmes de l'apaisement, de l'éveil et de la douceur sont bienvenues.

    Veuillez envoyer vos propositions à :
    plusquelanuit@gmail.com.

    Contact : Florence Jacob, cocoordonnatrice de l'Association des étudiant.e.s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQÀM (AEMAVM)

    Prix : Projet novateur en enseignement des arts

    La Faculté des arts de L'UQAM souhaite souligner l’importance de l’enseignement des arts en reconnaissant l’apport exceptionnel d’un.e enseignant.e ayant mis en place un projet pédagogique novateur.

    Le Prix d’une valeur de 1000 $ est remis une fois par année dans le cadre d’une activité organisée par le Conseil de diplômés. La, le récipiendaire doit être sur place lors de l’activité pour recevoir son prix.

    Pour être admissibles, les candidates, candidats doivent répondre aux conditions suivantes : être diplômées, diplômés de l’UQAM dans l’un des programmes de la Faculté des arts (arts visuels et médiatiques, danse, design, études littéraires, histoire de l’art, musique, théâtre, muséologie, enseignement des arts, sémiotique, études et pratiques des arts);
    avoir mis en œuvre un projet novateur et mobilisateur dans le domaine de l’enseignement au sein de leur milieu professionnel.

    Date limite de dépôt d’une candidature pour le concours 2020 :
    Mercredi 1er avril 2020, à 17h.

    Plus d'information

    BOURSES DE PRODUCTION Arprim/École des arts visuels et médiatiques EN IMAGES IMPRIMÉES

    Pour tous les étudiants des programmes de baccalauréat et maîtrise de l’École des arts visuels et médiatiques (Hiver2020)

    Baccalauréat:
    3 Bourses de 350$ :
    300$ en argent
    50$ en matériel à la Coop des arts de l’UQAM

    Maîtrise:
    Une bourse de 450$ :
    400$ en argent
    50$ en matériel à la Coop des arts de l’UQAM

    Cette bourse de production en image imprimée doit être utilisée pour la réalisation
    d’un projet de création de nature académique (projet dans un cours, exposition étudiante, etc.).
    La sélection est basée sur la créativité et l'aspect novateur du projet de l'étudiant(e).

    Dossier de candidature:

    • Nom, prénom, code permanent, courriel et numéro de téléphone
    • Court texte expliquant votre projet, en précisant comment se fera l’utilisation
      de l’image imprimée (max. 250 mots)
    • 5 images ou croquis (sur clé USB, formats jpg)

    Date limite : 16 mars 2020 (16h)
    Dévoilement des boursiers : 23 mars

    Dépôt du dossier Bourses Arprim/EAVM au bureau J-4075

    Info : belanger.gwenael@uqam.ca, dupuis-bourret.andree-anne@uqam.ca

    POUR CONNAÎTRE LES RÉCIPIENDAIRES DES ANNÉES PASSÉES

    Rencontre d’information : jeudi 5 mars, de 12h45 à 13h45, au local J-R535.

    La nouvelle* concentration recherche intervention  rejoint principalement les éducatrices et éducateurs d’art dont la pratique se situe dans des milieux formels (ex. écoles, cégeps) et informels (ex. organismes communautaires, musées, etc.) et des artistes qui s’intéressent aux pratiques sociales de l’art dans différents contextes et auprès de différentes populations. Il s’agit en quelque sorte d’une concentration qui s’adresse à une population plus large. Elle vise à approfondir les connaissances théoriques et pratiques qui soutiennent une intervention éducative et artistique dans divers milieux scolaires, spéciaux ou à vocation culturelle en tenant compte des problématiques actuelles en art et en éducation. Sont aussi abordées les questions liées à la diffusion, au rôle social de l'artiste et à la place de la technologie dans les pratiques éducatives et artistiques. Deux profils sont offerts : le profil de recherche fondamentale axé sur la formation à la recherche et le profil de recherche appliquée axé sur une formation plus pratique en vue de répondre à des besoins particuliers des divers milieux. Dans le bloc recherche, l'étudiant est amené à rédiger un mémoire portant sur une recherche théorique ou didactique ou encore sur une intervention éducative.

    Une rencontre d’information sur la nouvelle concentration recherche intervention de la maîtrise en arts visuels et médiatiques aura lieu le jeudi 5 mars, de 12h45 à 13h45, au local J-R535.

    * Cette concentration succède à la concentration éducation qui existait depuis 1998. Elle sera ouverte dès la session Automne 2020.

    Voir un article à ce sujet dans Actualités UQAM

    https://www.actualites.uqam.ca/2020/nouvelle-concentration-recherche-intervention-maitrise-arts-visuels-mediatiques?fbclid=IwAR0UVoBGlvd7LqEae922NnTPdoI8AaOsPpQ59Vo-ty1-g96imfTPl1WWu4I

    Lancement | Entangled Maude Arsenault

    Le jeudi 05 mars 2020 – 18h

    Occurrence s’associe avec la maison d’édition Deadbeat Club pour le lancement de la monographie Entangled de Maude Arsenault, qui se tiendra à la galerie le jeudi 05 mars prochain dès 18h. Quelques images issues de la monographie seront également présentées lors du lancement.

    En parlant de sa première monographie photographique Entangled, Maude Arsenault évoque le mot « carcan », qui peut aussi référer à « embuscade » ou à « piège idéologique », afin d’expliquer sa motivation sous-jacente dans la fabrication et la mise en séquence de ses images évocatrices. Elle explique que devenir adulte et mère lui a apporté une distance et une nouvelle perspective quant aux exigences culturelles et sociétales imposées aux femmes et aux jeunes filles, et en particulier sur leurss choix de vie parfois infligés, limités ou encore prédestinés. Arsenault appelle son œuvre « un poème, une ode, un cri » et on sent que le pouvoir tranquille du livre réside dans des contradictions encore non résolues. « Je me sens souvent prise au piège dans la personne que j’ai essayé d’être toute ma vie », dit-elle, dans une déclaration touchante et révélatrice, qui fait parfaitement écho aux tensions finement calibrées et aux triomphes provisoires évoqués dans ces pages.

    Entangled | Maude Arsenault 
    64 pages.
    9.4” x 12.25”
    5 Couleurs Offset (Couleur & N&B)
    Edition de 500 + 20 Éditions spéciales
    Publié par Deadbeat Club, 2020
    ISBN: 978-0-9998298-5-1

    Galerie Occurence

    5455 De Gaspé • espace 108
    Montréal, Québec
    H2T 3B3
    T 514.907.4535
    info@occurrence.ca

    Ateliers ouverts 2020. Mardi, 11 février, 16 h - 20 h

    Venez découvrir la relève artistique de l'Université du Québec à Montréal. À cette occasion, les artistes de la maîtrise en arts visuels et médiatiques vous accueilleront dans leurs ateliers. Vous êtes attendu.e.s au CDEx (J-R930) dès 16h pour débuter votre découverte.

    Cette initiative vise à diffuser les projets de recherche-création des étudiant.e.s. L'événement est organisé en partenariat avec l'association des étudiant.e.s de la maîtrise en arts visuels et médiatiques (AEMAVM).

    11 février 2020
    de 16h à 20h

    Accueil, exposition collective et départ des visites guidées au CDEx
    Départ des visites guidées à 16h, 17h, 18h et 19h

    CDEx J-R930

    Catherine Asselin-Boulanger, Chloé Gagnon, Émylie Bernard, Geneviève Roy, Maude Arsenault et Rémi Belliveau

    Atelier J-1040

    Benoît Brousseau, Caroline Boyer, Caroline Pierret, Catherine Lejeune, Frédéric Bigras- Burrogano, Noémie Naud-Dubé, Camille Cléant

    Atelier J-5045
    André Frenette-Nolin, Archie Reid, Audrey-Anne Duplessis, Camille Blais, Gabrielle L. Carrère, Julien Gagnon-Rouillard, Sébastien Goyette-Cournoyer, Sylvie Laplante

    Atelier J-5370
    Annie France Leclerc, Anthony Brunelle, Danielle Robitaille, Émylie Bernard, Ludmila Steckelberg, Marie Atcheba, Maria Hoyos, Rémi Belliveau et Roxane Chamberland

    Atelier J-7060
    Alegría Lemay-Gobeil, Audrey Beaulé, Camille Lescarbeau, Catherine Asselin-Boulanger, Chloé Gagnon, Geneviève Roy, Gopesa Paquette, Maude Arsenault, Maude Brisson, Raphaël Biscotti, Sophie-Anne Bélisle et Sophie Aubry

    Info
    ateliers.ouverts.uqam@gmail.com
    www.ateliersouvertsuqam.com


    Ateliers Ouverts · 405, rue Sainte-Catherine est · Pavillon Judith-Jasmin, local J-R940 · Montreal, Qc H2L 2C4 · Canada

    Mémoire-création de Heidi Barkun : LET’S GET YOU PREGNANT! Galerie de l'UQAM. Vernissage : 6 février, 17 h 30

    Suivant

    Heidi Barkun. LET’S GET YOU PREGNANT!

    Finissante de la maitrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM, avec concentration en études féministes, Heidi Barkun présente son exposition de fin de maitrise.

    Galerie de l'UQAM

    7 février 2020 - 21 mars 2020

    Vernissage : 6 février 2020, 17 h 30

    Plus de sept millions d’enfants sont né·e·s par fécondation in vitro depuis le premier « bébé-éprouvette » il y a 40 ans. La culture populaire donne l’impression que chaque essai de cette biotechnologie mène à un succès; pourtant, le taux de réussite mondial ne s’élève qu’à 27 %. LET’S GET YOU PREGNANT! dévoile l’expérience de l’échec de la fécondation in vitro dans le cadre de systèmes sociaux, politiques et médicaux qui placent la maternité au premier plan de la vie des femmes. Une installation sonore et muséale crée une conversation virtuelle entre 28 participantes, l’artiste incluse, qui ont suivi des traitements infructueux de fécondation in vitro et qui ne sont pas devenues mères. Cette exposition invite le public à entrer dans l’intimité de ces 28 femmes et à interroger les rapports entre science, procréation et rôles sociaux.

    Heidi Barkun. Let's get you pregnant! : artefacts de Geneviève, 2019

    Séance d'information - séminaire d'été : Féminismes, arts et agentivité - au Centre Pompidou, Paris

    Mardi 18 février 12 h 45 à 13 h 45 au local R-4242

    FAM900A - Féminismes, arts et agentivité

    Ce séminaire interdisiciplinaire met l’accent sur les savoirs féministes fondés principalement sur les artistes femmes. Il propose un regard sur la dimension épistémologique des féminismes et de ses croisements avec l’art sous toutes ses formes. Des concepts et thématiques, telles l’agentivité, l’intersectionnalité, les identités sexuelles ou de genre, la non-binarité, sont examinées afin de revoir la lecture d’œuvres contemporaines et actuelles. Ouvert aux étudiant.e.s de 2e et 3e cycles, ce séminaire s’attache moins à une histoire de l’art féministe ou d’une littérarité des femmes qu’à une histoire féministe des œuvres, où celles sans récits explicitement engagées seront également convoquées. 

    Le séminaire de trois crédits se présente sous forme de cours magistraux, d’échanges entre les étudiant.e.s à partir de lectures de textes et de visites d’expositions, au Centre Pompidou et dans des galeries et musées à Paris. Des conférences sont également prévues lors des séances du séminaire qui auront lieu au Centre Pompidou à Paris du 9 au 19 juin 2020.

    Les inscriptions se feront le 1er mars 2020 auprès de Julie Brosseau du Département d’histoire de l’art brosseau.julie@uqam.ca

    Des informations vous seront données sur les frais afférents au séminaire (transport, hébergement et inscription au séminaire).

    Professeure : Thérèse St-Gelais, département d’histoire de l’art

    Ce séminaire est offert en partenariat avec la Faculté des arts, Figura, le Département d’histoire de l’art et l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF).

    Féminismes, arts et agentivité

    Du 9 au 19 juin 2020

    PDF

    Mémoire création de Pascal Seguel Reynolds : J'aurais préféré ne pas avoir à faire la roue latérale. CDEx.

    Du 3 au 9 février 2020 de 12 h à 19 h
    Finissage : 9 février à 17

    Titre du mémoire : Exécution exhaustive de la roue latérale conne acte de résistance dans une pratique artistique multidisciplinaire

    « Cette recherche-création propose d’explorer la pratique répétitive de la roue latérale comme outil de connaissance de soi menant à un acte de résistance politique. On situera d’abord cette figure spécifique dans un contexte sportif où elle est habituellement exécutée, afin d’en avoir une définition précise. L’analyse de deux textes écrits à partir d’une vidéoperformance intitulée études de la roue latérale #2 servira ensuite à mettre en lumière une façon de faire particulière : Faire comme je peux. Cette injonction, placée en porte-à-faux face aux hautes exigences sportives permet d’attirer l’attention sur l’imperfection de chaque geste composant la roue latérale plutôt que sur sa réussite.

    Alors que la captation vidéo de l’exécution des mouvements rend compte de ces petites erreurs, elle constitue aussi un cadre dont l’analyse révèle la construction de nouveaux paramètres. Le choix de filmer dans un studio de photos avec un éclairage neutre ainsi que les limites du cadrage contribue à la création d’un personnage que j’incarne et qui fait la roue latérale comme il peut devant la caméra. La répétition de cette figure gymnique situe ce travail dans le processus plutôt que dans l’obtention d’un résultat de sorte qu’il s’agit d’une tâche sans fin. En ce sens, on accède à une quantité infinie de variations sur un même mouvement qui se refusent à toute forme de hiérarchisation. Si celui qui exécute cette tâche se libère d’un système disciplinaire imposant la croissance à tout prix, il se trouve cependant enfermé dans cette activité circulaire sans aucune chance d’en sortir. À mon sens, il n’y a qu’une seule issue, allez au bout de la résistance et se déclarer incapable de continuer.» (Pascal Seguel Reynolds).

    Mémoire création de Alain Lefort : Résonance des silences. Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal

    Alain Lefort propose une recherche sur la représentation photographique et vidéographique du paysage entre construction et expérience. Un regard sur les enjeux de la représentation d’un territoire au travers l’image, qu’elle soit analogue ou numérique, imprimée ou projetée. Des photographies de la mer de glace prise en étau entre la baie et le détroit d’Hudson, à l’apaisante présence des monolithes des archipels Mingan jusqu’à l’apparition d’un pixel absorbé dans le tumulte d’une vague.

    ENTRÉE LIBRE
    Vernissage le samedi 1er février 2020, dès 14 h

    31 janvier au 8 mars

    Heures d'ouverture

    • Mardi, mercredi, jeudi : 13 h à 19 h
    • Vendredi, samedi, dimanche : 13 h à 17 h
    • Lundi : Fermé

    Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal
    465 Av. du Mont Royal Est, Montréal H2J 1W3

    Entre deux. Exposition de Camille Lescarbeau à la Galerie Perchée. Vernissage 13 février, 18 h.

    Vernissage 13 février, 18h.

    7755 Boul. Saint-Laurent, local 300.

    Image : Camille Lescarbeau. Entre-deux 3, Papier fait à la main à la fibres recyclées, 2019

    Dans cette exposition, Camille Lescarbeau poursuit ses recherches sur le papier fait à la main. Ces feuilles de fibres récupérées sont vierges et ne remplissent pas leur fonction première de support. Dans ce cas-ci, l’oeuvre est le papier lui-même et la couleur provient des fibres originales. Les oeuvres possèdent un aspect intrinsèquement éphémères, puisque créées à partir de fibres végétales, elles pourraient se décomposer si elles ne sont pas protégées. L’artiste y voit ainsi une nature qui est figée entre deux états.

    Originaire de l’Outaouais, Camille Lescarbeau est une artiste multidisciplinaire basée à Montréal. Influencée par son parcours en danse et en histoire de l’art, elle oriente sa pratique visuelle autour des processus laborieux et physiques. Elle est guidée par sa curiosité pour la matière et par une passion pour les processus de création, lents et méditatifs. Son travail oscille entre le dessin, la peinture, la broderie, l’installation, le papier, la photographie et la poésie.

    Appel de dossiers : expositions 2020-2021 de la Ville de Brossard

    La Ville de Brossard est à la recherche de propositions en peinture, gravure et photographie pour le Hall des Arts et l’Espace Mur-mur des arts ainsi que des offres d’expositions thématiques de toutes disciplines pour la Galerie Renée-Blain.

    INFORMATIONS SUR PDF

    Votre dossier doit être envoyé uniquement par la poste avant le 14 mars 2020, à l’adresse suivante :

    Appel de dossiers – Expositions 2020-2021
    Loisir, culture et vie communautaire
    2001, boulevard de Rome
    Brossard (Québec) J4W 3K5

    N’hésitez pas si vous avez des questions.

    Contact : Julie Ménard
    Secrétaire aux loisirs
    Arts, culture et événements
    Direction du loisir, de la culture et de la vie communautaire

    Julie Ménard
    Secrétaire aux loisirs
    Arts, culture et événements
    Direction du loisir, de la culture et de la vie communautaire

    450 923-6304, poste 6200

    Emplois d’auxiliaires d’enseignement pour nos étudiant.e.s

    Bonjour,
    Veuillez prendre note que les emplois d’auxiliaires d’enseignement suivant sont maintenant affichés, pour les 4 emplois suivants, vous avez jusqu’au 21 janvier 2020 15h00 pour postuler.

    FAM1501-10 Paradigmes et enjeux des arts au XXE Siècle 11
    FAM1501-50 Paradigmes et enjeux des arts au XXE Siècle 11

    MPA2020-13 Supervision des ateliers de l’École la fin de semaine
    MPA2020-14 Laboratoire de l’image imprimée.

    Vous devez OBLIGATOIREMENT vous inscrire en ligne sur le ou les postes pour lesquels vous voulez être auxiliaire. Vous aurez à fournir un CV sur lequel vous devez inscrire vos disponibilités.

    Veuillez noter que ces plages horaires sont fractionnables et peuvent être attribuées en fonction de vos disponibilités.

    Si vous êtes intéressés, consultez les affichages sur la page http://www.rhu.uqam.ca/visiteurs/?p=auxiliaires

    www.siga3.uqam.ca/emplois_aux_ens

    Contact :

    Sylvie Dorval
    Assistante administrative
    ÉAVM
    Poste : 8270

    Fête de l’Art 2020 : Exposition des étudiant·e·s de la Faculté des Arts de l'UQAM

    Fête de l’Art 2020
    407 Maisonneuve Est, UQÀM

    Vernissage: vendredi 17 janvier à 17h30

    Ouverture du 16 janvier au 18 janvier
    Jeudi 16 : de 11h à 19h
    Vendredi 17 : de 11h à 22h
    Samedi 18 : de 11h à 17h

    Exposition des étudiant·e·s de la Faculté des Arts de l'UQAM

    Cette année, à l’occasion de la Fête de l’Art du 17 janvier et du 50e anniversaire de l’UQÀM, l’Association des étudiant·e·s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques a le plaisir de présenter une exposition rassemblant le travail d’étudiant·e·s de la Faculté des Arts, tous cycles confondus, dans une formule ouverte, inclusive et transdisciplinaire. Nous vous invitons à venir célébrer ces arts qui nous passionnent et à découvrir ce que nos collègues étudiant·e·s artistes ou théoriciens·ne·s font.

    Le vernissage aura lieu le 17 janvier à partir de 17h30 au 407 Maisonneuve Est.

    La liste des exposants:
    Émylie Bernard
    Raphaël Biscotti
    Maude Brisson
    Étienne Colpron-Turbide
    Laurie Cotton Pigeon
    Florence Dupuis
    Maxime Duquette
    Julien Gagnon-Rouillard
    Katherine-Josée Gervais
    Samanta Goulet
    Guillaume Harvey
    Victor Imbeau
    Jorge Leon Llanes
    Clément Otis-Lepage
    Elsa Parent-Montpetit
    Maude Poirier-Felx
    Ponk
    Danielle Robitaille
    Ludmila Santana
    Maxime Valois

    L'Artichault - Appel de textes

    L'Artichaut, la revue des arts à l'UQÀM lance un appel à contributions aux étudiant.e.s de la Faculté des arts. Voir informations sur ce pdf.

    Entièrement dirigé par des étudiant.e.s de premier, deuxième et troisième cycle, l'Artichaut est un espace privilégié pour une première publication. Certain.e.s des membres de notre équipe ayant également de l'expérience dans le domaine de l'édition grand public, publier dans l'Artichaut, c'est une opportunité d'expérimenter pour la première fois le processus éditorial et de bénéficier des conseils d'autres étudiant.e.s et parfois même une porte d'entrée dans le monde littéraire et artistique.

    Contact :
    Audrey Boutin et Dominique Fréchette
    Codirectrice et codirecteur éditoriaux d'Artichaut magazine,
    la revue des arts de l'UQAM
    http://artichautmag.com/

    Appel à participation - Exposition ACSHA au CDEx

    L’Association des cycles supérieurs en histoire de l'art (ACSHA) organise pour la troisième année consécutive un colloque interuniversitaire, transhistorique et interdisciplinaire ouvert aux chercheur.e.s et artistes des cycles supérieurs. Cette année, une exposition sera aussi proposée au CDEx du 28 au 31 mai 2020 afin de mener une réflexion commune autour de la mémoire et de l’oubli. Date limite d'envoi de proposition : 1er février 2020.

    La mémoire et son pendant, l’oubli, soulèvent une somme de questions fondamentales et actuelles, et ce, tant dans les champs historiques et esthétiques, que sociaux et politiques. Les histoires et traditions dont nous héritons et que nous transmettons forment nos cultures, et donc les manières dont nous habitons et percevons le monde. Le contenu, le point de vue et l’organisation de nos récits, mais aussi leurs manques et apories déterminent notre compréhension du passé, mais également la façon dont nous appréhendons le présent et envisageons l’avenir. Aussi, qu’elle soit personnelle ou collective, la mémoire a toujours partie liée avec la définition de l’identité et, de plus en plus, les individus et communautés historiquement marginalisées tendent à prendre la parole, sollicitant documents, traces et témoignages afin de réviser le récit historique dominant. 

    L’objectif de l’exposition est d’offrir un espace de réflexion sur les relations multiples que les pratiques artistiques entretiennent avec la mémoire. Comment les artistes appréhendent-ils ces enjeux? Comment les travaux, œuvres et documents viennent-ils appuyer ou remettre en question nos conceptions?

    L’ACSHA est à la recherche de projets en arts visuels -  incluant les médiums de la peinture, sculpture, dessin, photographie, vidéo, l’art textile et la performance - qui proposent une réflexion sur la mémoire et l’oubli. Par exemple, les sujets peuvent inclurent, sans être limités, aux thèmes suivants: 

    • Les enjeux sociopolitiques : politiques mémorielles; construction d’une mémoire collective; lieux de mémoire; commémorations; statut du témoin; refoulements; omissions; réappropriations; révisions...
    • Les écritures et réécritures de l’Histoire (de l’art) : le récit dominant, le canon versus les oublié.e.s, marginalisé.e.s...
    • L’oeuvre comme travail de (la) mémoire : comme document, trace, support de témoignage; objet de transmission (ou d’invention) d’un héritage ou d’une tradition; la table rase versus la citation, le reenactment, l’hommage...
    • Les collections, archives, bibliothèques et autres lieux de conservation : espaces de préservation et d’organisation de la mémoire; enjeux matériels et politiques, notamment à l’heure du numérique...
    • La complication des temporalités: coexistence de temps multiples dans la mémoire versus écriture linéaire de l’Histoire; archaïsmes; résurgences; apparitions; traces; retours...

    Vous avez jusqu’au 1er février 2020 inclusivement pour nous soumettre votre projet.

    Vos dossiers sont à envoyer à : colloque.acsha20@gmail.com

    En précisant en objet : Volet Exposition

    Veuillez impérativement joindre à votre proposition ces éléments dans un document .pdf :

    • Curriculum vitae (max. 2 pages)
    • Démarche artistique (max. 250 mots)
    • Description de votre projet : en quoi votre proposition est-elle en lien avec le thème « Mémoire et oubli» ? (max. 350 mots)
    • Vos besoins techniques
    • Images des œuvres en incluant titre, date, matériaux et dimensions.

    Veillez à présenter un maximum de 5 œuvres. Chaque œuvre présentée doit être prête à accrocher ou à exposer.

    Pour consultez le plan de l’espace d’exposition du CDEx, rendez-vous au: https://cdex.uqam.ca/upload/files/cdex_plan.pdf
    Les étudiants de la maîtrise en art visuel de l’UQAM sont particulièrement invités à se manifester s’ils souhaitent s’impliquer dans l’organisation de cette initiative.

    Pour toutes questions ou informations complémentaires, vous pouvez nous joindre à l’adresse courriel colloque.acsha20@gmail.com

    Mémoire-création d'Elise Lafontaine : Sa robe est une voûte. Galerie Nicolas Robert (prolongé jusqu'au 25 janvier)

    Vernissage : Samedi 30 novembre, 15h-17h

    Du 30 novembre au 11 janvier 2020 (prolongé jusqu'au 25 janvier).

    Galerie Nicolas Robert, 10 rue King, Montréal

    À l’abri des alcôves, dans une cellule ou aux frontières liminales de la vie, l’artiste multiplie les résidences de création, à la recherche d’expériences picturales inédites liées au confinement. Dans cette série, l’artiste figure en langage abstrait les effets de volumes et de lumières de l’abbaye de Saint-Maurice en Suisse, questionnant l’existence de ces lieux aujourd’hui. La perspective magnétique des arches induite par l’abstraction géométrique oscille entre une représentation mystique digne des célèbres poèmes de Thérèse d’Avila et l’enfermement du corps réduit à sa plus simple ossature.

    Texte : Laure Neria

    Appel à initiatives : Que peuvent les arts pour la planète? Jour de la Terre - 3 au 22 avril 2020

    La Faculté des arts en collaboration avec le Centr’ERE et le doctorat en études et pratiques des arts coordonnera différentes initiatives artistiques pour souligner le Jour de la Terre 2020.

    « Le Jour de la Terre fut célébré pour la première fois le 22 avril 1970. Aujourd’hui, plus d’un milliard de personnes dans 193 pays passent à l’action chaque année dans le cadre du Jour de la Terre ». Depuis, le Jour de la Terre figure parmi les mouvements environnementaux les plus importants de la planète.

    Ainsi, la communauté de la Faculté des arts et plus largement celle de l’UQAM est invitée à participer en proposant des initiatives qui intègrent à la fois une perspective environnementale et artistique : interventions artistiques, conférences, communications, tables rondes, travaux de fin de session étudiants, etc. Ces initiatives seront réalisées dans la période du 3 au 22 avril 2020 à l’UQAM et aux Galeries du Palais des congrès.

    Le comité de coordination recevra les propositions jusqu’au 24 janvier 2020 à l’adresse suivante : arts.ere@uqam.ca

    Atelier de création I : exposition de fin de session des étudiant.e.s, 2e partie.

    Les étudiant.e.s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques vous convient à la deuxième partie des expositions de fin de session du cours Atelier de création 1, qui aura lieu du 12 au 16 décembre 2019 au CDEx, de 12h à 17h. Vernissage : 13 décembre, de 17h à 20h.

    • Sophie Aubry
    • Sophie Anne Bélisle
    • Camille Blais
    • François Carignan
    • Laetitia de Coninck
    • Audrey-Anne Duplessis
    • André Girard
    • Sébastien Goyette Cournoyer
    • Alegria Gobeil
    • Camille Lescarbeau
    • Noémie Naud-Dubé
    • Gopesa Paquette
    • Archie Reid

    Atelier de création 1 : exposition de fin de session des étudiant.e.s, 1er partie.

    Les étudiant.e.s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques vous convient à la première partie des expositions de fin de session du cours Atelier de création 1, qui aura lieu du 4 au 9 décembre 2019 au CDEx, de 10h à 18h. Vernissage : 5 décembre à 17h.

    • Maude Arsenault
    • Marie Atcheba
    • Christine Bourgier
    • Antoine Caron
    • Christophe Chamberland
    • Camille Cléant
    • Catherine Lejeune
    • Caroline Pierret
    • Kyra Revenko
    • Danielle Robitaille

    Appel de propositions : Résidence d’artiste au Palais des congrès

    Dans le cadre du partenariat entre la Faculté des arts de l’UQAM et le Palais des congrès de Montréal, un appel est lancé aux artistes des programmes de maîtrise en arts visuels et du doctorat en étude et pratiques des arts ayant terminé leur scolarité (cours/séminaires). Une personne par programme sera choisie. La résidence se déroulera dans un espace vitré dans la galerie commerçante intérieure du Palais des congrès. La durée de la résidence d’artiste sera de janvier 2020 à avril 2020, et l’espace-studio d’environ 775 pi2 (72m2) sera partagé par les deux lauréat.e.s. L’espace pourra être équipé de tables et de chaises. Tout autre équipement devra être apporté par les lauréats, et l’espace devra être vidé à la fin de la résidence. L’accès au local se fait dans les heures d’ouverture de la galerie marchande du Palais des congrès, les règles de sécurité et d’occupation stipulées par le Palais des congrès devront être respectées, ainsi que l’intégrité du lieu. Aucun financement n’est associé à cette résidence.

    Les trois grands objectifs du projet : 

    • Permettre aux artistes des programmes ciblés d’avoir accès à un espace de travail; 
    • Mettre en valeur le travail des artistes;
    •  Permettre aux citoyens de voir des artistes à l’oeuvre.

    Critères de sélection :

    • 1) Présenter un projet concret d’expérimentation, de production ou d’exposition qui sera réalisé en partie ou en totalité dans le cadre de la résidence d’artiste;
    • 2) Démontrer la faisabilité du projet;
    • 3) Présenter une ou des activités (présentation, exposition ou autre) destinées aux citoyens de Montréal.

    Les pièces à déposer :

    • 1) Un texte descriptif (600 à 1000 mots) qui présente : le titre du projet, la thématique, l’intention, la démarche, et les médiums qui seront utilisés;
    • 2) Un texte de 500 mots décrivant l’intérêt de travailler dans un espace partagé avec un autre artiste et dans un espace vitré, visuellement accessible au public;
    • 3) Un portfolio comptant un maximum de 20 images;
    • 4) Une planification de l’horaire de travail prévu dans le cadre de la résidence et au moins une activité publique (présentation, exposition ou autre) qui aura lieu dans le cadre de la résidence.

    Comment présenter une demande :

    Vous devez envoyer votre dossier (l’ensemble des pièces réunies dans un seul document PDF) par courriel à alvarez.kelly@uqam.ca au plus tard le 22 décembre 2019 avant 16 h. Le titre du courriel doit être : Résidence d’artiste au Palais des congrès. Annonce du projet retenu : début janvier.

    Pour plus d’information :

    • Maîtrise en arts visuels et médiatiques : savoie.claire@uqam.ca
    • Doctorat en études et pratique des arts : miron.isabelle@uqam.ca :

    L’approbation éthique dans un contexte de pratique artistique : rencontre avec le CERPE

    Les professeurs Michael Blum et Stefan Hoffman organisent une rencontre spéciale avec le CERPÉ (Comité d’éthique de la recherche pour les projets étudiants impliquant des êtres humains). Caroline Vrignaud (conseillère en certification éthique), Raoul Graf (président du comité d’éthique). La visite des deux professeur.e.s représentant la Faculté des arts, Sylvie Fortin (danse) et Louis Martin (Histoire de l’art) reste à confirmer.

    Lundi 25 novembre à 13h, au J-6180.

    Cette rencontre se veut pour les étudiant.e.s et leur direction de recherche, de la concentration création de la maîtrise en arts visuels et médiatiques

    Cartographie de la différence : le Québec face à l'art des identités culturelles. Avec Nuria Carton de Grammont et Stanley Février

    13 November 15H - 17H

    Manoir des Beaux Arts, 2060 Avenue Joly​

    Dans le cadre du séminaire Art et Diversités Culturelles (AVM805S)
    Une conversation avec l'historienne de l'art Nuria Carton de Grammont et l'artiste Stanley Février qui présentera le projet MAC-Invisible (MAC-I) et tentera une cartographie des artistes des diversités culturelles de Montréal (et du Québec) en explorant les questions suivantes : qui sont-ils? comment s'impliquent-ils dans la scène artistique québécoise? quels sont leurs défis? etc… La rencontre conviera le public à questionner/comprendre les réalités des artistes de la diversité.

    www.mac-i.com/musee.php

    Appels à projets d’exposition à la Bibliothèque du Collège de Rosemont

    Le Collège de Rosemont recueille en ce moment des soumissions pour les sessions d’hiver 2020 et d’automne 2020 en vue d’exposer dans la bibliothèque du Collège. Les artistes en arts visuels sont invités à déposer leur dossier conformément aux critères ici-bas. Le cachet et les modalités de transport seront discutés avec les artistes sélectionnés. Ceux-ci devront travailler de concert avec les techniciens du Collège pour le montage/démontage de leur exposition.

    Le dossier devra se trouver dans un seul fichier PDF (maximum 10 Mo) et contenir les informations suivantes :

    • - CV et/ou texte de présentation/démarche artistique (max 1 page)
    • - Détail de votre projet (max 1 page)
    • - Environ 10 images de votre projet
    • - Une liste de vos besoins techniques et logistiques


    Les candidatures doivent être envoyées par courriel à l’adresse biblio@crosemont.qc.ca d’ici le 14 décembre 2019.

    Mémoire-création de Véronique Lépine : Les formes en porte-à-faux. Galerie B-312

    21 novembre 2019 au 21 décembre 2019

    Vernissage : jeudi 21 novembre 2019 à 17h30

    Véronique Lépine questionne la malléabilité de la matière et la cohabitation d’objets à travers une démarche exploratoire. Par un processus évolutif d’observations et de manipulations, elle propose des assemblages d’objets présentés au mur, comme des tableaux tridimensionnels, ou apposés directement sur des tables de travail. Des espaces de flottements ou d’illusions procurent à chacune de ses œuvres-objets une nouvelle sensibilité, révélant les procédés d’accumulation, de transformation et d’organisation qui découlent de la production en atelier.

    Véronique Lépine (1980) vit et travaille à Montréal. Elle obtient en 2019 une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM. La reproduction d'objets se retrouve au cœur de sa démarche de création. L'absence de réalisme et de perspectives, de même que le choix des couleurs attribué aux objets, rappelle l'esthétique de l'illustration, à la frontière entre le folk art et le pop art. Son travail a été présenté au sein d'expositions individuelles et collectives. Soulignons Des objets éparts (Galerie Lilian Rodriguez, 2014), Projet Passeport (Dare-Dare, 2016) et Archives cannibales (La Centrale Galerie Powerhouse, 2014)

    Galerie de l'UQAM - Appel de dossiers pour 2020-2021 et 2021-2022 : Projet d'exposition des étudiants finissants

    Date-limite de remise du dossier de projet : dimanche 1er décembre prochain à 23h59.

    Vous trouverez ci-joint, en format PDF et dans une toute nouvelle mouture, nos documents révisés pour la soumission d’un projet d’exposition (procédure et modalités et formulaire de soumission de projet).

    PDF Formulaire d'application

    PDF Appel de dossier

    Les dossiers de projets des étudiants doivent parvenir, via WeTransfer, au plus tard le dimanche 1er décembre, à 23h59, à philippon.anne@uqam.ca.

    Si des étudiants souhaitent joindre une maquette à leur soumission de projet, celle-ci doit nous être apportée à nos bureaux, local J-R205, au plus tard le vendredi 29 novembre avant 17h.
    À noter que nous sommes fermés entre midi et 13h.

    Pour toute information supplémentaire requise en rapport avec l’appel de dossiers ou le projet d’exposition, vous êtes invités à communiquer avec Anne Philippon, conservatrice adjointe, à l’adresse courriel ci-haut indiquée ou au (514) 987-3000, poste 1424.

    MARSHALL MCLUHAN ET LES ARTS | APPEL À CANDIDATURES PLACE PUBLIQUE 2020

    MARSHALL MCLUHAN ET LES ARTS | APPEL À CANDIDATURES PLACE PUBLIQUE 2020, pour commissaires émergents. Les étudiants actuellement inscrits en maîtrise ou doctorat (recherche ou recherche-création), et éligibles au programme de stage en milieu pratique du FRQSC, sont invités à faire une proposition en lien avec la programmation d'été de la Fonderie Darling ! 

    Date limite d'inscription : mercredi 20 novembre 2019 à minuit.

    RAPPEL - Initiatives : concours des bourses pour étudiant.e.s de 2e et 3e cycle - Faculté des arts - est maintenant ouvert

    Le concours des bourses Initiatives de la Faculté des arts, pour des activités ayant lieu à l’automne 2019 et à l'hiver 2020 est maintenant ouvert.
    Date limite : vendredi 15 novembre 2019, pour des activités ayant lieu entre le 15 novembre 2019 et le 25 mai 2020.
    Pour plus d’informations : https://arts.uqam.ca/soutien-financier-pour-les-etudiants/

    Nous vous rappelons que le concours des bourses Initiatives de la Faculté des arts, pour des activités ayant lieu à l’automne 2019 et à l'hiver 2020 est ouvert.
    Ce concours est ouvert aux étudiants dûment inscrits dans l’un des programmes de 2e et de 3e cycles (doctorats, maîtrises, DESS et programmes courts de 2e cycle) rattachés à la Faculté des arts et vise à mettre en valeur la vitalité des activités de recherche et de création des étudiants de cycles supérieurs de la Faculté.

    Plusieurs types de projets peuvent être financés : présentation d’une communication lors d’un congrès, d’un événement ou d’un colloque reconnu, de préférence d’envergure internationale ou participation sous la forme d’une exposition ou d’un spectacle, aide à la publication. L’étudiant peut demander un maximum de 500 $ et recevoir la bourse une seule fois dans un programme d'études.

    Date limite : vendredi 15 novembre 2019, pour des activités ayant lieu entre le 15 novembre 2019 et le 25 mai 2020.

    Pour plus d’informations : https://arts.uqam.ca/soutien-financier-pour-les-etudiants/

    Fiche de la bourse et directives pour postuler

    Contact : Véronique Stahn, agente de recherche et de planification
    Faculté des arts
    stahn.veronique@uqam.ca
    514 987-3000, poste 1092
    Local : R-4405
    cid:image005.png@01D48249.EEF0D0D0

    Portes ouvertes/UQAM. Venez au kiosque de l'École des arts et médiatiques pour vous informer sur nos programmes!

    Restez à l’affût!

    Page Facebook

    Venez rencontrer enseignants, étudiants et employés qui répondront à vos questions sur les 300 programmes d’études de 1er, 2e et 3e cycles offerts à l'UQAM, les activités de recherche, l'aide financière et le soutien aux études.

    Laissez-nous vos coordonnées et soyez les premiers informés sur cet événement et sur les études à l’UQAM! En participant aux Portes ouvertes, recevez à votre arrivée un sac réutilisable aux couleurs de l'UQAM et courez la chance de gagner un ensemble d’articles promotionnels d'une valeur de 200 $, gracieuseté de la Coop UQAM. Voir les règlements du concours.

    24e édition - Rencontre des maîtrises en arts visuels du Québec à l'UQAT

    Cette édition aura lieu à l'Université du Québec au Témiscamingue. Nos représentants, cette année, sont : MARIE SAMUEL LEVASSEUR ET MOÏSE PIUZE.

    MARIE SAMUEL LEVASSEUR : « Relectures »
    Action de distribution de micro-récits qui se déploient par le biais de petites histoires et ouvrages, et s’organisent autour des notions du geste, du souvenir et de l’intime.

    MOÏSE PIUZE : « Papa - maison »
    Questionnement sur l’identité et la constante nécessité de s’en bricoler une. Elle découle d’une double exploration : celle d’un territoire imaginaire et celle d’un territoire domestique.

    Programme complet en pdf

    La charrette interdisciplinaire de création recherche des participant.e.s, 8-9-10 novembre

    Exposition des propositions : 11 novembre 2019

    * voir guide du participant***

    Contexte
    L’Université du Québec à Montréal (UQAM) a été créée le 9 avril 1969 par le
    gouvernement du Québec, dans le contexte d’une décennie de réformes du
    système d’éducation québécois et d’une volonté de démocratisation et
    d’accessibilité accrue de l’institution universitaire.

    Par sa volonté de démocratisation et d’accessibilité à l’enseignement
    universitaire, par son regard critique et sa volonté de partenariat avec les
    acteurs de la société, l’UQAM s’est donnée comme mission de se consacrer au développement du plein potentiel des personnes et de la société.

    Cette charrette multidisciplinaire s’inscrit dans le cadre des activités du 50e de l’UQAM et permet de réunir des étudiant.e.s des programmes de géographie, de design de l’environnement, d’arts visuels et médiatiques ainsi que d’urbanisme. Elle invite ses participants à élaborer des projets créatifs et novateurs permettant à la mission de l’UQAM de se propager, de s'incarner et de se manifester physiquement et spatialement dans le quartier.

    MANDAT
    Les équipes ont à proposer une vision d’ensemble des aménagements et des interventions aux abords et en périphérie de l’UQAM afin d’affirmer son caractère et son identité ainsi que sa présence dans le quartier et la ville.

    Cette vision devra être illustrée à l’aide de deux ou trois aménagements et/ou interventions. Ceux-ci doivent en priorité cibler les espaces publics (parc, place, rue, trottoir) et/ou les espaces privés extérieurs appartenant à l’UQAM ou la Ville de Montréal.

    Les aménagements et les interventions peuvent également intervenir sur le
    domaine privé (bâtiment et terrain) si cela ne les altère pas physiquement
    (mise en lumière, projection, sculpture, etc.).

    Enfin, les aménagements et les interventions peuvent être permanents,
    éphémères ou transitoires.

    PRIX
    Les propositions d’aménagement et d’intervention seront jugées par un jury réunissant des représentants de l’UQAM, de la Ville, du milieu des arts visuels et du milieu communautaire.
    1er prix : 750 $
    2e prix : 500 $
    3e prix : 250 $

    RAPPEL : BOURSE D'ÉTUDES supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier

    Date limite de dépôt de candidature : le 15 novembre 2019

    Les intéressé.e.s sont invité.e.s à soumettre leur candidature en version numérique, par le biais du compte WeTransfer* de la fondation.

    Formulaire : http://www.fondationbombardier.ca/…/programme-de-bourse-en…/

    Si vous avez des questions, communiquer avec Martine Richard au (514) 876-4555, poste #60 ou m.richard@fjab.qc.ca

    Mémoire-création de Béatrice Boily

    26.10.2019 – 30.10.2019
    Vernissage : samedi le 26 octobre à 19h
    GHAM & DAFE
    3425 Ste-Catherine E, Montréal


    «Cette exposition agit à titre d’espace transitoire. Les pièces qui la constituent y sont passagères : elles se présentent comme évolutives et se poursuivront en dehors de la temporalité du lieu d’exposition.

    Mes plus récentes réflexions matérielles consistent en l’extraction d’un mètre cube d’argile crue. À travers une succession de manipulations – la matière empruntée, représentée, déplacée, et éventuellement replacée – le geste d’exposer s’insère à même ce flux de transformations.


    À partir de mises en situation matérielles, mes manipulations visent à extraire le potentiel évocateur de la matière dans un corps-à-corps où s’expriment nos résistances propres. Madriers de bois, blocs de béton et pièces de caoutchouc sont ainsi appréhendés selon leurs propriétés respectives. C’est au sein de ces espaces de contact que je me confronte à ces formes et matérialités et aux structures de sens auxquelles elles réfèrent.»

    Béatrice Boily

    LES ARTS DU TOUT-MONDE Martine Chartrand : Passeuse de mémoire engagée

    Martine Chartrand, artiste visuelle et cinéaste québécoise d’origine haïtienne et étudiante à la maitrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM, présentera ses films d’animation en peinture sur verre, Âme noire et MacPherson au Musée des Beaux Arts de Montréal, le mercredi 23 octobre 2019 , à 17:30 h, au Salon du Pavillon Jean-Noël Desmarais – niveau S2.

    La conférence sera animée par l’artiste Eddy Firmin, Praticien-chercheur, Ph.D Études et Pratiques des Arts

    Lieu de rencontre: Pavillon Jean-Noël Desmarais – 1380, rue Sherbrooke Ouest
    Durée: 1 h 30 m
    Le Salon , Pavillon Jean-Noël Desmarais – niveau S2
    Places limitées
    Activité gratuite

    À la recherche d'étudiants en art pour constituer un OBNL

    Plusieurs centres n’offrent pas d’activités d’arts plastiques et n’ont pas du personnel pour organiser et animer des activités créatives. Le projet consiste à jumeler les étudiants en arts visuels avec les personnes âgées en résidences. Il y a plusieurs bienfaits reliés à l’art tel que l’expression de soi, réduire l’isolement, créer des liens, apaiser la souffrance et bien d’autres. Il y a beaucoup de résidences et CHSLD pour personnes âgées dans la région de Montréal. Le projet débutera avec les étudiants de l’UQAM et par la suite avec les autres universités. Le projet requiert du temps et un investissement à long terme pour la pérennité. C’est aussi une belle expérience professionnelle pour les personnes intéressées. Renseignez-vous, si le projet peut vous être crédité dans le cadre d’un cours.

    Les intéressés peuvent contacter :

    Yala Shabah
    514-970-2058
    yalashabah@protonmail.com

    Appel à collaborations : L’Artichaut, la revue des arts de l’UQÀM

    COLLABORATEUR.RICE.S - PUPITRE ARTS VISUELS

    L’Artichaut, la revue des arts de l’UQÀM, est présentement à la recherche de collaborateur.rice.s afin de rédiger des critiques et des textes de réflexion pour son pupitre arts visuels. S’investir dans l’Artichaut, c’est :

    • une opportunité de bâtir un portfolio avec l’aide d’autres étudiant.e.s aussi passionné.e.s et engagé.e.s que vous.
    • avoir un accès privilégié à la vie culturelle et médiatique montréalaise.
    • une chance de faire ses preuves dans le domaine de la critique cutlurelle et de la publication étudiante.


    Aux intéressé.e.s : faire parvenir une lettre de présentation ainsi qu’un échantillon d’écriture (travail scolaire, article publié dans un
    autre média) à : direction.artichaut@gmail.com

    Invitation à assister au colloque « L’UQAM : un campus urbain et vivant au cœur de la ville »

    18 octobre 2019 – 8h30 à 17h30 (DR-200 / Pavillon Athanase-David)

    Dans le cadre des célébrations du 50e anniversaire de l’UQAM, le département d’études urbaines et touristiques, le département de géographie, l’École de design, l’École des arts visuels et médiatiques ainsi que le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal s’unissent pour organiser le colloque « L’UQAM : un campus urbain et vivant au cœur de la ville ».

    Quatre grands thèmes structureront cette journée afin d’explorer les relations de l’UQAM avec son quartier :

    • Un campus et son milieu : histoire et patrimoine
    • Un espace urbain en redéploiement : interventions et aménagements
    • Un milieu de vie en partage : interactions et dialogues
    • L’UQAM et les acteurs du quartier : trajectoires et perspectives
    Pour plus de détails sur le programme et pour procéder à votre inscription gratuite et obligatoire : https://podio.com/webforms/23439869/1680572

    À titre d’information, ce colloque est précédé, le jeudi soir, par une conférence ayant pour titre « Si le campus m’était conté » organisée par Florence Junca Adenot, professeure associée au DEUT et ancienne vice-rectrice administration finances, et Jean Roy, ancien directeur des phases 2 à 4 du campus de l'UQAM. Cette conférence aura lieu à 17H15 au local SH-2800. Pour obtenir plus d’information ou pour vous inscrire : urba2015@uqam.ca

    Ce colloque sera également suivi d’une charrette multidisciplinaire de création regroupant des étudiant.e.s du département d’études urbaines et touristiques, du département de géographie, de l’École de design et de l’École des arts visuels et médiatiques au mois de novembre 2019.

    Appel à projets : Exposition Fleurs Sauvages à l’Écomusée du fier monde

    L’exposition proposera une expérience sensorielle sur la végétation montréalaise à travers le regard poétique et contemporain d’œuvres actuelles, objets de mémoire et paroles citoyennes.

    L’exposition Fleurs Sauvages, commissariée par Jade Séguéla et Marie Tissot sera présentée à l’Écomusée du fier monde du 20 mai au 7 juin 2020.

    Les étudiant·e·s ou récemment diplomé·s des programmes de la Faculté des arts de l’UQAM sont invité·e·s à proposer des œuvres d’art ou tous projets qui s’inscriront dans un ou plusieurs des thèmes suivants :

    · La botanique à l’époque pré-coloniale
    · L’apothicairerie au temps de la Nouvelle-France
    · Les recherches botaniques du Frère Marie-Victorin
    · L’absence de verdure à l’époque de l’industrialisation
    · De nos jours: les fleurs sauvages de Montréal
    · Les initiatives écocitoyennes
    · Les bienfaits de la végétation au sein des villes
    Pour participer à cette exposition, transmettez votre candidature au lien suivant: https://forms.gle/tqPXmtGbpakRe5EN6
    Ce formulaire vous permettra de nous faire parvenir les informations pertinentes relatives à votre pratique : documentations visuelles, programme d’étude, démarche artistique, biographie, etc.

    Conditions d’admission:

    1. Vous devez soumettre le formulaire (https://forms.gle/tqPXmtGbpakRe5EN6) dûment rempli avant le 4 novembre 2019 à 23h59
    2. Vous devez être étudiant·e ou récemment diplômé·e (ayant terminé ses études au cours de l'année 2019) dans un programme de la Faculté des arts de l'Université du Québec à Montréal (Département de danse, d’études littéraires, d’histoire de l’art, de musique, de design, des arts visuels et médiatiques, et de théâtre)
    3. Chaque artiste ne peut soumettre qu’UN SEUL formulaire. Chaque formulaire peut inclure jusqu'à trois œuvres d'art ou projets différents.
    4. Les projets avec des composantes vivantes ne seront pas acceptés (racines, terre, etc.) car l'Écomusée du fier monde est régi par les normes muséales.
      ???

    Un soutien matériel (pour la production et/ou lors du montage de l'exposition) sera fourni, mais aucun cachet ne sera versé pour les droits d’exposition.


    Les candidatures seront étudiées par un comité de sélection et tout·e·s les candidat·e·s seront informé·e·s avant le 16 décembre 2019.
    Vous avez une question ou un intérêt ?


    Pour informations, contacter à l’adresse courriel
    : fleurs.sauvages20@gmail.com


    *L’exposition Fleurs Sauvages est réalisée dans le cadre d’un partenariat entre l’Écomusée du fier monde et la faculté des arts de l’Université du Québec à Montréal.

    Bourse François Xavier Marange en arts d’impression

    Le concours de la bourse François Xavier Marange en arts d’impression a été lancé vendredi passé sur le site de la Fondation de l’UQAM. Date limite : 15 octobre 2019

    Montant : 1 bourse de 5 000 $
    Date limite : 15 octobre 2019
    La sélection est basée sur l'excellence du dossier académique, le portfolio ainsi que sur la créativité et l'aspect novateur du projet de résidence* de l'étudiante ou de l'étudiant.

    *La résidence se déroule à l’Atelier Circulaire à Montréal (www.ateliercirculaire.org).

    Les anciens lauréats:
    https://ateliercirculaire.org/project/bourse-francois-xavier-marange-uqam/

    Télécharger le pdf d'informations

    Dossier de candidature :

    • Formulaire de demande de bourses de la Fondation de l’UQAM;
    • Relevés de notes;
    • Un texte de présentation du projet de résidence (maximum une page) ainsi qu’un échéancier;
    • Portfolio sur clé USB (maximum 20 images, formats jpg et/ou vidéos) et une liste descriptive des images.


    Conditions d’admissibilité :

    • Être inscrit à l’un des programmes suivants : baccalauréat : arts visuels et médiatiques – profil pratique artistique; baccalauréat en design graphique; baccalauréat en design de l’environnement; maîtrise en arts visuels et médiatiques – concentration création; doctorat en études et pratiques des arts; postdoctorat dans un domaine approprié, pour la session d’automne 2019 ;
    • Dans le cas du baccalauréat, avoir complété 45 crédits au 1er septembre 2018 ;
    • Avoir une moyenne cumulative d’au moins 3,5 sur 4,3;
    • Avoir un projet de résidence présentant un intérêt pour la recherche et pour le centre en art de création et d’impression qui recevra le lauréat, soit l’Atelier Circulaire ;
    • Sélection basée sur l’excellence du dossier académique, le portfolio ainsi que sur la créativité et l’aspect novateur du projet de résidence de l’étudiante ou de l’étudiant.


    Objectifs :


    Des mécènes veulent contribuer à l’insertion d’étudiants talentueux de l’UQAM dans un réseau professionnel dans le domaine des arts d’impression.


    La résidence d’une durée d’un an se déroulera à l’Atelier circulaire qui est un centre d’artistes reconnu, voué à la création, à la recherche, à la diffusion et à l’éducation en arts imprimés et qui a comme objectif de préserver et d’enseigner les techniques traditionnelles de gravure tout en intégrant les nouvelles technologies et les pratiques contemporaines en arts d’impression.


    Le fonds de bourses porte le nom d’un des fondateurs de l’Atelier Circulaire, François-Xavier Marange (1948-2012), maître imprimeur d’origine française qui s’est établi à Montréal en 1982.

    Informations et inscription:
    www.vie-etudiante.uqam.ca
    http://vie-etudiante.uqam.ca/aide-financiere/bourses/bourses-etudes.html

    Mémoire-création de Maude Corriveau. Orama ou comment déployer l'univers dans un papier de bonbon.

    Vernissage : jeudi 26 septembre à 17 h

    Du 26 au 30 septembre 2019
    Espace éphémère
    2575, avenue Bourbonnière (métro Joliette)

    L'exposition ORAMA ou Comment déployer l’univers dans un papier de bonbon de Maude Corriveau est présentée comme exigence partielle de la maîtrise en arts visuels et médiatiques.

    S’intéressant à l’action de la lumière sur la matière, Corriveau transfigure des matérialités pauvres, artificielles et réfléchissantes par la pratique du dessin au crayon de couleur. Face à l’automatisation du monde, la dématérialisation des oeuvres et l’accélération des rythmes de vie, elle réfléchit à la valeur du savoir-faire manuel et la manière avec laquelle cela lui permet de situer l’hyperréalisme dans le contexte de l’art actuel.
    Corriveau explore différentes approches de la représentation aptes à exacerber de manière « plus que réelle » des ombres et reflets spéculaires dans l’objectif d’activer l’expérience perceptuelle des oeuvres et leur rapport à l’espace. Ce faisant, elle interroge les notions de réalité et de simulacre qui constituent des enjeux importants en cette ère des réseaux sociaux et de la désinformation. C’est avec des stratégies optiques, illusionnistes et in situ, qu’elle présente un corpus d’oeuvres séduisantes jouant sur la frontière de l’hyperréalité, dans lesquelles le lent geste de la main s’interpose à la consommation de l’éphémère.


    Le vernissage aura lieu le jeudi 26 septembre à 17 h et l’exposition se poursuivra du vendredi 27 au lundi 30 septembre de 12 h à 17 h. Pour une visite en dehors des heures d’ouverture ou pour toute autre information, veuillez contacter l’artiste à l’adresse maude.corriveau@gmail.com.

    VIVA! art action - 3 conférences à l’UQAM - EAVM

    3 conférences à l’UQAM - EAVM - dans le cadre de l’événement international d’art performance VIVA! art action

    MARDI 24 septembre 
    Rencontre avec deux performeurs chevronnés (anglais/français)
    14 h : Seiji Shimoda (Japon) 
    15 h 30 Alastair MacLennan (Irlande)
    Local J-6180 
    Invités au cours Le performatif : de l’art action à la création de situations
    En collaboration avec Dare-dare et Viva! Art Action

    ET

    JEUDI 26 septembre 
    12 h 45 à 13 h 45
    Miao Jiaxin
    Intervenants culturels internationaux de l’UQAM (mandarin/français)
    Local J-6180 
    En collaboration avec SKOL et Viva! Art Action

    https://www.facebook.com/…/Art-Gallery/VIVA-Art-Action-109…/

    Bourse d'études supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier (7e édition)

    La Fondation J. Armand Bombardier et le Centre culturel Yvonne L. Bombardier sont fiers de lancer pour une 7e année la Bourse d'études supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier.

    Date limite pour déposer la candidature : le 15 novembre 2019

    Vous trouverez tous les détails et le formulaire de candidature sur notre site web.

    L'équipe est soucieuse de s'ajuster constamment aux réalités changeantes et c'est pourquoi nous avons fait un virage vert plus intensif encore cette année. Nous invitons donc les participants à soumettre leur candidature en version numérique, par le biais de notre compte WeTransfer* Un des nombreux avantage avec ce mode de transmission est de recevoir un avis de réception automatique..

    Pour toutes questions, communiquer avec Martine Richard au (514) 876-4555, poste #60 ou m.richard@fjab.qc.ca

    Pop Pavillon : exposition des étudian.t.e.s (Association étudiante) et lancement de ITEM

    ★★★ VERNISSAGE 25 SEPT. 18 h ★★★
    À ne pas manquer :
    ★ Performance de l'artiste Emylie Bernard à 19h
    ★ Lancement numérique de la revue numérique item

    ...
    Dans le cadre du festival POP Montréal, les étudiant·e·s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM présentent leur travail dans le cadre d’une exposition collective à l’Espace POP du 25 au 29 septembre. Dans un esprit d’expérimentation et d’inclusion, l’exposition rassemblera des projets traitant de notre rapport au territoire et à l’autre, d’échec, d’anxiété et d’utopie, remettant parfois en question la séparation entre le réel et l’imaginaire.

    ARTISTES

    Patrick Foisy,, Maude Corriveau,, Martine Chartrand,, Marie Samuel Levasseur,, Mancy Rezaei,, Karine Madran,, Karine Fournier,, Julie Cantin,, Jonathan Sardelis,, Farzaneh Rezaei,, Fanny LatreilleÉlise Lafontaine et Cyrille Lauzon

    INFOS

    Exposition de groupe

    Avec le travail de : Julie Cantin - Martine Chartrand -Maude Corriveau - Patrick Foisy - Karine Fournier - Élise Lafontaine - Cyrille Lauzon - Karine Madran - Farzaneh Rezaei - Mancy Rezaei -Jonathan Sardelis Commissaires : Heidi Barkun - Rosalie Jean -Marie Samuel Levasseur - Leila Zelli

    L’association des étudiant·e·s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques (AEMAVM) de l’Université du Québec à Montréal présente POP Pavillon, leur exposition annuelle hors-murs en collaboration avec Art POP. Pour cette édition 2018, les commissaires de l'exposition ont réuni des œuvres de leurs compères autour du thème « À travers . . . », suggérant une réflexion autour du lieu, de l'espace et du temps par la transgression, l'épreuve et l'ouverture.

    https://popmontreal.com/fr/calendrier/spectacle/pop-pavillon/2019-80390/

    Mémoire-création de Corine Lemieux : L'un avec l'autre, en même temps.

    Exposition
    du 14 septembre au 19 octobre 2019

    OBORO : 4001, rue Berri, local 301

    Vernissage
    samedi 14 septembre 2019, à 17 h

    « Avec ce projet, j’étudie comment sont reliés les différents aspects qui composent l’expérience de création. Je cherche à développer une qualité d’attention me permettant de voir ce qui est présent. Ainsi j’observe la nature des relations qu’entretiennent corps, esprit et environnement au travail du point de vue de la femme que je suis. L’attention est un des maillons centraux d’une chaîne d’actions : une séquence qui relie choix, intention, attention, geste et soin, pour ne nommer que ceux-ci. Cette chaîne constitue le pont entre ma vie intérieure et mon engagement avec le monde ; l’articulation entre les dimensions personnelle et collective. Il est question de l’acte de regarder lui-même, celui de se regarder en train de regarder et en train de faire afin de percevoir ce qui se trame au-delà de la surface, afin que l’attention s’engage et se responsabilise face aux interactions qui composent l’expérience. Je m’attarde au rôle du travail des mains et de l’attention dans le processus de prise de conscience et dans le développement d’une attitude attentionnée. Concrètement, le projet qui sera présenté consiste en une installation où dialoguent des photographies et des sculptures en argile se déployant dans l’espace de la galerie. Les images et les sculptures reflètent l’objet d’observation qu’est ici la pratique de création et sa capacité à activer de nouvelles relations.»

    Corine Lemieux (née en 1973) est une artiste plasticienne canadienne basée à Montréal qui œuvre principalement dans le champ de l’installation photographique et sculpturale depuis 1998. Sa pratique consiste à cultiver une qualité d’attention, une disposition intérieure qui permet de voir ce qui est présent et de révéler les liens entre les différents éléments qui composent l’expérience de création. Elle cherche à démontrer le pouvoir de transformation de la création sur nos perceptions et nos manières d’agir. Il s’agit d’une pratique qui sert d’outil pour développer une éthique qui guide les choix. 

    Son travail a été présenté en solo dans plusieurs galeries au Québec, en Ontario et en Italie. Elle a également participé au Mois de la Photo à Montréal en 2011 ainsi qu’à plusieurs évènements et expositions impliquant une forme active de collaboration. En 2010, elle a publié un livre intitulé En cours de route paru à Sagamie éditions d’art. Elle complète présentement une maitrise à l’Université du Québec à Montréal.

    ***Jusqu’en décembre 2019, des travaux de réfection sur la rue Berri, entre les intersections Roy et Duluth, entraineront des perturbations non prévisibles sur l’accessibilité au trottoir et aux stationnements. N’hésitez pas à nous contacter la journée même pour obtenir des informations sur l’état actuel de la rue ***
     


    Art et décolonisation au Guatemala : une conversation avec Lucia Ixchiu

    L'espagnol et l'anglais suivent le message français.

    Une discussion sur l'art et la décolonisation au Guatemala avec l'artiste militante Maya K'iche Lucia Ixchiu, de passage à Montréal cette semaine. La rencontre abordera le contexte socio-politique du Guatemala et les défis de réaliser des interventions artistiques avec une approche décoloniale. La conversation sera suivie d'un rituel Maya K'iche.

    Mercredi 11 septembre 2019, 5.30-7pm
    Manoir des Beaux-Arts (2060 Avenue Joly)

    Inscription requise avec ce lien https://tinyurl.com/514LMBA
    Discussion en espagnol et anglais, traduction en français chuchotée

    Évènement initié par le Centre d’art et de recherche sur les diversités culturelles en collaboration avec le séminaire Art et Diversités Culturelles (AVM805S), École des arts visuels et médiatiques (UQAM).

    Biographie:
    Née à Totonicapán au Guatemala, Lucia Ixchíu est une femme autochtone maya K'iche, architecte, agente culturelle, journaliste et féministe diversifiée. Elle est cofondatrice du collectif Festivales solidarios, qui se mobilise sur les enjeux touchant la défense de l’environnement et de la Terre Mère et la préservation de la mémoire historique à travers l’art, la culture et les manifestations publiques.

    Es
    Arte y descolonización en Guatemala: Una conversación con Lucia Ixchiu

    Una discusión sobre arte y descolonización en Guatemala con la artista activista Maya K'iche Lucia Ixchiu en Montreal esta semana. El encuentro abordará el contexto socio-político de Guatemala y los retos de realizar intervenciones artísticas con un enfoque decolonial. La plática será seguida por un ritual de kiché maya.

    Miércoles 11 de septiembre de 2019, de 17.30 a 19.00 horas
    Manoir des Beaux-Arts (2060 Avenue Joly)

    Es necesario registrarse con este enlace https://tinyurl.com/514LMBA
    Discusión en español e inglés, traducción susurrada al francés

    Evento iniciado por el el Centro de Arte e Investigación sobre Diversidades Culturales en colaboración con el seminario Art et Diversités Culturelles (AVM805S), École des arts visuels et médiatiques (UQAM).

    Biografia:
    Nacida en Totonicapán Guatemala, Lucia Ixchiu es una mujer indígena maya K´iche, arquitecta, gestora cultural, periodista y feminista diversa. Es una de las fundadoras del colectivo Festivales solidarios, que se moviliza particularmente sobre las cuestiones de defensa del medio ambiente y de la Madre Tierra y la preservación de la memoria histórica a través el arte, la cultura y las manifestaciones públicas.

    En
    Art and decolonization in Guatemala: A conversation with Lucia Ixchiu

    A discussion on art and decolonialization in Guatemala with activist artist Maya K'iche Lucia Ixchiu in Montreal this week. The meeting will address the socio-political context of Guatemala and the challenges of making artistic interventions with a decolonial approach. The conversation will be followed by a Maya K'iche ritual.

    Wednesday 11 September 2019, 5.30-7pm
    Manoir des Beaux-Arts (2060 Avenue Joly)

    Registration required with this link https://tinyurl.com/514LMBA
    Discussion in Spanish and English, whispered French translation

    Event initiated by the Arts Research Centre In Cultural Diversities in collaboration with the seminar Art et Diversités Culturelles (AVM805S), École des arts visuels et médiatiques (UQAM).

    Biography:
    Born in Totonicapán Guatemala, Lucia Ixchíu is a Mayan indigenous K'iche woman, architect, cultural manager, journalist and diverse feminist. She is one of the co-founders of the Festivales solidarios collective, which mobilizes on issues related to the defence of the environment and Mother Earth and the preservation of historical memory through art, culture and public events.

    Lancement de An Economy of Discursive Fields : Lot 94, E6-03, de David Tomas

    Le groupe de recherche sur les enchères d’œuvres d’art contemporaines auparavant dirigé par David Tomas (1950 - 2019) présente la publication An Economy of Discursive Fields : Lot 94, E6-03. Cet ouvrage accompagne Lot 94, une série de trois d’expositions présentées au 5445 de Gaspé, Montréal, Qc, 6e étage, local E6-03, entre mars et mai 2018 dans lesquelles était exposé un corpus d’œuvres s’inscrivant dans les recherches de Tomas sur les œuvres d’art méta-économiques. An Economy of Discursive Fields : Lot 94, E6-03 se situe au seuil du livre d’artiste et du catalogue d’exposition. La publication propose une relecture de l’économie de l’œuvre (Lot 94) et de son exposition, au moyen de la séquence de documents visuels constituant son archive.

    Le lancement aura lieu le vendredi 13 septembre de 17h à 20h à la librairie le Port de tête, au 269 av. Mont-Royal Est, Montréal.

    Voir pdf

    Au plaisir de vous y voir.

    Le groupe de recherche
    Catherine Belliveau, Emmanuelle Duret, Rosalie Jean, Manoushka Larouche, Catherine Lescarbeau et Geneviève Massé

    I’VE BEEN THINKING...

    I’VE BEEN THINKING ABOUT HOW TO KEEP THIS PROJECT ALIVE (LOL) IN A WAY THAT MAKES SENSE UNDER THE CIRCUMSTANCES. (I PRESUME YOU ARE STILL GOING AHEAD WITH THE PROJECT.)

    Du 2 juin au 15 septembre, une intervention d'affichage urbain par 42 artistes, collègues et ami.e.s. prendra place dans des sites sélectionnés de Montréal durant deux semaines.

    Les affiches présentent de manière anonyme des propositions visuelles issues des recherches et des pratiques des différents participant.e.s, faisant référence à l’activité de travail et de collaboration qu’ils et elles ont eus avec le professeur David Tomas décédé au printemps dernier.

    L’objectif est de souligner l’approche pédagogique singulière de ce professeur et sa marque dans le milieu culturel, ainsi que de garder active et de donner une visibilité à la communauté d’affiliation qui s’est tissée dans le travail et les échanges avec lui.

    Le déploiement de l’exposition dans un lieu de diffusion alternatif – en marge, mais à l’intérieur ou à proximité des institutions –, soit des espaces d’affichages publics qui sont habituellement utilisés pour annoncer des événements ou des publicités, fait écho aux instants qui sont favorables aux échanges durant lesquels collègues, ami.e.s et professeur.e.s ont l’occasion de se croiser dans les corridors des institutions artistiques, académiques ou des bibliothèques, cafés ou dans la rue à proximité de ces lieux.

    Il s'agit d'explorer l’idée d’exposition en tant qu’occupation : occupation d’espaces latents de la ville et occupation de temps non capitalisés, durant lesquels les individus se déplacent physiquement dans la ville ou dans les corridors des institutions.

    Mémoire-création de Fanny Latreille : Pavillons de la jeunesse.

    5 septembre — 19 octobre 2019
    Vernissage le jeudi 5 septembre, 17h00

    Centre des arts actuels Skol

    -English follows-

    Joignez-vous à nous pour la rentrée culturelle lors du vernissage de Fanny Latreille à Skol.

    Fanny Latreille se considère comme propagatrice plutôt que créatrice. Ses recherches empruntent aux champs de l’histoire, des cultural studies et de la sociologie. Les images empruntées, les témoignages et la coopération sont les matériaux premiers de ses œuvres.

    L’exposition Pavillons de la jeunesse s’articule autour des liens entre l’expérience milléniale et celle de la jeunesse révolutionnaire des années 70. L’installation se décline autour d’une vidéo construite à partir d’entrevues sur l’expérience de vie communale des membres de collectifs appartenant aux deux époques.

    Pour plus d'informations : http://skol.ca/programmation/fanny-latreille-pavillons-de-la-jeunesse/

    Pour plus d'informations: http://skol.ca/galeriepassagedesmembres/marie-laurence-blouin-marcel-un-dernier-fantome/

    -English-

    YOUTH PAVILLIONS
    Installation

    September 5 — October 19, 2019
    Opening on Thursday September 5th, 5:00pm

    Join us for the beginning of the cultural season at the opening of Fanny Latreille at Skol.

    Fanny Latreille considers herself to be more of a propagator than a creator, and her research-based practice draws from history, cultural studies, and sociology. Testimonials, borrowed imagery, and co-operation form the raw materials for her work.

    Her exhibition titled Pavillons de la jeunesse focuses on the parallel experiences of today’s millennials and the people involved in the revolutionary youth movements of the 1970s. At Skol, her installation centers on a video made up of interviews with members of collectives from both eras on the subject of communal life.

    For more information: http://skol.ca/en/programming/fanny-latreille-youth-pavillions/

    For more information: http://skol.ca/en/galeriepassagedesmembres-en/marie-laurence-blouin-marcel-a-last-ghost/

    Mémoire-création de Nicolas Dufour-Laperrière : Atlas des nuits américaines.

    Dans le cadre de Momenta, biennale de l'image

    Du 28 août au 15 septembre
    Galerie Popop
    372 Rue Sainte-Catherine O, suite 444

    Combinant photographie de paysage et reconstitutions historiques, Atlas des nuits américaines s’offre tel un observatoire nocturne des mémoires collectives à travers la région de Charlevoix. Ce pays entre fleuve et montagnes devient ici un espace à temporalité variable à partir duquel Nicolas Dufour-Laperrière revisite certains éléments de l’histoire du Québec et de l’Amérique du Nord. Évènements culturels, luttes politiques et violences historiques s’y incarnent sous forme de cartes du ciel, telles qu’elles devaient apparaître par le passé sur les lieux visités. Dans ce territoire longtemps isolé et resté en retrait de la grande histoire, le regard photographique agit tel un outil spéculatif dans ce qu’il permet de libertés et de digressions à relayer le monde visible. Il se construit à partir de faux-semblants et se manifeste comme un espace de mise en scène dont les artifices ne sont pas sans rappeler ceux du théâtre et du cinéma. Le lointain est ainsi à portée de main, le temps s’y compresse, s’incarne et se fige dans la voûte céleste et dans le plan photographique. Nicolas Dufour-Laperrière en explore les limites et les conditions d’existence. Une existence qui propose une multiplication des points de vue et des récits, le sien comme ceux des autres, tous égaux sous les étoiles.


    Se mobiliser par l’art. Comment les pratiques artistiques, muséologiques et éducatives appellent-elles l’action ?

    APPEL À COMMUNICATION / CALL FOR PAPERS (date limite : 13 septembre 2019)

    Se mobiliser par l’art. Comment les pratiques artistiques, muséologiques et éducatives appellent-elles l’action ? // Art as an Agent for Change: How do Art, Museum, and Education Practices Inspire Action?

    15, 16 et 17 juin 2020

    (English version follows)

    La Chaire de recherche UQAM pour le développement de pratiques innovantes en art, culture et mieux-être, le Musée des beaux-arts de Montréal et le groupe de recherche ArtEspaceSocial vous convient au colloque international Se mobiliser par l’art. Comment les pratiques artistiques, muséologiques et éducatives appellent-elles l’action ? qui aura lieu les 15, 16 et 17 juin 2020 au Musée des beaux-arts de Montréal et à l’Université du Québec à Montréal. Ce colloque mettra en discussion des projets de recherche, des pratiques artistiques et des expériences de participation provenant du domaine des arts, de la muséologie et de l’éducation artistique.

    Les pratiques artistiques, muséales et éducatives qui conjuguent l’art et la participation sociale de personnes marginalisées, l’art et l’éducation inclusive et l’art pour une meilleure santé mentale et physique des individus font partie du paysage culturel québécois depuis plus d’une décennie. Compte tenu de leur déploiement dans différents contextes et auprès de différentes populations ainsi que de l’intérêt grandissant des chercheur.e.s, des praticien.ne.s, des milieux de la santé et des groupes communautaires pour de telles pratiques, les conférencier.ière.s seront appelé.e.s à interroger le thème à partir de la question suivante : Comment et à quelles conditions les pratiques artistiques, éducatives et muséologiques inspirent-elles l’action sur les plans individuel et collectif ?

    Les propositions de communications aborderont plus largement les questions suivantes :

    D’un point de vue individuel : Comment des pratiques artistiques, muséologiques et éducatives formelles et non formelles favorisent-elles une (re)remise en mouvement qu’elle soit psychique, physique ou intellectuelle ? Comment permettent-elles de mieux se (re)connaître ? Comment agissent-elles sur les habiletés d’une personne à rassembler son énergie, à stimuler sa motivation, à faire preuve d’une plus grande résilience, à activer sa créativité ? Comment permettent-elles de sortir de l’isolement et de se penser comme partie prenante d’une collectivité ? Comment l’art peut-il contribuer à s’instruire et à s’investir dans la poursuite d’un objectif ? Comment faire face aux enjeux éthiques propres à de telles pratiques ?

    D’un point de vue collectif : Comment des pratiques artistiques, muséologiques et éducatives formelles et non formelles favorisent-elles l’inclusion et la participation à une collectivité ? Comment agissent-elles sur la capacité à tisser des liens, malgré les différences ? Comment permettent-elles à une collectivité de se penser comme telle, de devenir visible et audible, d’agir publiquement ? Comment le contact avec l’art et le fait d’en faire l’expérience peuvent-ils contribuer au vivre-ensemble dans une société pluraliste ? Comment ces pratiques favorisent-elles une action sociale et politique ?

    D’un point de vue sociétal : À quelles conditions l’apport de ces pratiques pourrait-il être reconnu pour sa complémentarité avec les actions posées dans les milieux de la santé, des groupes communautaires et de l’éducation qui doivent, de plus en plus, répondre à des problèmes complexes nécessitant d’autres types de collaboration, d’autres façons de voir et de faire ? Quelles sont les conséquences de la non-accessibilité à la culture et à l’art sur une citoyenneté effective ? L’évaluation des impacts de ces pratiques telle qu’exigée par les instances subventionnaires est-elle souhaitable ou même possible ? Dans quelle mesure les méthodologies issues des sciences sociales et de la santé peuvent-elles en faire l’évaluation?

    Consignes de présentation : Les propositions de communication doivent être rédigées en français ou en anglais en utilisant le présent formulaire. Une confirmation sera transmise dès la réception de la proposition. La durée de chaque communication est de 20 minutes.

    Date limite : Nous invitons les candidat.e.s à retourner le formulaire par voie électronique à l’adresse suivante : semobiliserparlart@gmail.com au plus tard le 13 septembre 2019.

    Un comité scientifique évaluera les propositions et communiquera avec les personnes sélectionnées au plus tard le 11 octobre 2019.

    Pour plus d’informations : semobiliserparlart@gmail.com

    The UQAM Research Chair for the Development of Innovative Practices in Art, Culture, and Well-being, the Montreal Museum of Fine Arts and the research group ArtEspaceSocial, invite you to the international conference Art as an Agent for Change: How do Art, Museum, and Education Practices Inspire Action? , to be held at the Montreal Museum of Fine Arts and the Université du Québec à Montréal from June 15 to 17, 2020. This conference will provide an opportunity to discuss research projects, art practices, and participatory experiences in the arts, museum education and art education.

    Art, museum, and education practices that combine art with the social participation of marginalized groups; art and inclusive education; and art that supports mental and physical well-being have been part of Quebec’s cultural landscape for more than a decade. These practices have been implemented in a range of contexts with various populations, and interest is growing among researchers, practitioners, health organizations, and community groups. Presenters will be asked to explore the conference theme by considering the following question: How and under what conditions do art, education, and museum practices inspire individual and collective action?

    Proposals will address the following issues:

    From an individual standpoint: How do art, museum education, and formal and informal education practices promote mental, physical, or intellectual (re)mobilization? How do they enable greater self-awareness? How do they affect an individual’s capacity to re-energize, self-motivate, exercise greater resilience, and activate creativity? How do they break through isolation and enable individuals to see themselves as stakeholders within a community? How can art contribute to self-education and a commitment to the pursuit of an objective? How should the ethical issues related to these practices be addressed?

    From a collective standpoint: How do art, museum education, and formal and informal education practices promote inclusion and community participation? How do they affect the ability to forge relationships, despite differences? How do they allow a community to identify itself as such, to be seen and heard, and to take public action? How can contact with art and creating and experiencing art contribute to harmonious community life in pluralist societies? How do these practices encourage social and political action?

    From a societal standpoint: Under what conditions could these practices be recognized as complementary to health, communication, and education initiatives, which must increasingly respond to complex problems that require additional forms of collaboration, perspectives, and approaches? What are the consequences when culture and art are not accessible to citizens? Are the impact assessments required by funding agencies beneficial or even possible? To what extent are social sciences and health methodologies applicable to these assessments?

    Presentation requirements: Conference presentation proposals must be submitted in English or French with this application form. A confirmation will be sent upon receipt of your proposal. Each presentation will be twenty minutes in length.

    Deadline: Candidates are invited to email their applications to semobiliserparlart@gmail.com by September 13, 2019, at the latest.

    An academic committee will evaluate the proposals and contact the selected presenters by October 11, 2019, at the latest.

    For more information: semobiliserparlart@gmail.com

    Travaux pratiques : La performativité des objets. Projet de cocréation avec Andrée-Anne D.-Bourret et deux étudiantes.

    Du 1er juillet au 31 août

    Dans le cadre d’une résidence à Circa art actuel, Andrée-Anne Dupuis Bourret, professeure à l’École des arts visuels et médiatiques, initie un projet de recherche-création sur la performativité des objets et des matériaux. Elle travaille actuellement en collaboration avec Annie France Leclerc, étudiante à la maitrise, et Clara Painchaud, étudiante au baccalauréat.

    L’objectif de cette résidence est de développer un nouveau protocole de recherche en cocréation par la production de documents photographiques et vidéographiques résultant d’interventions poétiques. Les principes d’accumulation matérielle, de multiplication et de médiatisation de l’information visuelle sont au centre de ces explorations.

    http://www.aadb.space/blog

    Rappel : emplois ponctuels à l'École des arts visuels et médiatiques

    Pour faire partie de la liste des étudiants qui est transmise chaque année à l’ÉAVM pour combler des emplois ponctuels, vous devez nous faire parvenir votre CV ainsi qu’une liste de vos compétences (et non un texte continu) au plus tard le 20 aout, à maitrise.arts.visuels@uqam.ca. La liste de compétences doit être dans un document différent du CV et elle doit être en format Word.

    Vous pouvez aussi postuler sur site du service des ressources humaines, sous l’onglet Auxiliaires d’enseignement que vous trouverez ici : https://www.rhu.uqam.ca/index.aspx?id=p5.

    AVIS IMPORTANT aux étudiant.e.s qui ont fini leur scolarité : fin de la période d'utilisation des ateliers

    Comme le cheminement prévu pour les études de cycles supérieurs se termine pour vous cet été, il est maintenant temps de quitter l’espace que vous occupiez dans les ateliers de la maitrise, et ce, même si vous êtes, ou serez, en prolongation ou en absence. En effet, dès la rentrée, ces espaces seront distribués aux étudiants nouvellement admis.

    Nous vous demandons donc de retirer tous vos effets personnels de l’atelier que vous utilisiez, de remettre cet espace en ordre et de rapporter la clé au bureau de la maitrise au plus tard le 20 aout 2019. Lorsque vous aurez remis la clé, vous récupérerez votre dépôt de 20$.

    Les lignes fantômes. Julie Ouellet (récemment diplômée) à la Galerie Simon Blais.

    http://www.galeriesimonblais.com/fr/expositions/les-lignes-fantomes

    Du 3 juillet au 3 août.

    Après quatre années de recherches ayant la forêt de l’île de Carillon comme trame de fond, Julie Ouellet présente aujourd’hui une vingtaine d’œuvres, tant sur bois que sur papier, sous le titre Les lignes fantômes. Cette exposition fait suite à celle de 2018 à la Maison de la culture Frontenac, qui concluait sa maîtrise. L’artiste renoue ici avec la peinture – discipline qu’elle avait délaissée ces dernières années.

    Depuis 2015, Julie Ouellet s’est imposé un cadre restreint tant par le sujet que par la matière et le format. Elle se permet maintenant d’élargir son cadre de différentes manières : que ce soit par la variété des formats, l’ajout de techniques qu’elle avait mises de côté, ou encore la démultiplication des points de vue. En proposant des perspectives différentes, en angle, Ouellet confère un nouveau dynamisme au paysage représenté. De même, par l’accumulation de formes et de motifs, l’artiste accentue l’effet vibratoire de ses œuvres. À coup de formes entrecoupées, elle trace des traits, comme si elle marquait le temps à la manière d’une machine à écrire imprévisible. 

    Au premier abord, un paysage semble être une structure stable, mais pourtant celle-ci change constamment, au fils des jours, des saisons, altérée par le vent et la lumière. De la même manière, les œuvres de Julie Ouellet se veulent stables à première vue, mais sa manière de dessiner ce même paysage change et évolue au fil du temps. Dans une volonté de renouveler son tracé et d’élargir son vocabulaire plastique, l’artiste s’est prêtée à l’exercice consistant à démultiplier un même point de vue.   

    Bravo à Maude Arès pour le prix de finaliste de la Bourse Plein sud 2019 !

    Plein sud, centre d'exposition en art actuel à Longueuil a annoncé, le 1er juin. que la Bourse Plein sud 2019 a été attribuée à l'artiste Pascale LeBlanc Lavigne. En plus de Pascale LeBlanc Lavigne, deux autres artistes finalistes ont également été retenus par le jury de la Bourse Plein sud 2019 sur la qualité de leur parcours artistique. Il s'agit de Maude Arès et de Mathieu Fecteau.

    en savoir plus

    LE JURY
    Chacun des membres du jury devait proposer les candidatures de trois artistes de la relève, pour un total de neuf candidat(e)s. Les candidates et candidats retenu(e)s pour la Bourse Plein sud 2019 étaient : Maude Arès / maudeares.comCamille Bernard-Gravel / camillebernardgravel.comMathieu Fecteau / mfecteau.comAlexia Laferté-Coutu / alexialafertecoutu.comPascale LeBlanc Lavigne / pascaleleblanclavigne.comNataliya Petkova / nataliyapetkova.comSanaz Sohrabi / sanaz-sohrabi.comAnouk Verviers / anoukverviers.comLeila Zelli / vimeo.com/leilazelli/

    Le jury de la Bourse Plein sud 2019 était constitué de Marie J. Jean, directrice générale et artistique de VOX, centre de l’image contemporaine, de Patrice Loubier, professeur au Département d’histoire de l’art de l’UQAM, ainsi que de Jocelyn Robert, artiste et professeur à l'École d'art de l'Université Laval à Québec.




    https://www.plein-sud.org/listes-envois/bps_2019_remise.html

    Art Mûr : Peinture fraîche et nouvelle construction. Patrick Foisy et Tristan O'Malley y sont

    Du 18 juillet au 24 août 2019
    Vernissage : Le jeudi 18 juillet 2019 de 17 h à 20 h
    Peinture fraîche et nouvelle construction – 15e édition
    Art Mûr Montréal (QC)

    July 18 – August 24, 2019
    Opening reception: Thursday, July 18, 2019 from 5-8 p.m.
    Fresh Paint / Construction – 15th edition
    Art Mûr Montreal (QC)

    51 artistes / artists : Tiffany April, Francis Arguin, July-Ann El Baze, Haley Bean, Guy Bergeron, Quinn Buckler, Joviel Buenavente, Emily Clark, Colin Courtney, Tye Dandridge, Tatianna Diamantopoulou, Louis-Charles Dionne, Alissa Dionne, Jessy Duchaine, Olivier Moisan Dufour, Julie Dumont, Alexanne Dunn, Laurena Fineus, Patrick Foisy, Eloïse Foulon, Kelsey Gallagher, Alexis Gros-Louis, Emily Hayes, Brubey Hu, Miles Ingrassia, IvanovStoeva, Matthew Kratz, Nicolas Lapointe, Katika Marczell, Sasha Miller, Cecilia Mulvey, Tristan O’Malley, Lauren Prousky, Marie-Soleil Provençal, Devon Pryce, Naz Rahbar, Steven Restagno, Jessie Rowe, Myriam Simard-Parent, Rebecca Sutherland, Ryan Taylor, Merryn Tresidder, Tiffany Tsang, Philippe Vandal, Chad Vaudry, Jon Vaughn, Agatha Veale, Lingxiang Wu, Katherine Wyatt, Arma Yari, Chongyin Yuan

    Treize universités participantes / Thirteen participating universities: Alberta University of the Arts (Calgary, AB), University of Regina (SK), University of Manitoba (MB), University of Waterloo (ON), York University (Toronto,ON), OCAD University (Toronto, ON), Université d’Ottawa (ON), Concordia University (Montréal, QC), Université du Québec à Montréal UQAM (Montréal, QC), Université Bishop’s (Sherbrooke, QC), Université Laval (QC), NSCAD University (Halifax, NS), Grenfell Campus Memorial University (NL)

    Facebook

    Appel de dossiers : Résistance, une exposition collective au parc des Faubourgs

    Un projet d’exposition collective sur le thème de la résistance : Cette exposition se fera au Parc des Faubourgs, à partir du 27 septembre, dans le cadre des Journées de la culture. La date limite pour les dépôts de projets est le 1er août 2019. L’appel de dossiers s’adresse aux artistes visuel.les et écrivain.es de la relève (18 à 29 ans), résidant à Montréal.

    Pour cette troisième édition, notre regard qui s’était auparavant attardé sur des créateurs établis se tourne désormais vers la relève artistique. Comme notre mandat est territorial, Il nous semble important de tenir compte de la spécificité de notre territoire et d’avoir une approche intégrée. À cet égard, nous avons développé un partenariat avec le Carrefour jeunesse-emploi (CJE) Centre-Sud/Plateau Mont-Royal/ Mile-End. Étant donné le grand nombre de jeunes artistes présent.es sur son territoire, celui-ci a développé le Projet Art, un service spécialisé en arts et culture où une conseillère formée en counseling de carrière et en histoire de l’art accompagne des individus dans leur recherche d’emploi en milieu culturel ou dans le développement de leur carrière artistique. Cette initiative a pour objectif de soutenir l’intégration des artistes émergent.es au milieu artistique en leur offrant une visibilité, ainsi qu’une expérience professionnelle complète.

    Pour la diffusion, veuillez s.v.p. utiliser le lien du formulaire en ligne : https://forms.gle/XjWL6KqFz7RsgqVu5

    Vous pouvez aussi mettre le lien de l’appel de dossier se trouvant sur notre site internet : http://www.voiesculturelles.qc.ca/resistance-exposition-appel-dossiers/

    Un grand merci pour votre collaboration !

    Jessica Lauzon
    Adjointe à la direction | Responsable des communications

    Voies culturelles des faubourgs
    2187, rue Larivière, bur. 107
    Montréal, Qc. H2K 1P5
    514.526.2787
    Site internet : http://www.voiesculturelles.qc.ca/resistance-exposition-appel-dossiers/

    Appel à communication : Se mobiliser par l’art. Comment les pratiques artistiques, muséologiques et éducatives appellent-elles l’action?

    Colloque international Université du Québec à Montréal (UQAM) et Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM)

    Se mobiliser par l’art. Comment les pratiques artistiques, muséologiques et éducatives appellent-elles l’action ?

    15, 16 et 17 juin 2020

    La Chaire de recherche UQAM pour le développement de pratiques innovantes en art, culture et mieux-être, le groupe de recherche ArtEspaceSocial et le Musée des beaux-arts de Montréal vous convient au colloque international Se mobiliser par l’art. Comment les pratiques artistiques, muséologiques et éducatives appellent-elles l’action ? qui aura lieu les 15, 16 et 17 juin 2020 au Musée des beaux-arts de Montréal et à l’Université du Québec à Montréal. Ce colloque mettra en discussion des projets de recherche, des pratiques artistiques et des expériences de participation provenant du domaine des arts, de la muséologie et de l’éducation artistique.

    Les pratiques artistiques, muséales et éducatives qui conjuguent l’art et la participation sociale de personnes marginalisées, l’art et l’éducation inclusive et l’art pour une meilleure santé mentale et physique des individus font partie du paysage culturel québécois depuis plus d’une décennie. Compte tenu de leur déploiement dans différents contextes et auprès de différentes populations ainsi que de l’intérêt grandissant des chercheur.e.s, des praticien.ne.s, des milieux de la santé et des groupes communautaires pour de telles pratiques, les conférencier.ière.s seront appelé.e.s à interroger le thème à partir de la question suivante : Comment et à quelles conditions les pratiques artistiques, éducatives et muséologiques inspirent-elles l’action sur les plans individuel et collectif ?

    Les propositions de communications aborderont plus largement les questions suivantes :

    D’un point de vue individuel : Comment des pratiques artistiques, muséologiques et éducatives formelles et non formelles favorisent-elles une (re)remise en mouvement qu’elle soit psychique, physique ou intellectuelle ? Comment permettent-elles de mieux se (re)connaître ? Comment agissent-elles sur les habiletés d’une personne à rassembler son énergie, à stimuler sa motivation, à faire preuve d’une plus grande résilience, à activer sa créativité ? Comment permettent-elles de sortir de l’isolement et de se penser comme partie prenante d’une collectivité ? Comment l’art peut-il contribuer à s’instruire et à s’investir dans la poursuite d’un objectif ? Comment faire face aux enjeux éthiques propres à de telles pratiques ?

    D’un point de vue collectif : Comment des pratiques artistiques, muséologiques et éducatives formelles et non formelles favorisent-elles l’inclusion et la participation à une collectivité ? Comment agissent-elles sur la capacité à tisser des liens, malgré les différences ? Comment permettent-elles à une collectivité de se penser comme telle, de devenir visible et audible, d’agir publiquement ? Comment le contact avec l’art et le fait d’en faire l’expérience peuvent-ils contribuer au vivre-ensemble dans une société pluraliste ? Comment ces pratiques favorisent-elles une action sociale et politique ?

    D’un point de vue sociétal : À quelles conditions l’apport de ces pratiques pourrait-il être reconnu pour sa complémentarité avec les actions posées dans les milieux de la santé, des groupes communautaires et de l’éducation qui doivent, de plus en plus, répondre à des problèmes complexes nécessitant d’autres types de collaboration, d’autres façons de voir et de faire ? Quelles sont les conséquences de la non-accessibilité à la culture et à l’art sur une citoyenneté effective ? L’évaluation des impacts de ces pratiques telle qu’exigée par les instances subventionnaires est-elle souhaitable ou même possible ? Dans quelle mesure les méthodologies issues des sciences sociales et de la santé peuvent-elles en faire l’évaluation?

    Consignes de présentation : Les propositions de communication doivent être rédigées en français ou en anglais en utilisant le présent formulaire. Une confirmation sera transmise dès la réception de la proposition. La durée de chaque communication est de 20 minutes.

    Date limite : Nous invitons les candidat.e.s à retourner le formulaire par voie électronique à l’adresse suivante : semobiliserparlart@gmail.com au plus tard le 13 septembre 2019.

    Un comité scientifique évaluera les propositions et communiquera avec les personnes sélectionnées au plus tard le 11 octobre 2019.

    Pour plus d’informations : semobiliserparlart@gmail.com

    la RIPA – rencontre interuniversitaire de performance actuelle – à la Fonderie Darling

    Pour cette huitième édition, la RIPA – rencontre interuniversitaire de performance actuelle se déroulera à la Fonderie Darling, le 30 et 31 mai 2019. L’événement se déploie en deux temps : une soirée de performances où seront à l’honneur onze artistes de la relève issus du réseau interuniversitaire, ainsi que Victoria Stanton - artiste mentore de l’édition 2019. Dans un deuxième temps, se tiendra une table ronde portant sur les thématiques de « l’espace vital » et « l’espace social » au sein des pratiques de performance actuelle, ainsi que sur les interventions proposées la veille.

    La RIPA est un lieu d'expérimentation unique qui suscite un intérêt grandissant. Propice à l'émergence de nouvelles pratiques, la rencontre attire à chaque année un public nombreux et diversifié, favorisant un échange privilégié entre les acteurs du monde culturel et universitaire.

    Consultez notre nouveau site web [ripa-performance.org] pour en apprendre davantage sur notre mandat et les éditions précédentes. Ci-joint notre communiqué de presse, il réunit les détails de nos deux événements ponctuels.

    En espérant que la programmation de cette année a su vous inspirer, l'équipe de la RIPA 2019 espère vous retrouver à la Fonderie Darling ce mois-ci!

    Aziza Nassih
    Communications - RIPA 2019
    ripa-performance.org
    ripa.contact@gmail.com
    Instagram :@ripa.performance
    Événement Facebook - Soirée de performances
    Événement Facebook - Table Ronde

    RIPA- rencontre interuniversitaire de performance actuelle est un événement annuel sans but lucratif géré par des étudiant.e.s bénévoles qui vise à promouvoir les pratiques performatives émergentes provenant du réseau universitaire québécois ainsi que des régions avoisinantes. La RIPA souhaite développer les réseaux de la performance au Québec en favorisant les échanges entre les étudiant.e.s, les divers publics et la communauté artistique.

    OFFRE DE BOURSES POUR LES FINISSANT.ES DE L'AEMAVM

    L'Association des étudiant.es de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM pour la période de mai 2019 à avril 2020 inclusivement.

    5 bourses seront offertes au montant de 200$ chacune pour les deux volets suivants:
    1- Volet Expositions de finissant.es – rétroactives et à venir
    2- Volet Projets de création - rétroactifs et à venir

    Date limite : le 20 juin 2019 a minuit

    Envoyez votre dossier a l'adresse suivante : bourses.aemavm@gmail.com


    Envoyez votre dossier a l'adresse suivante : bourses.aemavm@gmail.com


    Critères généraux
    • Etre finissant.e a la maîtrise en arts visuels et médiatiques, concentration création ou éducation
    • Priorite aux e tudiant.es non-re cipiendaires de bourses FARE, FQRSC, CRSH, etc.
    • Etre membre de l'association étudiante AEMAVM
    • Qualité de présentation du dossie


    Critère volet Expositions
    • Etre finissant.e a la maîtrise en arts visuels et médiatiques, ainsi qu'exposer (ou avoir exposé) dans la période suivante : entre les mois de mai 2019 et avril 2020 inclusivement.


    Critère volet Projets de création
    • Un projet qui met en valeur la recherche de l'artiste et quidéveloppe un aspect inédit ou expérimental dans la démarche de ce.cette dernier.ère (contexte, lieu, médium)


    Dossier : documents demandés
    • Intention de projet ou d'exposition. Maximum 200 mots
    • Dossier visuel et/ou audio et/ou vidéo. Maximum 5 documents
    • CV a jour incluant les bourses déja reçues
    • Liste sommaire des dépenses associées
    • Preuve d'exposition si applicable (capture d'écran, copie du courriel d'acceptation)


    Faites-nous parvenir votre dossier dans la forme souhaitée compatible avec un envoi courriel avant jeudi le 20 juin 2019 minuit à l'adresse : bourses.aemavm@gmail.com

    Maude Corriveau, récipiendaire de la Bourse d'études en arts visuels Yvonne L. Bombardier

    Bourse d'études en arts visuels Yvonne L. Bombardier (6e édition)

    Étudiante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'Université du Québec à Montréal, Maude a séduit les membres du comité de sélection pour l'originalité de son propos.

    À travers des œuvres hyperréalistes, elle questionne la valeur que l'on porte aux objets de consommation, reproduisant des objets de pacotilles pour les magnifier. L’excellence de sa technique et la facilité avec laquelle elle pratique les jeux d’ombre-lumière et de trompe-l’œil sont remarquables.

    --
    Initiative née d’une volonté commune du service des activités philanthropiques de la Fondation J, Armand Bombardier et du Centre culturel Yvonne L. Bombardier, la Bourse d’études supérieures en arts visuels Yvonne L. Bombardier a pour objectif de contribuer à la relève en arts visuels au Québec.

    La bourse est remise annuellement à un étudiant inscrit dans un programme de maîtrise en art dans une université québécoise et pratiquant une ou plusieurs des disciplines suivantes :

    Dessin
    Gravure/estampe
    Peinture
    Photographie
    Sculpture
    La bourse comprend :

    Un prix en argent de 10 000 $
    Une exposition des œuvres de l’étudiant dans un lieu de diffusion montréalais pendant l'année suivant la bourse
    La production d’une carte de visite vidéo présentant la démarche artistique du boursier ainsi que ses œuvres

    Recherche création : Christine Leblanc. Je te regarde. Me vois-tu?

    Du 20 au 27 mai
    Vernissage le jeudi 23 mai à 17h30-21h
    CDEx (J-R930) Pavillon Judith-Jasmin
    405, rue Sainte Catherine Est, Montréal
    coin Saint-Denis / Métro Berri-UQAM
    Heures d'ouverture : 12h à 18h

    De nos jours, le selfie engendre une nouvelle relation avec notre propre image. Christine LeBlanc, à partir d’une pratique de la peinture, porte cette image de soi hors des conventions et l’ouvre vers de nouvelles perspectives. À travers cette exposition, Je te regarde. Me vois-tu?, l'artiste présente le développement d’un regard subjectif faisant écho à l’évolution du genre de l’autoportrait en peinture. Le miroir écranique qu’offre le numérique transforme et altère l’image que nous avons longtemps considéré comme vérité. Maintenant, tous les outils technologiques de communication offrent une image en constante transformation. Pouvons-nous encore parler d’autoportraits avec la démocratisation de cette image de soi qui traverse maintenant toute la sphère du web, des réseaux sociaux et qui défile à tout moment sur l’écran de nos téléphones intelligents? Reproduisant sa propre image de manière quasi obsessive, Christine LeBlanc tente d’épuiser le potentiel pictural et plastique de ce même motif. Elle cherche, à travers cette énergie nouvelle et probante, à échapper à la fois aux pièges des traditions de la peinture et aux nouveaux stéréotypes rattachés aux selfies.


    Christine LeBlanc est née à Montréal où elle vit et travaille actuellement. Elle a complété un baccalauréat en peinture et dessin à l’Université de Concordia en 2014 et termine ses études à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Elle compte à ce jour deux expositions individuelles, au Centre culturel de Châteauguay et à La Galerie à Boucherville, ainsi que plusieurs expositions collectives. En 2012, elle a participé à une résidence artistique au Musée Hermitage de Saint-Pétersbourg (Russie). Je te regarde. Me vois-tu? est son exposition de fin de maitrise.


    Renseignements : cleblancartiste@outlook.com
    Événement Facebook
    Site Web

    Offre d'emploi d'été - Centre des arts actuels Skol

    Accueil des publics et aide aux événements.

    Date limite pour postuler : le 01 juin 2019


    Pour les personnes admissibles au programme de subventions salariales d'Emploi-Québec

    Entrée en fonction: le 27 août 2019
    Durée de l'emploi : 30 semaines
    Date limite pour postuler : le 01 juin 2019

    Le Centre des arts actuels Skol recherche une personne polyvalente pour accomplir différentes tâches liées aux expositions et aux événements (vernissages, lancements, conférence, etc.).

    Tâches :

    • accueillir le public et répondre à ses questions;
    • présenter les expositions et le Centre à un public diversifié;
    • voir au bon déroulement des expositions;
    • participer à la préparation des vernissages, lancements, locations, conférences, collecte de fonds et événements;
    • gérer et acheminer l'information entrante (courrier, courriel, téléphone);
    • archiver la documentation d'exposition;
    • rechercher des commanditaires;
    • s'occuper de l'entretien des espaces;
    • gérer les outils et les matériaux de montage;
    • gérer l'inventaire des publications.

    Selon ses compétences, la personne choisie pourrait aussi aider à diverses tâches, comme l'aide au montage d'expositions, l'installation du matériel audiovisuel, le transport d'œuvres et la révision de textes.

    Compétences recherchées:
    avoir de très bonnes habiletés de communication verbale et écrite en français;
    avoir des habiletés de communication de base en anglais;
    avoir une bonne connaissance de l'art actuel et des centres d'artistes;
    avoir un intérêt pour la médiation culturelle et ses enjeux;
    aimer travailler avec le public;
    avoir de la facilité à travailler en équipe;
    être polyvalent et autonome;
    bien que non obligatoires l'habileté manuelle et la connaissance de base de l'audiovisuel sont des atouts.
    Horaire et conditions:
    30 heures / semaine
    Doit être disponible les samedis, les jeudis soirs et lors d'évènements
    Taux horaire: 13,50 $ / l'heure

    Veuillez obtenir votre lettre d'admissibilité auprès de votre Centre local d'emploi (CLE) avant de postuler. Pour ce faire, présentez-vous à votre Centre local d'emploi (CLE) avec cette offre d'emploi en main.

    Pour postuler, faites parvenir votre lettre de présentation, votre curriculum vitæ et une copie de la lettre d'Emploi-Québec confirmant votre admissibilité au programme d'emploi à l'adresse suivante : embauche@skol.ca avant le 01 juin 2019, 23h59. Vous recevrez un accusé de réception.

    Les candidat·e·s recevront une réponse par courriel d'ici le 12 juillet 2019.

    *Nous accordons une grande valeur à la diversité culturelle et nous encourageons les candidat·e·s à mentionner s’ils sont issus de l’immigration, membres de minorités visibles, ou Autochtones.

    Skol est accessible par fauteuil roulant. Si vous avez besoin de mesures d’adaptation liées à un handicap, n’hésitez pas à communiquer avec un membre de l’équipe.

    Recherche création : Janick Burn. Aubes.

    Exposition de fin de maîtrise

    18 mai - 22 juin 2019 Vernissage : 1er juin à 15h.

    Centre d'exposition Plein Sud : Cégep Edouard Monpetit, 150, rue De Gentilly Est, LongueuilLocal D-0626 http://www.plein-sud.org/expositions/expos2018_19/burn.html

    Téléphone : 450 679-2631, poste 2324

    Janick Burn envisage le corps au regard d’enjeux de visibilité et de travail. La notion d’expérience vécue s’inscrit au cœur de sa pratique performative et vidéographique. Elle s’intéresse à l’interstice qui apparaît lorsque deux concepts ou états sont appréhendés dans une dynamique d’opposition (passivité/activité, public/privé, corps/pensée, etc.). Ce lieu contingent de rencontres et de confrontations offre à l’artiste un cadre de travail et de réflexion au sein duquel expérimenter les potentialités du corps – le sien ou celui d’interprètes.

    Avec Aubes, Burn présente un portrait intime et brut de sa rencontre avec le temps et la lumière. Entre les solstices d’été et d’hiver de l’année 2017, l’artiste consigne en images et en mots les aubes dont elle fait l’expérience quotidiennement à travers la fenêtre de sa chambre. À l’issue de la nuit, elle filme le passage de l’obscurité à la clarté et traduit par l’écriture ses observations ainsi que les sensations qui l’habitent. Burn élabore un récit du temps vécu, récit entrelaçant attente et activité, plénitude et ennui, où s’y superposent des états de résistance et de précarité.

    Au fondement de l’œuvre réside l’hypothèse selon laquelle la manière la plus juste et la plus sensible d’aborder le corps serait de ne pas le montrer dans l’image. Alors que Burn performe hors du cadre de l’image qu’elle enregistre, l’œuvre fait appel à des enjeux de visibilité (ou d’invisibilité) de façon à problématiser les politiques de la représentation. C’est ce qui est absent de l’image qui définit celle-ci substantiellement, car l’artiste suggère une présence qui peut se deviner par projection. Hors champ, son corps performant s’incarne à travers cette « absence-présence » et à travers les notes qui accompagnent la création de l’image, l’écriture fragmentaire dévoilant une subjectivité en quelque sorte latente dans les vidéos.
    — Maude Johnson

    Note biographique

    Originaire de l’Outaouais/Anishinabewaki, Janick Burn habite Montréal/Tio'tia:ké depuis plusieurs années. Elle termine en 2019 une maîtrise en arts visuels et médiatiques et se consacre à la mise en place de différents projets artistiques. Par une approche réflexive, elle se soucie en particulier du corps et du cadre de la performance et de la vidéo – pratiques autour desquelles sa démarche s’articule et se déploie.

    janickburn.com

    La Bourse Plein sud

    La Bourse Plein sud est remise annuellement à un artiste émergent en arts visuels qui compte moins de 8 années de pratique artistique professionnelle. Le lauréat ou la lauréate de la Bourse est également invité(e) à exposer à Plein sud dans le cadre de la programmation régulière de l'année qui suit l'attribution de la Bourse. Le projet d'exposition de Janick Burn est ainsi présenté à Plein sud du 18 mai au 22 juin 2019.

    Le jury indépendant, réuni pour l'attribution de la bourse 2018, était constitué de Gentiane Bélanger, directrice-conservatrice de la Galerie d'art Foreman de l'Université Bishop's, de Isabelle Hayeur, photographe et vidéaste, ainsi que de Andréanne Roy, historienne de l'art.

    L'attribution de la Bourse Plein sud est rendue possible grâce à monsieur Charles S.N. Parent, vice-président de la Financière Banque Nationale, donateur particulier qui appuie généreusement cette initiative depuis plus de 20 ans.

    SAMEDIS ARTS-JEUX À PLEIN SUD

    Le samedi après-midi, participez gratuitement et en famille à un atelier d'arts plastiques en lien avec l'exposition de Janick Burn. Aucune réservation n'est nécessaire pour cette activité familiale ! Rendez-vous simplement à Plein sud à 14 h ou à 15 h, les samedis 18 et 25 mai 2019 ou les samedis 1, 8, 15 et 22 juin 2019.

    Les Samedis Arts-Jeux bénéficient du soutien du Bureau de la culture de la Ville de Longueuil. Bienvenue à tous !

    Offres d'emploi - La Centrale Galerie Powerhouse

    2 offres

    COORDONNATRICE.EUR AU FINANCEMENT, AU DÉVELOPPEMENT DES PUBLICS ET À L’ADHÉSION DES MEMBRES (date limite 15 mai)

    La Centrale Galerie Powerhouse recherche un.e artiste à relever le défi de développement des stratégies de financement et de rayonnement du centre, ainsi que veiller sur les besoins de l’ensemble de membres.

    Travaillant en consultation avec le conseil d’administration, le personnel et les membres, la.e coordonnatrice au financement, au développement des publics et à l’adhésion des membres devra élaborer et exécuter la stratégie de financement, assurer le rayonnement et la diffusion de la galerie et de ses artistes membres; développer l’adhésion des membres et assurer la bonne communication entre les membres et le centre; élaborer des partenariats en lien avec ses activités et veiller à l’équité au sein des comités dont elle/il aura la charge ainsi que dans toutes les sphères relatives à son poste et à la Centrale.

    À La Centrale, nous reconnaissons la valeur des emplois rémunérés
    et non-rémunérés.

    Temps de travail et taux horaire : 28h/semaine - 17,34$/h - poste permanentD

    Plus d'information :
    http://www.lacentrale.org/story/offre-demploi-coordonnatriceeur-au-financement-au-developpement-des-publics-et-ladhesion-des

    COORDONNATRICE.EUR DE LA PROGRAMMATION DES EXPOSITIONS (date limite 29 mai)

    La Centrale Galerie Powerhouse recherche un.e artiste à même de relever le défi de développer la vision artistique en collaboration avec le comité de programmation et le conseil d’administration.

    Travaillant en consultation avec le conseil d’administration, le personnel et les membres, la.e coordonnatrice de la programmation des expositions devra développer la vision artistique du centre; coordonner la programmation des expositions; coordonner et soutenir les montages et démontages des expositions; élaborer des partenariats en lien avec ses activités et veiller à l’équité au sein des comités dont elle.il aura la charge ainsi que dans toutes les sphères relatives à son poste et à la Centrale.

    Temps de travail et taux horaire : 28h/semaine - 17,34$/h - poste permanent.

    Date limite de candidature : le 29 mai 2019.

    Plus d'information : http://www.lacentrale.org/story/offre-demploi-coordonnatriceeur-de-la-programmation-des-expositions

    Recherche création : Maude Arès. L'algue flotte dans une rivière, amenée...

    Exposition de fin de maîtrise : L'ALGUE FLOTTE DANS UNE RIVIÈRE, AMENÉE PAR LE DÉBIT DE L'EAU, ELLE S'AGRIPPE À LA PIERRE, ELLE Y RESTE LONGTEMPS

    Galerie de l'UQAM. 17 mai - 22 juin 2019 Vernissage : jeudi 16 mai, 17 h 30V

    Les gestes de Maude Arès se fondent sur la collecte, la récupération et la remise en jeu. Archivant des débris depuis les cinq dernières années, elle s’intéresse aux trajectoires, aux histoires de chocs et d’usure – réelles ou imaginées – inscrites dans les matériaux fragmentés. L’attention portée à la charge des matériaux permet d’interroger la manière dont les mouvements et actions des êtres – humains ou non humains – s’influencent.

    L’exposition présente une installation mettant en scène un univers minuscule composé d’une collection d'objets trouvés, voire brisés, ainsi qu'une série de petites sculptures précaires et longilignes nommées outils-mystères. Au cours de l'exposition, Arès actionne ces objets de petite taille par des jeux d'équilibre et de déplacement. Les outils-mystères deviennent alors des extensions du corps de l’artiste, permettant des manipulations lentes, périlleuses et hasardeuses des matériaux exposés.

    ÉVÈNEMENT FACEBOOK

    + PLUS D'INFORMATIONS

    ACTIVATIONS DE L'INSTALLATION
    Performance et conception sonore de Maude Arès et Simon Labbé

    Samedi 18 mai 2019, 13 h
    Jeudi 23 mai 2019, 16 h
    Mardi 28 mai 2019, 16 h
    Samedi 1 juin 2019, 13 h*

    Galerie de l'UQAM
    Entrée libre
    Les activations durent environ 1 h.

    *L'activation du samedi 1 juin est présentée dans le cadre de la programmation du OFFTA - festival d'arts vivants, en simultanée avec la performance À la racine de Marilou Craft et Chloé Savoie-Bernard.


    Tables renversées : Contradiction, perméabilité et résistance : l’école d’art aujourd’hui

    Jeudi 16 mai 2019, de 09:00 à 15:30.

    Horaire des activités

    9h15 TABLE PLIANTE
    Contexte historique, occupation de l’École des Beaux-Arts 1968,
    manifeste de l’Université libre des arts du quotidien (ULAQ),
    enjeux de l’école d’art d’aujourd’hui et contradictions.
    Dialogue intergénérationnel et conférence performative. Avec Ronald Richard, Claude Laflamme (République des Beaux-Arts : la malédiction de la momie), Félix Denis et Catherine Robitaille. Modérateur Mario Côté.

    10 h 45 TABLE D’ÉCOUTE RADICALE
    Prenant conscience des lieux et de ce qu’ils évoquent,
    cette table d’écoute sera pensée dans un esprit de perméabilité et partage des idées.
    Conséquemment, le public sera invité à fabriquer des objets poreux à leurs environnements : lecture, atelier, performance, exposition, confection de rouleaux impériaux. Avec Susan Turcot, Blanca Casas-Brulet, Gaëlle Bourdeau

    13 h 30 TABLEs RENVERSÉEs
    La table renversée considère l’art – et la défense de son enseignement – comme des actes de résistance au conformisme, à l’individualisme et aux stéréotypes de la société.
    Sous la forme de laboratoires de discussion, d’expérimentations artistiques suivant les humeurs contextuelles, cette table se situera en dehors de la tyrannie du succès et de la fixité des catégories dans la transmission artistique. Avec Christine Major, Claude Majeau, Julie Cantin, Anne-C. Thibault, Romeo Gongora, Marie Samuel Levasseur, Claire Savoie

    10 h 45 et 13 h 15 DÉAMBULATIONS ET VISITES ICONOCLASTES DU PAVILLON-JUDITH JASMIN
    Connaissez-vous l’origine du Pavillon Judith-Jasmin et ses surprises architecturales?
    Deux visites guidées et iconoclastes vous sont proposées.Avec Natalie Lafortune (artiste en résidence)

    12 h 10 TABLE PÉRIPHÉRIQUE (Table à manger)
    Après avoir nourri l’esprit, la Table périphérique propose une festive nourriture du corps et des jardins d’agrément. Avec David Blatherwick, Catherine Robitaille, Marie Samuel Levasseur

    Toute la journée DÉPARTEMENT DE LA CONCIERGERIE (Balais et Cie)
    Une équipe des balayeurs accueillera le public et assurera la joie de l’entretien artistique tout au long de la journée. Avec Catherine Asselin-Boulanger, Raphaël Biscotti-Chabot, Antony Brunelle,
    Martine Chartrand, Mario Côté, Annie France Leclerc.

    Colloque : Arts, sociétés et partage des savoirs

    15 au 17 mai 2019 au Musée des beaux-arts de Montréal (15 mai) et à l’UQAM (16 et 17 mai)

    Vous êtes cordialement invités à participer au colloque Arts, sociétés et partage des savoirs qui aura lieu du 15 au 17 mai 2019 au Musée des beaux-arts de Montréal (15 mai) et à l’UQAM (16 et 17 mai). Ce colloque, organisé par la Faculté des arts en collaboration avec la Faculté des sciences de l’éducation, réunira une centaine de chercheurs, artistes et enseignants du Québec et d’ailleurs s’intéressant aux relations entre l’art, la culture, l’éducation et le partage des savoirs artistiques dans les sociétés contemporaines.

    Cet événement exceptionnel conclut les célébrations des 50 ans du Rapport Rioux, un document phare de la Révolution tranquille, qui soulignait en 1969 l’importance de l’éducation artistique pour tous au Québec. Il appelait à une réforme majeure du milieu des arts et à l’élaboration d’une politique culturelle garantissant à chacun un accès aux arts et à la culture. Force est de constater aujourd’hui à quel point les questions centrales qui y étaient posées demeurent d’une brûlante actualité.

    Le colloque, gratuit et ouvert à tous, sera l’occasion de poursuivre une réflexion essentielle sur la place des arts dans la société. Au plaisir de vous compter parmi nous,

    Le comité organisateur des célébrations entourant les 50 ans du Rapport Rioux

    Voir le programme du colloque
    Pour obtenir plus d’informations, consultez notre site Internet
    Pour s’abonner à notre page Facebook https://www.facebook.com/rapportrioux/

    Équipe de coordination :
    Thomas Corriveau, professeur, École des arts visuels et médiatiques
    Vincent Bouchard-Valentine, professeur, Département de musique
    Assistés de Vicky Tremblay, étudiante, Département de musique

    Appels à projets : Festival Art Souterrain 2020 (12e édition)

    Date de tombée : 30 juin 2019

    Le Festival 2020 se prépare dès à présent ! Rejoignez cette belle aventure et exposez vos œuvres avec Art Souterrain.

    Chaque année, c'est plus de 200 000 personnes qui visitent pendant 3 semaines notre exposition souterraine.

    Répondez avant le 30 juin 2019 à notre appel aux artistes pour avoir la chance de participer à cet événement majeur de l'art contemporain à Montréal.

    Déposez votre candidature ici!

    Thématique : «RESET»

    Chaque année, le Festival Art Souterrain choisit un thème fort, capable de parler au public, de résonner avec l’actualité et d’inspirer les artistes. En 2020, c’est le thème « Reset » qui a été sélectionné.

    « Et si vous pouviez appuyer sur un bouton et tout effacer, que feriez-vous de cette nouvelle page blanche ? Si l’on vous proposait de repartir à zéro, comment imagineriez-vous le monde ?

    L’humanité se trouve à un tournant. Faut-il persister dans ses habitudes ou prendre conscience des schémas répétitifs pour repartir sur de nouvelles bases? Bouleverser sa routine et changer les habitudes peut provoquer d’intenses moments d’insécurité. Cela peut entraîner des remises en question douloureuses, voire des pertes de repères.

    Les bouleversements climatiques, économiques et politiques sont au cœur de notre actualité. Individuellement et collectivement, s’il veut survivre, l’être humain aura bientôt à modifier sa relation au monde, mais aussi ses relations interpersonnelles.

    Le manichéisme est-il la seule solution? Faut-il penser uniquement en termes d’utopie et de dystopie afin de trouver des sentiers qui n’ont jamais été balisés? »

    Appel à projets : L’exposition Pop Pavillon


    En partenariat avec ART POP (POP MONTRÉAL) Date limite 13 mai 2019

    L’AEMAVM (Association de étudiant.e.s de la Maîtrise en arts visuels et médiatiques) est heureuse de s’associer à Pop Montréal pour une deuxième édition. Les étudiant-e-s de la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM sont invité-es à proposer une œuvre en vue d’une exposition collective organisée par l’AEMAVM en partenariat avec Art POP – POP Montréal, qui se tiendra dans plusieurs lieux au mois de septembre 2019.

    Pour plus d’infos sur Art POP : https://popmontreal.com/fr/volet/art-pop/

    L’événement se déclinera en :

    Une soirée de performances dans un studio de danse au Rialto;
    Des oeuvres présentées au Rialto et dans une expositions collective satellite organisée par l’AEMAVM;
    La possibilité de présenter une œuvre sonore sur les ondes d’une radio-pirate ;
    Des petites œuvres diffusées par Distroboto ;
    Une publication regroupant les travaux des participants de l'AEMAVM ;
    Et plus encore!

    Toutes les formes de création sont bienvenues.

    Critères pour participer à l’exposition:

    Être inscrit-e à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM et avoir complété au moins deux trimestres d’études.

    Faire parvenir un dossier complet comprenant les 4 éléments suivants :

    1. Description du projet et type d’espace ou de diffusion souhaité (forme / durée) (max 200 mots)
    2. Images ou croquis du projet proposé (max 2-3 images)
    3. Besoins techniques (dimensions spatiales, éclairage et matériel requis)
    4. Biographie (50-100 mots)

    À moins d’avis contraire, le matériel, les dépenses, le transport et l’installation des œuvres devront être assurés par les artistes.

    Merci de faire parvenir votre proposition à aemavm@gmail.com

    Au plus tard le dimanche 13 mai prochain

    APPEL À COMMISSAIRES ET ORGANISATEURS POUR L’EXPOSITION POP PAVILLON

    Vous souhaitez vous impliquer? Le comité organisateur recrute !

    Pour l’organisation et le commissariat de l’exposition satellite, nous aurons besoin d’étudiant.es bénévoles. Une belle expérience à ajouter à votre parcours. Écrivez à aemavm@gmail.com si ça vous intéresse!


    CONTRADICTION, PERMÉABILITÉ ET RÉSISTANCE : l'école d'art d'aujourd'hui

    Jeudi 16 mai 2019, 9h15 – 15h30. Local J-7120, pavillon Judith-Jasmin

    Dans le cadre des activités entourant le 50e anniversaire du Rapport Rioux et du Colloque Arts, sociétés et partage des savoirs qui se tiendra du 15 au 17 mai 2019 à l’UQAM, nous proposons une journée d’activités qui traitera des incidences sociopolitiques, d’hier et d’aujourd’hui, sur l’enseignement et la création artistique L’École des Beaux-Arts de Montréal, fondée en 1922, est occupée par les étudiant.es durant six semaines en octobre 1968, puis incorporée à l’Université du Québec à Montréal l’année suivante. Ces évènements sont inséparables d’un climat politique bouillonnant. Qu’en est-il aujourd’hui des effets sociopolitiques sur les pratiques artistiques ? L'école d’art est-elle toujours perméable aux courants qui animent la société d'aujourd'hui ? Dans un contexte de formation artistique interdisciplinaire,comment interroger les notions de contradiction, de perméabilité et de résistance ?

    Des ateliers et dialogues intergénérationnels performatifs, exposés, visites guidées et stations de travail, exploreront différents points de vue s’affirmant dans la polysensorialité. Trois tables offriront des lieux d'action et d'échanges avec les divers publics afin d’imaginer les potentialités de l’art aux aguets des mouvements de la société.

    Collectif La Table renversée
    Avec la participation de :
    David Blatherwick
    Mario Côté
    Félix Denis
    Romeo Gongora
    Nathalie Lafortune
    Claude Majeau
    Christine Major
    Catherine Robitaille
    Marie Samuel-Levasseur
    Claire Savoie
    Anne Thibault
    Susan Turcot
    Et plus…

    Séance 1 : Table pliante
    Contexte historique, occupation de l’École des Beaux-Arts 1968, manifeste de l’Université libre des arts du quotidien (ULAQ), enjeux de l’école d’art d’aujourd’hui etcontradictions. Dialogue intergénérationnel et conférence performative.

    Séance 2 : Table d'écoute radicale
    Prenant conscience des lieux et de ce qu’ils évoquent, cette table d’écoute sera pensée dans un esprit de perméabilité et partage des idées. Conséquemment, le public sera invité à fabriquer des objets poreux à leurs environnement : lecture, atelier, performance, exposition, confection de rouleaux impériaux.

    Séance 3 : Table renversée
    La table renversée considère l’art - et la défense de son enseignement - comme actes de résistance au conformisme, à l’individualisme et aux stéréotypes de la société. Sousla forme de laboratoires de discussion, d’expérimentations artistiques suivant les humeurs contextuelles, cette table se situera en dehors de la tyrannie du succès et de la fixité des catégories dans la transmission artistique.

    Séance plénière renversée pour tous les participants viendra clôturer l’événement.

    Jeudi 16 mai 2019
    9h15 à 10h45, 11h00 à 12h30, 14h à 15h30
    Local J-7120
    Université du Québec à Montréal
    Pavillon Judith-Jasmin, 7e étage (J-7120)
    405, rue Sainte-Catherine Est
    Montréal (Québec) H2L 2C4
    eavm.uqam.ca

    Recherche création : Jonathan Sardelis. Ensemble, notre Chair sera Verbe.

    Exposition de fin de maîtrise

    Au CDEx
    Exposition : du lundi 6 mai au lundi 13 mai 2019
    Vernissage : mercredi 8 mai, de 17h à 21h Soirée-performance Theosexual : Spiritual Porn : jeudi 9 mai, de 17h à 22h

    Avertissement : Cette exposition comporte de la nudité et du contenu sexuellement explicite. Pour un public averti uniquement.

    L'exposition : Les oeuvres picturales de Jonathan Sardelis et leurs mises en espace particulières jettent un éclairage nouveau sur les visions crues issues des réseaux du pornoweb. Face à la dématérialisation des corps propres à l'hyperconnectivité virtuelle, l'artiste puise dans les codes pornovisuels de l'internet, la peinture figurative et l'iconographie religieuse pour atteindre la transcendance à travers un bas matérialisme.

    S'inspirant de l'oeuvre de Georges Bataille, Jonathan Sardelis invite à une perte de repères typique du nightlife, des expériences rituelles et du sexe. Il fusionne centre de diffusion, lieu de culte et darkroom xxx dans un lieu propice à la célébration d'un érotisme alternatif, se voulant rassembleuse des communautés queers et allié.es. Une série de prières pornoérotiques sous forme de conversations internet rassemble ces oeuvres dans une recherche de nouveaux échanges à la fois mystiques et orgiaques.

    À l'ombre de l'église Saint-Jacques, située dans un espace universitaire, cette exposition libérée de préjugés normatifs propose un amalgame des concepts de sacré, d'érotisme et de pornographie. Comment tirer profit de la vitalité hypermorale du pornoweb dans une optique queer? La profusion des images érotiques sur internet ne permettrait-elle pas d'ouvrir de nouvelles possibilités d'extases collectives?

    L'artiste : Jonathan Sardelis développe une pratique axée sur les enjeux de la représentation de l'érotisme principalement en peinture, mais débordant aussi dans l'art vidéo et la performance. Puisant dans la tradition de la peinture figurative, l'iconographie religieuse et la pornographie, il aborde le (porno)érotisme dans des perspectives esthétiques, phénoménologiques, théologiques et queers. Jonathan Sardelis est lauréat de la bourse de maîtrise Joseph-Armand-Bombardier du CRSH. Son travail a été vu dans plusieurs expositions et événements, dont à l'encan ARTSIDA 9, Pop Montréal, Accès Public et à la Galerie GHAM & DAFE.


    Soirée-performance Theosexual : Spiritual Porn, le jeudi 9 mai, de 17h à 22h. Contribution 5$ suggérée, NOTAFLOF : no one turned away for lack of funds/ personne ne se verra refuser l'entrée par manque de fonds.

    Les artistes invité.es :
    FRESCO BELMONDO - MARC-ANDRÉ CASAVANT/DISCOSALOPE - GOLDJIAN COLLECTIF LA GÊNE : VIRGINIE JOURDAIN ET KIM MAURICE - PRINCESSE LAMARCHE COLLECTIF NU.E.S : MAUDE CHOQUET-BLANCHETTE ET JULIETTE POTTIER PLAZIAT PICAFLOR - JONATHAN SARDELIS - IRNA SHEL - NOËL VÉZINA/MILIE VERONNEAU

    Adresse : Le CDEx, Pavillon Judith-Jasmin, salle J-R930 405, rue Sainte Catherine Est / coin Saint-Denis, Montréal Métro Berri-UQAM

    Heures d'ouverture : Lundi 6, mardi 7 mai : 12h à 18h Mercredi 8 mai : 12h à 21h (le vernissage débute à 17h) Jeudi 9 mai : 12h à 22h (la soirée-performance Theosexual : Spiritual Porn débute à 17h) Vendredi 10 mai : 12 à 19h Samedi 11, dimanche 12, lundi 13 mai : 12h à 18h


    *L'exposition et le vernissage sont gratuits *

    *La soirée-performance Theosexual : Spiritual Porn propose une contribution suggérée de 5$ à l'entrée (NOTAFLOF : no one turned away for lack of funds/ personne ne se verra refuser l'entrée par manque de fonds)
    *Le CDEx est accessible pour les personnes à mobilité réduite

    Renseignements Tél. : (438) 823-0094

    Lien vers l'événement facebook de l'exposition: https://www.facebook.com/events/386088928902458/Au plaisir de vous y voir

    Annonce : Bourses d’exemptions des droits de scolarité supplémentaires - étudiants étrangers (maîtrise)

    Bourses d'exemption des frais de scolarité majorés - pour étudiants étrangers (maîtrise) : Le gouvernement du Québec attribue chaque année un certain nombre de bourses d’exemptions des droits de scolarité supplémentaires pour les étudiants étrangers inscrits à temps complet dans un programme de 2e cycle.

    Pour plus de détails, les étudiants étrangers de notre programme qui sont admissibles sont priés de s’adresser directement à la Faculté des arts : 
    Véronique Stahn
    stahn.veronique@uqam.ca
    514 987-3000, poste 1092. Local R-440

    Autres informations

    PDF : Double prise / Double take. Projet commissarié par David Tomas

    11 avril - 29 avril, au 5445 de Gaspé - E6-21

    Projet mené avec son groupe de recherche composé de Catherine Lescarbeau, Manoushka Larouche et Emmanuelle Duret.

    Voir la publication et le contenu éditorial complet

    PDF présente sa première exposition. Sous le signe de la machine Esper, PDF propose une exploration de la signification du détail dans le travail de trois artistes actuelles : Emmanuelle Duret, Manoushka Larouche et Catherine Lescarbeau. Elle met en lumière les manoeuvres de cette forme de parasite, sa relation avec le chemin invisible de la mémoire humaine – leurs mystères et leurs conséquences inespérées – et son impact sur le concept et la structure d’une exposition en art contemporain. Ce que nous pouvons appeler une archéologie du détail, des activités parasitaires, de ce qui a été laissé de côté, ce qui a été dissimulé et compressé à l’intérieur des coupes transversales ultraminces du champ élargi de la représentation photographique, sa matrice holographique secrète, peut parfois redéfinir les fonctions d’une exposition et sa relation au spectateur. Une exposition composée de trois captures d’écran de la présence instable du parasite à l’intérieur des identités possibles et des mémoires du réseau photographique.






    Annonce : Matinée étudiante Usine C

    MER., 15 MAI À 09:00 Usine C

    Pour sa dixième édition, le Festival Chromatic prend ses quartiers à l’Usine C du 10 au 17 mai 2019 et son volet professionnel, Chromatic Pro, adapte son format pour les étudiants avec l’organisation d’une Matinée Étudiante. Programmée pour le mercredi 15 mai de 9 h à 12h30, elle regroupe trois pôles d’activités : des discussions avec des artistes et professionnels montréalais, des ateliers de groupe et un open lab participatif.

    Grâce au précieux investissement de notre partenaire Loto-Québec, la participation aux diverses activités de la Matinée Étudiante est gratuite.
    Etant donnée que la réussite de cet événement repose sur la participation active d’étudiants passionnés provenant de domaines d’études variés, nous vous transférons donc cette invitation.

    Vous trouverez ci-dessous et en pièce jointe divers documents présentant la Matinée Étudiante et toutes les informations à connaître à son sujet :
    · une document de présentation incluant la programmation complète
    · un visuel à diffuser sur vos réseaux
    · le lien vers notre événement Facebook ici
    · le lien vers notre formulaire d’inscription pour les étudiants ici

    N’hésitez pas à me contacter par courriel ou téléphone pour plus de renseignements. Vous pouvez également consulter notre site internet et nos réseaux sociaux que nous vous invitons à suivre sur Facebook et LinkedIn.

    Présentation des grands concours de bourses 2019-2020

    Mercredi 17 avril, de 12h30 à 14h
    UQAM / Pavillon Judith-Jasmin / Local J-4225

    Séance sur les grands concours de bourses, offerte aux étudiant.e.s de la Faculté des arts.

    Présentation des grands organismes subventionnaires et leur offre de programmes de bourses ainsi que les conseils pour la préparation des demandes. Venez également poser vos questions !

    Entrée libre

    Apportez votre lunch ! Du café et des biscuits seront offerts !

    Véronique Stahn
    Agente de recherche et de planification
    Faculté des arts
    stahn.veronique@uqam.ca
    514 987-3000, poste 1092. Local R-4405

    Université du Québec à Montréal
    Case postale 8888, succursale Centre-ville
    Montréal (Québec) H3P 3P8

    A noter : les jours de présence de Véronique Stahn à la Faculté des arts sont les lundis, mercredis et vendredis

    Exposition de Karine Madran : Peinternet : Ne riez pas s.v.p.

    11 avril au 12 mai 2019 Vernissage le 11 avril 2019 à 17h Galerie perchée de La Cenne, 7755 boul. Saint-Laurent suite 300

    PEINTERNET : NE RIEZ PAS S.V.P.
    Par l'appropriation et la transformation d'images trouvées sur internet, l’exposition de peinture met en doute notre perception de la réalité, tout en faisant ressortir leur potentiel humoristique et ludique. Les photos trouvées sur le web, surtout sur les réseaux sociaux, teintées d'humour et d'étrange sont le point de départ des tableaux. Des éléments disparates sont ensuite ajoutés pour confronter notre rapport à la réalité en mettant en lumière certains aspects banals et insignifiants. Les peintures figuratives et polysémiques, se situant dans un entre-deux, oscillant entre fiction et réalité, tragique et comique, banal et insolite, cachent des détails qui ne sont pas toujours perceptibles et révèlent ensuite leur caractère risible.

    KARINE MADRAN
    Née en 1990, Karine Madran vit et travaille à Montréal. Finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l'UQAM, elle s'intéresse à la relation entre l'humour et l'absurde et leur capacité à informer plus sur notre réalité. Elle a exposé à plusieurs reprises à Montréal et Laval et a organisé conjointement plusieurs expositions.

    HEURES D'OUVERTURE DE LA GALERIE PERCHÉE:
    Du mardi au vendredi de 10h à 17h.

    Rencontre d'information : Accompagnement par l’art et éducation artistique dans la communauté

    9, 11 et 17 avril, à 13h au J-R260

    Le cours FAM3001 Accompagnement par l’art et éducation artistique dans la communauté sera donné à l’automne par Adriana Oliveira, le mardi soir. Il reste des places pour les intéressés par des pratiques artistiques et pédagogiques dans des lieux non traditionnellement dédiés à l'art et auprès de populations diversifiées. Adriana organise trois rencontres d’information les 9, 11 et 17 avril à 13h00 au JR-260.

    Les étudiantes et les étudiants qui ont eu la chance de suivre ce cours dans le passé (le cours existe depuis 2001) en parlent comme d'une expérience unique dans le cadre de leur formation universitaire. Ils se sentent investis d'un sentiment d'accomplissement et de dépassement. Dans le cadre d’un stage d’une quarantaine d’heures, ils expérimentent de façon concrète les liens qui peuvent se tisser entre l'art et la vie (pratiques sociales de l’art, art contextuel, accompagnement par l’art, art communautaire), et découvrent le sens du mot « engagement », qui se manifeste par une autre façon de pratiquer l'art, la création et l'éducation artistique. Tout le processus est très bien encadré et les stages sont réalisés selon les disciplines, les intérêts et les affinités des étudiantes et étudiants grâce à des collaborations avec différents partenaires qui interviennent auprès d’enfants, d’adolescents, d’adultes et d’ainés en situation de marginalité ou de vulnérabilité.

    Appel d'offres : résidence d'artiste à l'Atelier de l'estampe Imago de Moncton. Date de tombée 15 avril

    Imago Inc. est un centre d’artistes autogéré de production en estampe.

    Le mandat de l’atelier Imago est de promouvoir et diffuser la création artistique dans le domaine de l’estampe contemporaine. Fondé en 1986 et incorporé en 1992, par 11 artistes du sud-est du Nouveau-Brunswick, le centre offre un lieu de recherche à ses membres et un atelier fonctionnel aux artistes.  

    L’atelier d’estampe Imago Inc. est à la recherche d’artistes pour travailler dans son atelier pendant une période de 2 à 3 semaines. La résidence doit avoir lieu entre septembre et avril.

    Imago prend en charge les frais de transport, l’hébergement et offre un cachet d’artiste de 500$ par semaine.

    Les artistes possédant une expertise dans le domaine de l’estampe qui désirent présenter un projet doivent soumettre un dossier PDF comprenant :

    - un curriculum vitae à jour

    - un texte de démarche artistique

    - un texte décrivant le projet de recherche

    - 10 images numériques d’oeuvres récentes. 

    Veuillez envoyer vos dossiers à l’adresse courriel: submissionsimago@gmail.com

    Emploi étudiant en photographie - Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie - Postulation

    Formulaire de postulation et détails de l'emploi - photographie - pdf

    L'arrondissement de Ville-Marie qui est au centre du centre-ville de Montréal est à la recherche d'un photographe pour la saison été. C'est un poste 35 heures par semaine rémunéré. Vous trouverez ci-joint l'offre d'emploi publié également sur le site de la ville http://www.ville.montreal.qc.ca/emploi

    Forum recherche-création des étudiant.e.s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. 4 et 5 avril 2019, 10 h à 15 h 30, Musée d'art contemporain de Montréal

    Événement Facebook

    Site web

    Instagram

    Le Forum est l’occasion pour la communauté universitaire et le grand public de découvrir la diversité des pratiques des étudiant.e.s à la maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM et les enjeux qui les animent. Les présentations, regroupées sous le thème de l'expérience, seront suivies de discussions ouvertes à tou.te.s. Elles seront nourries par Marie-Ève Beaupré, conservatrice de la collection du Musée d'art contemporain de Montréal; Benoit Jodoin, doctorant en histoire de l'art à l'Université du Québec à Montréal et à l'École des hautes études en sciences sociales de Paris; Véronique Lefebvre, coordonnatrice du programme SéminArts , initiation au collectionnement offert par le Musée d’art contemporain de Montréal en collaboration avec la Fondation de la Famille Claudine et Stephen Bronfman, et Renata Azevedo Moreira, étudiante au doctorat en communication à l’Université de Montréal et membre du comité de programmation de Studio XX.

    Horaire des présentations:

    Jeudi 4 avril 2019

    10 h Ouverture

    10 h 15 Mot de bienvenue

    10 h 30
    L'EXPÉRIENCE DE L'IDENTITÉ

    • Francisco De La Barra
    • Martine Chartrand
    • Moïse Piuze

    12 h Discussion animée par Benoît Jodoin

    12 h 30 Pause goûter

    13 h 30
    L'EXPÉRIENCE DU QUOTIDIEN

    • Florence Jacob
    • Véronique Lépine
    • Marie Samuel Levasseur

    15 h Discussion animée par Marie-Eve Beaupré

    15 h 30 Fin de la première journée

    ///

    Vendredi 5 avril 2019

    10 h Ouverture

    10 h 15 Mot de bienvenue

    10 h 30
    L'EXPÉRIENCE DU MATÉRIAU

    • Karine Fournier
    • Béatrice Boily
    • Pépite & Josèphe

    12 h Discussion animée par Renata Azevedo Moreira

    12 h 30 Pause goûter

    13 h 30
    L'EXPÉRIENCE DU RÉCIT

    • Éric Lamontagne
    • Karine Madran
    • Patrick Foisy

    15 h Discussion animée par Véronique Lefebvre

    15 h 30 Clôture de l'événement

    Adresse:
    Musée d'art contemporain de Montréal
    185, rue Ste-Catherine Ouest (angle Jeanne-Mance)
    Montréal, Qc.
    H2X 3X5
    Métro : Place-des-Arts

    Au plaisir de vous y voir!

    Pour plus de renseignements:
    Florence Jacob – jacob.florence.2@courrier.uqam.ca
    Karine Fournier – fournier.karine.2@courrier.uqam.ca



    Présentation d'artiste : Nans Bortuzzo. Galerie de l'UQAM, 2 avril, 12h45.

    Dans le cadre de la série L'art observe

    Mardi 2 avril 2019
    12 h 45 - 13 h 45
    Galerie de l'UQAM
    En français
    Entrée libre
    La Galerie de l’UQAM vous convie à une présentation de l’artiste Nans Bortuzzo, finissant de la maitrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. L'artiste y discutera des idées et questions qui ont animé ses recherches à la maitrise. Il s'appuiera sur le contenu de son exposition, 5Ws, présentée à la Galerie de l’UQAM jusqu’au 13 avril 2019.

    L’installation 5Ws dévoile les mécanismes de collecte et d’utilisation des données personnelles. À partir de 20 millions de requêtes individuelles, est-il possible de définir un ensemble de questionnements qui traduisent les inquiétudes de la société américaine? Pour aborder cette problématique, Nans Bortuzzo structure son investigation en utilisant une méthode empruntée au journalisme : les « 5Ws ». Acronyme de « Who, What, Where, When, Why », cette technique permet de révéler des informations dissimulées. Dans un contexte où la presse et les écosystèmes informationnels subissent une transformation majeure, les questionnements soulevés par Nans Bortuzzo interagissent avec notre société contemporaine et réengagent l’archive numérique au présent.

    • ÉVÈNEMENT FACEBOOK

    Lancement FéminÉtudes no 22 - Corps et résistances. 23 mars 2019, 14 à 16h.

    FéminÉtudes vous invite au lancement officiel de son 22e numéro intitulé Corps et résistances et de son recueil-zine complémentaire. Réservez votre soirée du samedi 23 mars 2019 afin de découvrir les 245 pages de la revue, faire connaissance, festoyer et vous procurer votre propre exemplaire!

    L'œuvre « Échec quantifié » de Heidi Barkun (maîtrise en arts visuels et médiatiques, UQAM) y figure.

    Le tout aura lieu à l'extraordinaire librairie féministe L'Euguélionne, située au 1426 rue Beaudry (Montréal), sous une formule 4 à 6. Au menu: vin, grignotines et micro ouvert sur le thème Corps et résistances.

    Au plaisir de vous y voir!

    Pour en savoir plus sur l'accessibilité à la librairie l'Euguélionne : https://librairieleuguelionne.com/a-propos/accessibilite/

    À voir : FIFA Expérimental - du 18 au 30 mars (rabais pour groupes d'étudiant.e.s)

    FIFA Expérimental sera une nouvelle fois l’occasion de découvrir des artistes, réalisateurs et vidéastes contemporains dont l’univers créatif nous fait explorer les frontières de l’imaginaire cinématographique et aborder des approches alternatives quant à la perception et appréciation de l’art.

    Comme le souligne Nicole Gingras, programmatrice du volet FIFA Expérimental : « Riche, complexe, mobile et, surtout, omniprésente, l’image poursuit son rôle d’observatrice critique. Elle porte nos points de vue, provoque nos aprioris, suscite une réflexion; elle inquiète et nourrit l’imaginaire. Section hors compétition et sur invitation, FIFA Expérimental se consacre à des modes exploratoires de l’image en mouvement et du récit, associés à l’art vidéo et au cinéma expérimental. »

    Groupes d'étudiant.e.s avec enseignant.e.s peuvent profiter d'un rabais sur l'achat du billet pour une séance.
    Communiquer avec Maria Mari

    Voir le pdf du programme

    Les grandes lignes du programme

    Lien direct vers les oeuvres

    Lancement du Prix d’excellence en enseignement de la Faculté des arts - date limite : 6 mai 2019

    La Faculté des arts veut souligner l’importance de l’enseignement en reconnaissant l’apport exceptionnel d’un.e professeur.e et d’un.e chargé.e de cours. En 2019, les prix seront accordés à un.e professeur.e et à un.e chargé.e de cours ayant plus de dix ans d’expérience en enseignement, ou deux enseignant.e.s qui ont enseigné en équipe, avec chacun.e plus de dix ans d’expérience.

    Nature du prix

    Les Prix d’excellence en enseignement de la Faculté des arts sont accordés à deux lauréat.e.s, un.e professeur.e et un.e chargé.e de cours, reconnu.e.s pour leurs qualités de pédagogue et leur souci d’offrir une formation de qualité aux étudiants. Pour le/la chargé.e de cours, ce prix est assorti d’une bourse de 1 000 $. 

    Dossiers de candidature

    Tout professeur.e régulier et chargé.e de cours avec plus de dix ans d’expérience de l’un des départements ou écoles de la Faculté des arts est éligible au concours. On ne peut pas proposer sa propre candidature. Les personnes qui proposent une candidature doivent faire partie de la Faculté des arts (employé.e de soutien, étudiant.e, chargé.e de cours ou professeur.e). Ils doivent d’abord avoir l’accord du candidat, de la candidate et ensuite écrire une lettre de proposition de candidature d’une page adressée au doyen Jean-Christian Pleau. Le candidat, la candidate doit ensuite monter son dossier (voir ci-dessous pour les détails) et obtenir une lettre d’appui. Les dossiers de candidature doivent être déposés au plus tard lundi 6 mai à la Faculté des arts, local J-4050, à l’attention de Maé Ustarroz.

    Contenu des dossiers de candidature

    Tout dossier de candidature comporte des documents servant à éclairer le comité d’évaluation sur la qualité de la candidature en lien avec les critères d’évaluation énumérés dans la section suivante. Voici la liste des documents exigés :

    • une lettre de proposition de la candidature adressée au doyen Jean-Christian Pleau;
    • un texte de présentation préparé par le candidat, la candidate, explicitant sa philosophie d’enseignement et identifiant ses réalisations les plus méritoires au plan de la formation des étudiants (2 pages maximum);
    • une lettre d’appui à la candidature provenant d’un professeur, d’un chargé de cours, employé ou d’étudiant de la Faculté des arts;
    • le curriculum vitae du candidat, de la candidate (orienté sur l’activité d’enseignement);
    • deux (2) plans de cours récents;
    • les plus récentes évaluations d’enseignement disponibles (au maximum cinq pièces);
    • toute autre pièce jugée pertinente.

    Critères d’évaluation

    • la qualité de l’enseignement (maîtrise du sujet enseigné, aptitude à stimuler l’intérêt et la curiosité pour le sujet);
    • le leadership en enseignement et l’effort d’innovation pédagogique (stratégies d’enseignement novatrices et variées, mise au point de nouveaux cours, matériel pédagogique novateur);
    • la qualité de l’encadrement des étudiants (disponibilité, diligence dans la correction des travaux et dans la transmission des résultats, nombre d’étudiants encadrés et de diplômés).

    Calendrier pour 2019

    6 mai 2019               Date limite de présentation des candidatures au décanat de la Faculté des arts (J-4050), avant 16 h 30

    décembre 2019      Remise des prix aux personnes lauréates lors de la Collation des grades de la Faculté des arts

    Les résultats seront confirmés en septembre 2019

    Renseignements : ustarroz.mae_lori@uqam.ca

    Pour plus d’informations, vous êtes prié.e.s de consultez la fiche complète du concours en format PDF (ci-joint) ou écrivez à Maé Ustarroz : ustarroz.mae_lori@uqam.ca

    Appel de propositions : Exposition à l’Écomusée du fier monde. Date limite : 15 avril 2019 avant 16 h

    Un appel est lancé à des équipes de l’UQAM pour déposer des projets collectifs d’expositions mettant en valeur les pratiques artistiques ou de commissariat des étudiantes et étudiants de la Faculté des arts dans le cadre d’un partenariat entre la Faculté des arts de l’UQAM et l’Écomusée du fier monde. Initiés par des étudiantes et étudiants, les projets pluridisciplinaires d’exposition seront réalisés par des équipes formées d’étudiantes et d’étudiants et d’au moins un membre du personnel enseignant. Ils devront proposer une vision artistique du mandat de l’Écomusée. Ce concours est ouvert à l’ensemble des Écoles et Départements de la Faculté.

    L’Écomusée du fier monde, situé dans le quartier Centre-Sud de Montréal, se définit comme un musée d’histoire et un musée citoyen.

    Sa mission est de :

    • mettre en valeur les thématiques du travail et de l’engagement citoyen à Montréal, dans leur contexte historique et actuel;
    • développer une muséologie citoyenne pérenne en utilisant les activités et les pratiques muséales comme outils d’éducation populaire et d’autonomisation;
    • contribuer au développement du territoire écomuséal par la mise en valeur du patrimoine et de la culture, en partenariat avec des acteurs du milieu;
    • favoriser le partage de l’expertise de l’Écomusée et les échanges aux niveaux local, national et international, et ainsi contribuer au développement des communautés.

    Le partenariat entre l’Écomusée et la Faculté des arts de l’UQAM a pour but la tenue d’une exposition annuelle de deux semaines (la prochaine se tiendra en février 2020). L’objectif principal est d’encourager la relève en recherche et en création à développer des projets en lien avec la mission de l’Écomusée tout en lui permettant de bénéficier d’une visibilité au sein de ce dernier. Il est important de noter que l’espace d’exposition prévu est celui des expositions temporaires de l’Écomusée (environ 100m2), que l’Écomusée fournira une aide technique pour l’installation de l’exposition, et que la Faculté des arts mettra à la disposition de l’équipe sélectionnée un budget de 3500$ pour la production de l’exposition.

    Critères de sélection :

    • 1) Présenter un projet collectif (les projets individuels ne sont pas admissibles) mettant en valeur le savoir-faire des étudiantes et étudiants;
    • 2) Démontrer le lien du projet avec la mission de l’Écomusée;
    • 3) Démontrer la faisabilité du projet;
    • 4) Les membres de l’équipe doivent être disponibles tout au long du processus (notamment pour participer à une première rencontre au printemps, suivie d’autres rencontres à chacune des étapes de réalisation du projet durant l’été et l’automne).

    Les pièces à déposer :

    • 1) Le titre de travail provisoire de l’exposition, ainsi qu’un résumé du projet en 3 lignes;
    • 2) Un texte descriptif (600 à 1000 mots) qui présente : la thématique, l’intention, la démarche, et la nature de ce qui sera exposé;
    • 3) La liste des membres de l’équipe (doit inclure un membre du personnel enseignant);
    • 4) Un budget préliminaire;
    • 5) Un portfolio comptant un maximum de 20 items;
    • 6) Une lettre de recommandation d’un membre du personnel enseignant (qui peut être membre de l’équipe).

    Comment présenter une demande :
    Vous devez déposer votre dossier à la Faculté des arts (J-4050) à l’attention de Maé Ustarroz ou par courriel à ustarroz.mae_lori@uqam.ca au plus tard le lundi 15 avril 2019 avant 16 h.

    Dates importantes :

    Dépôt des candidatures : 15 avril 2019 avant 16 h.
    Annonce du projet retenu : mai 2019

    Notes : Le comité de sélection est paritaire et comprend deux personnes de la Faculté des arts et deux personnes de l’Écomusée.

    Les personnes chargées de cours participant au projet sélectionné pourront faire une demande de financement auprès du Comité de liaison local (CLL) facultaire ou de leur département d’attache.

    Puisqu’il s’agit d’une entente de partenariat entre les deux instances que sont la Faculté des arts de l’UQAM et l’Écomusée, il est entendu que ce dernier n’a pas de droits d’expositions à défrayer. De plus, il est important de noter que l’Écomusée ne prend pas à sa charge les frais d’impressions et le matériel.

    Appel de dossiers - L'Écrin - date limite : 6 mai 2019

    Depuis le mois de juin 2018, les artistes Caroline Boileau et Stéphane Gilot investissent la vitrine de L’imprimerie - un espace d’exploration modulable donnant sur la rue Sainte-Catherine Est – en y intégrant une structure architecturale tenant plus du laboratoire que de la salle d’exposition. Ils invitent les membres de L’imprimerie à s’approprier cet espace singulier et à soumettre un projet d’installation. Toutes les pratiques seront les bienvenues : estampe, photographie, dessin, sculpture et performance, avec un intérêt marqué pour les pratiques hybrides et le papier comme matériau et support.

    Les artistes qui accepteront de relever le défi devront prendre en compte les particularités de cet espace coloré et sculptural dans la conception de leur proposition. Ils et elles devront aussi envisager la vitrine comme interface avec le quartier Hochelaga-Maisonneuve, en dialogue avec l’activité de la rue, de jour comme de nuit. Ce projet vise à mettre en relation les artistes- commissaires et les artistes membres du centre pour développer des mises en espace singulières de leur travail.

    Chaque projet sera l’occasion d’une discussion sur la nature de la pratique, sur la présentation publique d’un travail exploratoire et sur la notion de contrainte qui est proposée ici comme moteur et tremplin pour le processus artistique. Les projets exploratoires et évolutifs, se déployant dans le temps, seront privilégiés.

    Quelques changements ont été apportés pour la seconde année de L’ÉCRIN : les plages d’exploration et de microrésidence seront maintenant de trois mois chacune.

    Le centre offrira un cachet de 550$ et prendra en charge un lancement pour chaque plage d’exploration.

    Informations techniques

    • Une pellicule UV est installée sur les vitres pour protéger les installations. On ne peut donc rien fixer directement sur les vitres.
    • L’imprimerie offrira un rabais sur certains services en fonction des besoins de chaque projet.

    Échéancier – plages d’exploration

    • Plage 1 : septembre à novembre 2019
    • Plage 2 : février à avril 2020
    • Plage 3 : mai à juillet 2020

    Contenu du dossier

    • 15 images numériques accompagnées d’une liste descriptive : max 1 mb par fichier, format JPG
    • Curriculum vitae, maximum de 3 pages
    • Lettre d’intention – proposition de projet pour L’Écrin
    • Préférence des dates pour la plage d’exploration 1, 2 ou 3
    • Liste des besoins techniques liés au projet

    Faire parvenir votre dossier à : art@limprimerie.art avant 23h59 le 6 mai 2019. Les dossiers papier ne seront pas examinés.

    Les deux dernières réalisations de Mario Côté au 37e Festival international des films sur l'art (FIFA). 24 et 26 mars

    • "Brèves histoires de pierres muettes" (2019), 33 min 30 s. Sur une chorégraphie de Jeanne Renaud avec les danseurs Louise Bédard et Marc Boivin. Musique de Jürg Frey et le Quatuor Bozzini. Direction photo, Steeve Desrosiers.
      Dimanche 24 mars 2019 à 10 h / séance no 60
      Pour plus d’information et billetterie
    • "John Heward / Words and Silence / conversation avec Stéphane La Rue" (2019), 27 min, v. o. angl., s-t fr. Direction photo, Steeve Desrosiers.
      Samedi 23 mars 2019 à 12 h 30 / séance 43
      Mardi 26 mars 2019 à 17 h 30 / séance 81
      Pour plus d’information et billetterie



    Appel à candidatures : conseiller\ère en arts plastiques au Nicaragua, date limite 4 avril 2019

    Le Carrefour de solidarité internationale de Sherbrooke vient de rendre public ses offres de stages internationaux pour jeunes professionnels qui se dérouleront de la mi-juillet 2019 à la mi-janvier 2020.

    Nous offrons pour cette période un poste de Conseiller/ère en arts plastiques au Nicaragua, voir en pièce jointe ou via le lien suivant : http://www.csisher.com/stages/conseiller-ere-en-arts-plastiques/

    La formation artistique dans le miroir des politiques culturelles québécoises, par René-Daniel Dubois. Jeudi 21 mars 2019, de 19h à 20h30

    ANIMATION
    Yves Jubinville, professeur à l’École supérieure de théâtre de l’UQAM

    À l’Auditorium de la Grande Bibliothèque
    Le jeudi 21 mars 2019, de 19h à 20h30
    Bibliothèque et Archives nationales du Québec
    475, boulevard de Maisonneuve Est, Montréal

    Observateur passionné de la société québécoise depuis plus de trente ans, René-Daniel Dubois propose une réflexion sous forme de dialogue. Il retrace son parcours, dans lequel la formation artistique recouvre des enjeux philosophiques, politiques et institutionnels. Cette conférence, qui s’inscrit dans le cadre des activités entourant les 50 ans du Rapport Rioux, sera l’occasion de porter un regard critique sur les orientations et désorientations de l’intervention de l’État québécois en matière culturelle.

    Conférence organisée par la Faculté des arts de l’UQAM
    En partenariat avec la Faculté des sciences de l’éducation de l’UQAM
    En collaboration avec Bibliothèque et Archives nationales du Québec

    Événement Facebook : https://www.facebook.com/events/269504920609314/

    Site Internet : https://rapport-rioux.uqam.ca/conferences/


    Appel à propositions // Programmation 19-20, Maison de l'architecture du Québec, date limite : 1er mai 2019, 00h00

    Artistes, architectes, commissaires et chercheurs, nourrissez la réflexion concernant notre environnement bâti par votre regard singulier : la Maison de l’architecture du Québec (MAQ) vous invite à proposer vos projets d’exposition ou d’évènement pour sa programmation 2019-2020 !

    Catalyseur de créativité architecturale depuis 2001, la MAQ est un centre de diffusion qui agit pour le développement d’une culture de l’architecture au Québec et au Canada, en lien avec ses praticiens actifs ici et aujourd’hui, par le biais d’expositions, de laboratoires, de publications, d’ateliers, de discussions et d’activités éducatives.
    Cette saison, comme les précédentes, le centre souhaite mettre l’accent sur :
    ✄ ce qui fait la particularité des constructions et des aménagements au sein de la métropole et de la région,
    ✄ ce qui fait actualité et débat dans le domaine de l’architecture et de l’urbanisme (conception des écoles, réhabilitation des berges du fleuve Saint-Laurent, etc.)

    Plus d'infos sur le contenu du dossier, les critères de sélection et les espaces d'exposition
    ICI

    Dossier à remettre avant le 1er mai 2019, 00h00
    ✉ par courriel : info@maisondelarchitecture.ca
    ✉ par voie postale : 181, rue Saint­Antoine Ouest, Montréal (Québec), H2Z 1X8